Monday, September 26, 2011
Nous sommes tous connectés à la Terre...
Notre prodigieux cerveau…
De toutes les merveilles de la terre, celle du cerveau humain est stupéfiante. Ainsi, chaque seconde, quelque cent million de messages transmis par les différents sens arrivent au cerveau. Mais comment celui-ci évite-t-il d’être complètement submergé par ce flot d’information ?
Puisque nous ne pouvons réfléchir qu’à une seule chose à la fois, comment le cerveau traite-t-il ces millions de messages qui lui arrivent en même temps ? De toute évidence, non seulement il survit à ce déluge de renseignement, mais il les traite très facilement.
Le cerveau humain consiste en une dizaine de milliards de cellules nerveuses. Chaque cellule nerveuse possède entre dix mille et cent mille fibres de liaisons par lesquelles elle est reliée aux autres cellules du cerveau. Le nombre total des connexions dans le cerveau est proche d’un million de milliards.
Comparés au cerveau humain, les ordinateurs les plus perfectionnés semblent rudimentaires. Notre mémoire active emmagasine des milliards de fois plus d’informations qu’un gros ordinateur de recherche moderne.
Ces dernières années, les savants ont avancé à pas de géant dans l’étude du cerveau. Toutefois, ce qu’ils ont appris n’est rien comparé à ce qui reste inconnu. Un chercheur a déclaré qu’après plusieurs millénaires de conjectures et quelques dizaines d’années de recherches scientifiques intenses, tout comme l’univers, notre cerveau demeure fondamentalement mystérieux.
Incontestablement, le cerveau humain est bien l’aspect le plus impénétrable du miracle qu’est l’homme lui-même.
Contrairement à celui de n’importe quel animal, le cerveau de l’enfant triple son volume au cours de sa première année de vie. Avec le temps, 100 milliards de cellules nerveuses, les neurones, et d’autres types de cellules sont ainsi enfermés dans le cerveau, alors que celui-ci ne constitue que 2% du poids du corps humain. Les neurones ne se touchent pas vraiment, Ils sont séparés par les synapses, de minuscules espaces de l’ordre de quelques centièmes de micron.
La connexion se fait par des substances chimiques qu’on appelle neuromédiateurs. Ces signaux chimiques sont perçus à une extrémité du neurone par un labyrinthe de minuscules filaments, les dendrites, puis ils sont transmis à l’autre extrémité du neurone par une fibre nerveuse, l’axone.
Dans le neurone, ces signaux sont électriques, mais dans les espaces intercellulaires, ils sont chimiques. La transmission des signaux nerveux est donc de nature électrochimique. On ne connaît pas de façons certaines les changements physiologiques qui se produisent dans le cerveau quand nous acquérons des connaissances.
Cependant, des expériences ont montré qu’au fur et à mesure que nous apprenons, notamment durant notre jeunesse, de meilleures connexions s’établissent, et les substances chimiques qui font la jonction entre les neurones sont libérées en plus grande quantité. L’utilisation prolongée du cerveau fortifie les connexions et la capacité d’apprendre augmente.
Le nombre de connexion possible entre neurones est astronomique. En effet, chaque neurone peut avoir des milliers de connexions avec ses voisins. Il y a non seulement des connexions entre neurones, mais également des microcircuits qui relient directement les dendrites entre elles.
C’est son cortex cérébral qui distingue nettement l’homme de l’animal. Il s’agit de la couche extérieure plissée du cerveau, d’une épaisseur d’à peine un demi centimètre, qui épouse la forme de la boite crânienne. Déplié, le cortex occuperait une surface de quelque 20 décimètres carrés, avec environ 1000 kilomètres de fibres de connexions par centimètre cube.
Nous sommes émerveillés par le fait que le cerveau humain puisse emmagasiner une information incommensurable. Ce qui se passe dans un si petit espace défie l’entendement humain. Imaginez, par exemple, ce que fait le cerveau d’un pianiste quand ses doigts courent sur le clavier pour jouer une partition difficile.
Il faut que son cerveau ait un extraordinaire sens du mouvement pour commander aux doigts de frapper les bonnes touches au bon moment et avec la force qui convient en fonction des notes qui trottent dans sa tête !
S’il fait une fausse note, son cerveau l’en informe immédiatement. Ce programme d’une complexité incroyable a été développé par des années de pratique. Mais cela n’a été possible que parce que la capacité musicale était programmée à la naissance dans le cerveau humain.
