Thursday, March 31, 2011

Le secret le plus secret du Vatican

Saviez-vous que le Vatican a envoyé en secret un satellite (la sonde Siloe) pour photografier la planète Nibiru en approche de la Terre, qu'il dirige des installations astronomiques parmi les plus importantes du monde, en Arizona et en Alaska, pour suivre son programme de contacts spatiaux, et qu'il réalise tout cela sous un programme ultra secret nommé "Secretum Omega" ?

Extrait du livre LES SECRETS DU VATICAN

Barbato : Parlons de votre mission dans le SIV...



Jésuite : Mes tâches sont purement techniques, la plus importante étant, par exemple, de transmettre des informations très secrètes provenant du radiotélescope du Vatican situé en Alaska et de les acheminer à qui de droit.



Barbato : Un instant, de quel radiotélescope parlez-vous ? Je ne savais pas que le Vatican possédait pareil matériel dans cette région.



Jésuite : Le Vatican possède et utilise un radiotélescope qui est à l'avant-garde de la technologie et manipulé seulement par des jésuites. Il est installé dans un parc industriel de stockage de pétrole apparemment à l'abandon, situé en Alaska. Ce complexe constitue un camouflage, parce que les activités qui y sont conduites sont top secrètes et ne sont pas celles, plus officielles, du VATT (Télescope de Technologie Avancée du Vatican) situé, lui, en Arizona.





Barbato : Quand cet appareillage a-t-il été construit, et surtout dans quel but le Vatican utilise-t-il autant d'installations astronomiques dans le monde ?





Jésuite : Je peux vous dire qu'il a été construit dans les années 90 dans le but d'observer tous les objets célestes inhabituels s'approchant de la Terre. C'est ce que fait la CIA avec l'un des ses « yeux secrets », le jumeau de Hubble, appelé SkyHole-12 (aussi nommé KeyHole-12 ou KH-12; pour plus de détails, voir : http://en.wikipedia.org/wiki/KH-12



Il se trouve qu'au moment des rencontres entre les aliénigènes et Pie XII, le SIV fut informé de l'approche d'un corps céleste habité par des êtres très avancés et très belliqueux.



Bref, je savais que ce que j'allais recevoir à Rome et analyser par l'informatique était très intéressant et extrêmement secret. C'est en analysant certaines données issues du radiotélescope de l'Alaska que nous avons découvert qu'une sonde spatiale du programme d'exploration Siloe, lancée dans les années 90, avait pris un cliché d'une énorme planète s'approchant du système solaire.



Cette information fut captée en Alaska en octobre 1995, et c'est alors que mes problèmes commencèrent. Je me rendis compte que je n'avais pas été désigné pour décoder cette transmission particulière et que la situation devenait dangereuse. À ce moment, mon contact me révéla qu'il y avait, au sein du Vatican, deux factions luttant pour la possession et le contrôle de cette information classifiée bien au-dessus de « top secrète ».



Barbato : Pouvez-vous me donner d'autres détails sur le programme spatial Siloe ? Qui en sont les commanditaires et les opérateurs ?





Jésuite : La sonde Siloe a hérité du nom d'un programme d'exploration spatiale initié au début des années 90. Ce programme faisait partie d'un autre, beaucoup plus ambitieux, nommé "Kerigma". Pour le moment, je me contenterai de vous dire que cette sonde fut fabriquée dans la Zone 51, qu'elle a un moteur à impulsion électromagnétique et qu'elle a été placée sur orbite par un avion spatial de type Aurora3.



La sonde n'était pas chargée de données de calcul, ni de trajectoire, ni d'indications précises quant à la position de Nibiru, car elle devait s'approcher de la planète, corriger sa trajectoire pour éviter l'impact et revenir dans le système solaire à une position suffisamment proche pour pouvoir transmettre les données et les images au radiotélescope secret situé en Alaska. Son lancement eut lieu en même temps que la mise en service du radiotélescope et elle fut en mesure d'émettre des images dès 1995.