Aucun cerveau animal n’a jamais conçu pareilles choses et n’est capable de les faire. Aucune théorie évolutionniste ne peut expliquer cela.
S’il est vrai que les animaux font des choses étonnantes, guidés par leurs instincts définis à l’avance et de façon permanente, ils ne peuvent absolument pas rivaliser avec les humains dont la souplesse du cerveau leur permet de penser, agir et de construire continuellement à partir des connaissances acquises.
Le docteur Robert White, neurochirurgien en est arrivé à la conclusion suivante : « Devant l’incroyable relation qui existe entre cet organe et l’esprit humain et qui dépasse l’entendement, je suis contraint de reconnaître l’existence d’une intelligence supérieure capable de l’avoir conçue et réalisée. Je me vois contraint d’attribuer l’origine de cette association à la volonté d’un être intelligent. »
Note: Tiré du livre "Dieu ou le hasard ? Il faut choisir"
Source : http://forum-arrif.com/
Les fonctions cérébrales se modifient chez les survivants d'un tremblement de terre…
Il semble que les effets du tremblement de terre ne s'arrêtent pas après la catastrophe. Les dommages sont malheureusement terribles et vont de la perte de leurs biens, leur logement, et la perte d'être chers.
A tout cela s'ajoute, comme si cela ne suffisait pas, la possibilité d'altérations des fonctions cérébrales chez les personnes qui ont survécu à la catastrophe.
C'est ce qui ressort d'une recherche menée sur les survivants du tremblement de terre dans le Sichuan (Chine) du 12 Mai 2008. Cette catastrophe, qui a été classée huitième sur l'échelle de Richter, a laissé des dizaines de milliers de victimes, blessés et disparus. Cette recherche a été la première à traiter des effets des tremblements de terre sur la psyché humaine.
L'étude, publiée dans la revue de l'Académie américaine des sciences «PNAS», coordonné par Andrea Mechelli de l'Institut de psychiatrie au King's College London, révèle les changements des fonctions cérébrales quelques jours après avoir survécu à un tremblement de terre.
Nous ne sommes pas loin des troubles de stress post traumatique, qui surviennent suite à la participation à des guerres.
Après une catastrophe comme celle des Abruzzes de nombreuses personnes impliquées ressentent de la souffrance, et ceci pouvant durer de nombreuses années accompagnées par des troubles post-traumatiques.
La persistance de ces troubles peut emprisonner l'individu dans un état constant de choc. Ces troubles ont également été associée à un dysfonctionnement du cerveau, mais jusqu'à présent seules des études de très court terme sur les effets du tremblement de terre ont été réalisées.
Dans l'étude, 44 chinois survivants de la tragédie de 2008, ont subi des IRM (imageries par résonnance magnétique) ainsi que 32 sujets contrôle qui n'étaient pas impliqués dans le tremblement de terre.
Les clichés du cerveau ont été réalisées au cours des 25 premiers jours suivant le tremblement de terre, en moyenne après 13 jours.
Il ressort de l'étude des modifications dans le cerveau des survivants après le séisme: une hyperactivation a été enregistré frontolimbiche et régions du striatum ainsi qu'une réduction de l'interconnexion entre les différentes régions du cerveau.
Les chercheurs ont expliqués que: "Les résultats montrent que les altérations importantes des fonctions du cerveau sont semblables à celles observées en post-syndrome de stress traumatique et peuvent être décelées immédiatement après la catastrophe".
Cette recherche pourrait souligner l'importance du soutien médical pour aider à identifier les personnes qui ont besoin de traitement immédiat afin de réduire sur le long terme l'impact psychologique du traumatisme.
Source : http://fr.healthnews.com/
Le « sens magnétique » est très courant dans la nature, qu'en est-il de l'homme ?
Possédons-nous ce sixième sens ?
Il semblerait que oui, mais que nous ne serions pas en mesure de nous en servir de manière consciente, exception faite des sourciers qui pourraient être en mesure de trouver des nappes d'eau en détectant de faibles variations du champ magnétique.
Une expérience menée par un professeur de zoologie de l'Université de Manchester tend d'ailleurs à le démontrer. Des étudiants, qu'il avait transportés loin de l'université avec les yeux bandés, étaient en mesure d'indiquer dans quelle direction se trouvait leur université. Cependant, dès que le bandeau leur était enlevé, ils montraient toujours une direction fausse.
De plus, lorsque ces étudiants portaient un casque muni d'aimants, ils n'étaient plus en mesure d'indiquer la bonne direction, qu'ils aient les yeux bandés ou non.
De plus, en 1992, la présence de particules de magnétite dans toutes les régions du cerveau humain a été démontrée, ce qui pourrait conforter l'hypothèse du sens magnétique chez l'homme. L'homme serait alors lui aussi un pigeon voyageur, mais qui s'ignore… !
L’homme est connecté à la Terre…
Lorsque les astronautes rentraient de leurs missions spatiales, ils avaient tous de sérieux problèmes de santé. En effet, lorsqu'ils volaient au dehors de l'Ionosphère, il leur manquait cette fréquence vitale de 7,8 Hertz. Pour résoudre ce problème majeur, on installa à bord des vaisseaux de l'espace des générateurs d'ondes de Schumann artificielles.
La NASA a, sur ce sujet, multiplié les études et prouvé que si l'on enferme quelqu'un dans un bunker totalement isolé magnétiquement, de graves problèmes de santé surviennent rapidement accompagnés de rythmes cardiaques complètement anarchiques. Dés que l'on émet des pulsations de 7,8 Hertz à l'intérieur, immédiatement les conditions se stabilisent.
Notons encore que beaucoup de problèmes cardiaques surviennent durant les tempêtes électromagnétiques sur Terre ; ils sont dus aux perturbations de ces ondes RS ou onde Schumann. Actuellement, toutes les recherches faites sur la RS indiquent que la fréquence de base de la RS a augmenté dangereusement créant une menace pour toute la Biosphère et pour la santé et l'avenir de l'espèce humaine.
Rappelons que tous les processus biologiques sont fonction des interactions du champ électromagnétique. Ces champs EM constituent le lien entre le monde des formes et les schémas de résonance ; ils stockent les configurations et les modèles d'information. Enfin, le pont qui relie les résonances du système solaire et les fréquences cérébrales se situe dans l'hélice de l'ADN humain…
Certains phénomènes des champs électromagnétiques ont pu être associés à une diminution de la résistance immunitaire et à la prolifération de cellules anormales (tumorales.).
Ainsi le champ Isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émanent de nos corps sont étroitement imbriqués ; nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes affectant notre équilibre.
Source, et plus d’infos sur : http://www.aci-multimedia.net/connaissance/resonance_schumann1.html
Il n’est plus à démontrer que l’homme est relié et connecté à la Terre mère, ce que les hommes, que nous appelons ‘’ sauvages ‘’ connaissent ou connaissaient parfaitement. Parmi ces hommes citons les Amérindiens, les tribus Amazonienne, les Indiens d’Amériques etc etc…
Or, fait étrange, plus l’homme dit moderne évolue vers la modernité, plus il s’éloigne de la Terre mère, et de cette connexion.
Je me faisais cette remarque depuis un moment, en constatant par exemple, que nous passons des jours, et des semaines parfois sans aucun contact physique avec la planète elle même, du moins pour ceux qui résident dans les villes principalement.
En effet, nos appartements ou nos maisons, nous isolent de la Terre, tout comme nous isolent nos routes goudronnées, nos voitures, nos chaussures, nos trottoirs, etc etc…
Et encore plus étrange quand on y regarde de plus près finalement, dans nos villes, le peu d’espace ou la terre est encore visible, et ou les arbres sont encore en place, ces espaces nous sont interdit… !
Une déconnexion presque totale avec notre Terre, est ainsi mise en place, ceci sans même que nous nous en rendions finalement compte. Comme si tout était fait pour nous déconnecter de plus en plus, afin que nous nous coupions de ce cordon ombilical qui nous relie à notre planète !
Quand on demande à nos enfants de dessiner un poisson, c’est limite s’ils ne nous dessine pas un carré, carré représentant un poisson pané Findus ! Ceci est une boutade bien entendu, mais nous ne sommes pas loin de cette réalité.
Les champs magnétiques influençant la planète commencent à changer de forme et même à se déplacer. Ce phénomène perturbe les animaux qui suivent habituellement les lignes magnétiques de la Terre durant leur migration. Ainsi on constate que des cétacés s'échouent sur les côtes, que des oiseaux changent leur trajet de migration habituel.
En fait certains ne s'y retrouvent plus puisque les lignes magnétiques qu'ils suivaient d'habitude se sont déplacées et que leurs routes migratoires s'en trouvent modifiées.