Barbato : Ce que vous me racontez me fait penser aux théories du chercheur Zecharia Sitchin concernant le retour prévu d'une mystérieuse douzième planète. Connaissez-vous ses œuvres ?





Jésuite : Oui, j'en connais les principaux éléments. Le SIV, en collaboration avec Lockheed Martin, a envoyé cette sonde dont j'ai par la suite analysé les images. Ce sont des vues d'un énorme objet céleste dont la présence se fera « sentir » dans notre système solaire tout au plus dans les trois ans après 2001.



Barbato : Comment avez-vous obtenu ces informations ?



Jésuite : Je dispose d'une autorisation de supervision de ce qu'on appelle le Secretum Omega. C'est le plus haut niveau de secret du Vatican, l'équivalent au Top Secret Cosmique de l'Otan. Celui-ci est divisé en trois niveaux d'informations : depuis le Secretum Omega degré III, le moins détaillé, jusqu'au Secretum Omega degré I, le plus complet. Ma mission était d'initier les nouveaux membres du SIV et de les entraîner à l'usage des systèmes de communication de l'organisation.



Barbato : Comment les données recueillies par le radiotélescope sont-elles envoyées en Italie ?





Jésuite : La compagnie américaine de télécommunication Sprint International possède des radios et des antennes paraboliques situées au nord et au sud de l'Italie et deux satellites géostationnaires avec lesquels elles sont en liaison. Cette compagnie a un contrat particulier avec le SIV et une fréquence d'émission/réception de données chiffrées utilisant, depuis 1994, des algorithmes et une cryptographie personnalisés. Avant cette date, le SIV utilisait un système cryptographique inventé par une société suisse; il a été abandonné parce qu'un membre de cette société l'a secrètement vendu à des Israéliens. Je ne puis vous donner davantage d'information technique pour l'instant.



Barbato : J'aimerais que vous me parliez d'un légat de l'Église bien connu, Monsignor Balducci, qui a publiquement abordé le thème des extraterrestres. Ce prélat connaît-il le SIV et agit-il de concert avec eux ?





Jésuite : Le Père Balducci a fait des études et mené sa recherche de façon tout à fait autonome sans suivre un programme pré-existant. Il n'a jamais été empêché; au contraire, on l'a plutôt encouragé.



Barbato : Vous permettez... À vous entendre, il semblerait qu'il y ait un programme de divulgation. Et ne serait-ce pas pour cela que vous avez décidé de me rencontrer et de me communiquer ces informations ?





Jésuite : Du point de vue du système, nous sommes en pleine dissidence, mais nous savons que des événements vont se produire qui affecteront tous les êtres vivants de cette planète, personne n'y échappera.



L'humanité vit une période particulière de son histoire, des circonstances intimement liées à des événements clés annoncés dans l'Apocalypse. Il importe que l'humanité se rallie entièrement au message de salut et de rédemption du Christ que Saint Paul a appelé kerigma, un message que Jean-Paul II essaye de répandre dans toutes les nations. Pensez-vous que le pape ne connaisse pas l'imminence de ces événements ? (Cette interview a eu lieu avant la mort du pape Jean-Paul II). (Souvenez-vous de ce que nous avons dit au début de cette page ! NdW)



Barbato : Mais que sait le pape de tout cela, particulièrement si l'on se souvient de sa déclaration passionnée de 2000 ?





Jésuite : Deux groupes s'opposent au sein du Vatican : l'un d'eux préconise la divulgation et est soutenu sans réserve par Wojtila (Jean-Paul II);



l'autre tente de bloquer par n'importe quels moyens toute information. Certains membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux secteurs de l'économie internationale dans le seul but d'étouffer l'information sur le développement des sources alternatives d'énergie, dites « énergie libre ».



Ceci a été confirmé par l'affaire « Gardian » (Canada, 1989-91), spectaculaire mais peu concluante, du groupe ufologique CUFORN (Canadian UFO Research Network), qui fit sensation mais dont les photos de présumés aliénigènes n'ont pas été montrées.



De toute façon ces documents exposent une réalité : les opérations complexes de manipulation-désinformation dépassent souvent la fantaisie la plus folle.

Le sommet de toutes ces organisations occultes appartient au Gouvernement de l'Ombre, et n'est connu que sous l'acronyme SVS.



Source :

http://patrick.delsaut1.club.fr/confessions_dun_agent_secret_du_vatican.html

Wednesday, March 30, 2011

Socolait et Transition : Détournements et menaces de mort

La seule industrie laitière du pays encore en activité connait aujourd’hui d’immenses problèmes à la suite de détournements opérés par une responsable commerciale. Comme toujours malheureusement, la dame en question a abusé de la confiance des dirigeants de l’entreprise en détournant des produits finis (lait concentré, yaourt…) mais aussi les recettes des ventes.

Finalement, le crime est découvert et une plainte a été déposée auprès des autorités compétentes. L’enquête a permis de savoir que la dame avait également filouté des distributeurs en achetant des bougies et d’ autres produits courants sans les payer.

L’enquête a alors conduit les autorités judiciaires et policières malgaches à saisir leurs homologues mauriciennes en vue de l’extradition de la dame en question.

C’est donc ce jour que la responsable indélicate est prévue de rentrer au pays pour se faire arrêter. Comble de malheur pour les victimes, de hauts responsables de la Transition se sont déjà mobilisés pour protéger l’ancienne responsable commerciale de Socolait. C’est peut-être la raison pour laquelle les dirigeants de l’entreprise reçoivent des menaces de mort selon lesquelles toute la famille, des grands-parents aux petits-fils, disparaîtront si on persiste à poursuivre la collaboratrice indélicate.

Quand la menace est assortie des informations sur l’intervention de hauts responsables de la Transition, on s’inquiète logiquement. Surtout quand on sait que la dame en question est la fille d’un ancien ministre qui pourrait jouir de la solidarité d’anciens dirigeants.

En tout cas, si la solidarité entre anciens ministres ou encore les descendants de tel ou tel corps administratifs est a priori louable, le lobby que ce genre d’association veut imposer est inacceptable quand il s’agit de protéger des malversations. Sinon, ce genre de regroupement ne serait qu’à l’image de la maffia italienne ou New Yorkaise.

En effet, ce n’est pas parce qu’une employée indélicate est la fille d’un ancien ministre que des dirigeants se mobilisent sans tenir aucunement compte des préjudices à la société victime. On parle notamment de plusieurs milliards. Ce chiffre ne tient pas compte des impacts au niveau de la région Vakinankaratra dont l’élevage de vaches laitières a pu survivre, après la fermeture de Tiko, grâce à l’existence de Socolait qui a assuré la collecte du lait produit dans les villages.

Aujourd’hui, des responsables de la Transition veulent intervenir pour on ne sait quelle raison, ou plutôt pour les raisons que l’on sait par rapport à certaines personnalités, sans tenir compte des risques sur une région et des milliers de personnes qui vont s’appauvrir si on va protéger des voleurs. L’échelle du Vakinankaratra et de Socolait est en fait extensible à tout le pays. Qui en est conscient ?

La Hyundai IX a séduit les malgaches


Crise ou pas, les concessionnaires automobiles font tout pour attirer la clientèle et visiblement, la stratégie réussit.

« Plusieurs commandes de l'IX 35 sont en cours et le constructeur n'arrive pas à suivre la cadence », c'est ce qu'a déclaré Andry Raveloson, le chef des ventes de Sicam-Socimex, concessionnaire de la marque Hyundai à Madagascar. Et celui-ci de poursuivre que Madagascar ne fait pas exception par rapport à cette tendance mondiale des commandes de la Hyundai IX 35. « Elle est aujourd'hui en tête de nos ventes », selon toujours ce responsable, tout heureux de constater cet énorme succès que connaît la Hyundai IX35.