Il n'y a pas que les animaux qui sont perturbés par ces changements. La modification des champs magnétiques influence aussi beaucoup les émotions des humains.
Ce phénomène est comparable à celui des phases de la Lune. Il n'est plus à prouver que la période de pleine Lune perturbe le comportement de certains. Lorsque la Lune se rapproche de la Terre, le champ magnétique de notre planète est légèrement perturbé et influence particulièrement les humains qui sont déjà en état de déséquilibre ou d'instabilité émotionnelle.
Cette perturbation les déstabilise au point que leur comportement habituel peut changer radicalement. Mieux vaut ne pas imaginer ce qui se passerait si le champ magnétique de toute la planète se modifiait subitement…
La transformation actuelle de la Terre s'accompagne de la possibilité pour les humains de se transformer aussi, chacun ayant la possibilité d'éveiller sa conscience. Certains ont constaté qu'ils développent des facultés dont ils ne soupçonnaient pas l'existence jusqu'à présent.
Ils ont l'impression d'avoir reçu des " dons " comme la télépathie, la guérison physique, la communication avec l'au-delà, ou tout simplement un accroissement de leur intuition. Accepter l'éveil de conscience proposé en ce moment peut nous aider à nous adapter à la métamorphose de notre planète.
Alignement planétaire et magnétisme terrestre…
Le 21 décembre 2012, pour la première fois depuis 26.000 ans, le Soleil se situera à l'intersection de la Voie lactée et du plan écliptique, formant ainsi une croix cosmique, considérée comme une incarnation de l'Arbre Sacré, l'Arbre de la Vie (Cet Arbre de Vie,reconnu dans toutes les traditions spirituelles du monde, peut être vu comme la représentation du processus de création mettant à l'oeuvre, tant dans le Macrocosme qu'est l'Univers que dans le Microcosme qu'est l'Être Humain, des énergies ou puissances créatrices émanant du Créateur2. La mystique de la Kabbale utilise l'Arbre de Vie pour tenter de distinguer l'Essence Infinie (En Sof) d'un Dieu Unique et Créateur, de la manière dont il a créé à partir du vide (ex nihilo) ce monde fini (Sof) qui est le nôtre).
Le professeur Gillespie, paléo-astronome a découvert que quand Jupiter et Saturne sont alignées du même côté du soleil, ceci déclenche des tempêtes de taches solaires. Lorsque Jupiter et Saturne sont séparées, son activité est au plus bas. Ainsi, ces deux planètes influent sur son comportement.
Le 21/12/2012, Vénus et Saturne seront en conjonction d'un coté du Soleil, alors que Jupiter et la Terre seront en opposition de l'autre coté, ce qui aura pour effet de stimuler FORTEMENT les éruptions solaires au moment ou précisément, le 24 e cycle de l'activité du Soleil atteindra son MAXIMUM.
Nous savons que notre planète possède un bouclier magnétique polarisé. Des études en paléomagnétisme ont établi que la polarité magnétique de la Terre "s'était inversée plus de 170 fois pendant les derniers 80 millions d'années.
Selon un article du géologue S.K Runcorn, Professeur à l'Université de Cambridge, "il ne fait aucun doute que le champ magnétique de la Terre est déterminé directement ou indirectement par la rotation de la Terre". Donc, l'axe lui-même de la Terre aurait changé.
Plus simplement, la planète aurait basculé sur elle-même, ce qui aurait entraîné un changement de la localisation des pôles géographiques.
Selon des articles parus dans Nature, la dernière inversion géomagnétique a eu lieu il y a 12 400 ans, au onzième millénaire avant notre ère. On sait que cette période est marquée de grandes extinctions dans le monde animal.
Nous commençons à comprendre le magnétisme terrestre et ce que pourrait provoquer un dérèglement de ce magnétisme. On sait que les pôles Nord et Sud du champ sont susceptibles de s’inverser. Les laves solidifiées sont là pour en témoigner puisqu’elles pointent alternativement vers les régions australes ou boréales.
Depuis quelques décennies, on a d’ailleurs observé l’extension croissante d’une anomalie du champ magnétique dans l’Atlantique Sud.
Il y a environ un siècle, Tesla a mis en évidence un phénomène de vibration électromagnétique au niveau terrestre. Cinquante ans plus tard, Schumann a analysé le phénomène et mis au point un modèle mathématique permettant d’expliquer ce phénomène.