Place de choix. L'IX35 dernier des usines Hyundai,rappelons-le, a été lancé par Sicam-Socimex, sur le marché malgache, il y a six mois de cela, et a tout de suite charmé les consommateurs malgaches. « L'IX35, avec son design félin, s'est taillé une place de choix sur le marché des véhicules neufs à Madagascar. Elle arrive à toucher une gamme très large de consommateurs potentiels, grâce à ses atouts mécaniques et technologiques », selon toujours Andry Raveloson. Celui-ci de préciser: « Du père de famille aux jeunes cadres d'entreprise, en passant par les jeunes couples ou encore les férus de la mécanique, l'IX 35 est la voiture idéale car elle assure avec facilité son rôle de Sport Unity Vehicle (SUV).

Atouts. En tout cas, l'IX 35 se distingue par ses équipements issus des dernières révolutions en matière de technologie automobile et qui constituent autant d'atouts qui ont séduit et qui continuent de séduire. Ce, d'autant plus que l'acquéreur a la possibilité de configurer la voiture en fonction de ses envies et de ses besoins. « Le client peut commander les options de son choix pour avoir, à la livraison, une voiture personnalisée », continue Andry Raveloson, avant de conclure: l »IX35 donne aujourd'hui une image efficace de robustesse de sécurité, de confort et de luxe, avec un rapport qualité-prix très compétitif ». C'est également une voiture respectueuse des normes environnementales.

Performences

Sous le capot du ix35, quatre moteurs seront proposés, de 115 à 184 ch, dont deux Diesel. Mais au lancement, seuls deux motorisations seront disponibles. Un 2.0 litres essence de 163 ch et 194 Nm, en tandem avec une boîte manuelle (7.5 l/100 km et 177g/km de CO2) et un excellent Diesel 2.0 CRDi dérivé du 2.2 litres utilisé sur le Santa Fe.

Un bloc particulièrement efficient avec son système à rampe commune de troisième génération et son Turbo à géométrie variable. Il sera décliné en deux niveaux de puissance. La version 136 ch est couplée à une transmission manuelle, afin de rester en zone neutre quelque-soit la transmission choisie (147 g/km de CO2 en deux roues motrices et 149 g/km de CO2 en quatre roues motrices). Il faudra se diriger vers le haut de gamme 184 ch (uniquement proposé en quatre roues motrices) pour profiter de la boîte automatique à 5 rapports développée par « Hyundai / Kia ». Mais avec 187 g/km de CO2 rejetés, ce dernier est pénalisé par un malus de 750 euros.

Les deux transmissions exploitent pourtant des systèmes invitant à l'éco-conduite : « un indicateur de changement de rapport » sur la boîte manuelle et « un commutateur ECO Drive actif » en plus du « mode Sport » sur l'automatique.

Vif, le ix35 n'est pas pénalisé par un allongement excessif des rapports de boîte. Le 2.0 CRDi reste souple même en reprise sur le sixième rapport à 120 km/h avec son couple de 320 Nm disponible dès 1800 tr/min. Pas de surprise concernant la version 184 ch. Avec un couple de 392 Nm disponible dès 1800 tr/min et couplée à une boîte automatique aussi douce que réactive, l'impression de qualité est digne des références.

Mais il faudra attendre encore un peu pour profiter des moteurs vraiment intéressants. Une version essence 1.6 GDI de 140 ch arrivera dès septembre à un prix d'appel situé à moins de 20 000 euros. Les Dieselistes pourront se diriger dès octobre vers un 1.7 litre de 115 ch de dernière génération, qui se distinguera par sa souplesse (90% du couple est disponible dès 2000 tr/min). Les deux blocs seront couplés à un système Stop&Go « ISG» afin de les maintenir dans la zone neutre. (149 g/km de CO2 pour l'essence 1.6 GDI et 139 g/km de CO2 pour le Diesel 1.7 litre).