Ce phénomène vibratoire est composé d’ondes complexes que l’on peut décomposer avec une onde de base d’une fréquence de 7.83Hz, et d’une série d’harmoniques, multiple de cette fréquence.
Cette vibration est souvent vue comme le battement de cœur de la terre. L’atmosphère sous l’ionosphère (à environ 60 km d’altitude) se comporte comme un guide d’ondes, et le phénomène observé est lié à la propagation des ondes dans ce guide d’ondes.
Des théories affirment que la fréquence de 7,83Hz n’avait pas bougé depuis des millénaires, et que depuis les années 1987, elle est passée à 12Hz ! Ainsi, les battements de cœur augmentent depuis ces années. Coïncidences ou fruit du hasard, le projet HAARP a vu le jour dans les années 90.(The High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) is an ionospheric research program jointly funded by the U.S. Air Force, the U.S. Navy, the University of Alaska, and the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).[1]
Built by BAE Advanced Technologies (BAEAT), its purpose is to analyze the ionosphere and investigate the potential for developing ionospheric enhancement technology for radio communications and surveillance purposes.[2] The HAARP program operates a major Arctic facility, known as the HAARP Research Station, on an Air Force–owned site near Gakona, Alaska.)
Rappelons également que ce projet permettrait de contrôler entre autre le climat et bien plus grâce à l’utilisation d’ondes très basse fréquence (en 2004, des essais ont permis d’ allumer un point vert dans le ciel , visible à l’œil nu).
Extraits :
Jusque là, les scientifiques évitaient de réaliser ce genre d'expérience quand une aurore boréale, développant une énergie bien supérieure à Haarp, apparaissait dans le ciel. Mais un jour de mars 2004, l'envie leur a pris d'essayer quand même.
Et en février 2005, la lueur verte s'est allumée. L'explication donnée à ce phénomène inattendu est que le signal radio (pulsé) a dû amplifier localement la puissance de l'aurore boréale.
Voilà de quoi mieux comprendre ce magnifique phénomène… et relancer la polémique sur l'utilisation de Haarp pour perturber le fonctionnement de l'atmosphère.
Source : Futura Sciences.
Pour conclure et en comparaison, voici les fréquences émises par le cerveau variant en fonction de son l’activité :
- Les ondes bêta (12-45Hz), sont les ondes émises par le cerveau à l’état de veille, et également pendant le sommeil paradoxal, c'est-à-dire les phases oniriques du sommeil.
- Les ondes alpha (8-12Hz), sont les ondes émises par le cerveau dans un état de relaxation légère (au repos, les yeux fermés).
- Les ondes thêta (4-8Hz), sont les ondes émises pendant l’endormissement, pendant la première phase de sommeil lent (c'est-à-dire non paradoxal), et également pendant les états de relaxations profondes (méditation, hypnose, ...) - Les ondes delta (0,5-4Hz), sont les ondes émises pendant le sommeil profond.
Les état de transes profonds permettent de descendre dans les ondes delta mais c’est assez difficile (risque d’endormissement). - 8 à 12 Hz correspondant à la fréquence de l'onde alpha du réseau neural du cerveau, fréquence qui correspond à celle de résonance de la Terre (fréquence de Schumann).
Il est intéressant de noter que les fréquences du rythme alpha sont très proches des fréquences que la terre produit et qui sont appelées champ Schuman (7,83 hertz).
Cette relation entre le champ magnétique terrestre, l’accélération de la fréquence de résonance et le cerveau humain, nous démontrent, que nous le souhaitions ou pas, que les choses bougent...
Etude scientifique : 2012 sera Hot !
Une étude réalisée par des scientifiques du Centre national pour la recherche atmosphérique (Boulder, Colorado) prévoit avec certitude que le prochain cycle d’activité solaire parviendra à son apogée en 2012 et qu’il aura des pics d’une intensité maximale de 30% à 50% plus puissante que ceux du cycle précédent.
Ce cycle solaire 24, semble parti pour être un des cycles les plus intenses depuis que ceux-ci sont observés, c’est à dire bientôt 400 ans. Avec un nombre de taches solaires ( issues du magnétisme produit à l’intérieur du soleil) de 160, plus ou moins 25. Cela en ferait un des cycles solaires les plus violents des 50 dernières années, soit un des plus puissants des temps historiques tout court.
Source : http://panicisland.free.fr
Comme toujours c’est à vous de juger…
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