Pour une guerre propre en Libye : Londres a décidé d'armer les insurgés

Devant les difficultés rencontrées sur le terrain par les rebelles libyens, la question se pose avec acuité de leur éventuel armement par les forces de la coalition, après la réunion, mardi 29 mars à Londres, du "groupe de contact" chargé du pilotage politique de l'opération internationale.
Lors du sommet, le ministre des affaires étrangères français, Alain Juppé, a déclaré que la France était prête à discuter avec ses alliés d'une aide militaire aux rebelles, tout en reconnaissant qu'une telle mesure n'était pas prévue par la résolution 1973 de l'ONU. A Benghazi, un porte-parole du Conseil national de transition (CNT) a en effet déclaré que les insurgés cherchaient à se procurer des armes lourdes auprès de "nations amies".
Malgré le repli des forces insurgées ces dernières heures, mises en difficulté sur le terrain par l'armée loyaliste, Barack Obama s'est dit persuadé que Mouammar Kadhafi finirait par quitter le pouvoir.

UN AMBASSADEUR FRANÇAIS À BENGHAZI


Le communiqué final du sommet de Londres considère en effet que "Kadhafi et son régime ont perdu toute légitimité et seront tenus responsables de leur action", tout en précisant que "seuls les Libyens" peuvent choisir leur avenir. Mais en pratique, tout n'est pas aussi simple : l'amiral James Stavridis, commandant des forces américaines en Europe, n'a pas caché que l'OTAN n'avait "pas de représentant" en Libye pour assurer une liaison avec les rebelles. L'amiral a par ailleurs affirmé qu'il y avait des "signes" de présence possible de militants d'Al-Qaida ou du Hezbollah dans les rangs rebelles, tout en jugeant que les chefs de l'opposition semblaient "responsables".

En marge de la réunion, l'opposition libyenne a enregistré plusieurs avancées. Mahmoud Jibril, responsable des affaires internationales du CNT, a rencontré les ministres des affaires étrangères américain, britannique et français. Un émissaire américain est attendu à Benghazi, où un diplomate français, Antoine Sivan, a pris ses fonctions mardi soir auprès de l'opposition libyenne. Ainsi conforté, le CNT a promis des "élections libres et justes" et souligné ses "aspirations à un Etat uni, libre et moderne". Il a aussi insisté pour que "les crimes" commis par le colonel Kadhafi ne restent "pas impunis".

LA LIGUE ARABE PEU PRÉSENTE

En revanche, les pays arabes sont apparus en retrait. Seuls sept des vingt-quatre pays de la Ligue arabe étaient présents. Et à l'exception des Emirats arabes unis et du Qatar, ils n'étaient représentés que par des ambassadeurs, non par leurs ministres des affaires étrangères. Quant à l'Union africaine, pourtant dûment invitée, elle n'a pas fait le déplacement, après avoir critiqué l'intervention militaire et "l'absence de feuille de route".

Le régime libyen, de son côté, est de plus en plus isolé sur la scène internationale. Après la défection de son ambassadeur à l'ONU, Mohammed Shalgham, c'est un proche du président nicaraguayen, Daniel Ortega, qui représentera les intérêts libyens aux Nations unies, a annoncé Managua mardi. Miguel d'Escoto, diplomate et conseiller de M. Ortega pour les affaires internationales, a pour instruction du président nicaraguayen d'"accepter cette nomination" pour aider la Libye à défendre son droit à résoudre ses problèmes intérieurs sans ingérence étrangère, a déclaré Rosario Murillo, épouse et porte-parole du président sandiniste, qui affiche un soutien militant au colonel libyen.


LES DESSOUS DE LA GUERRE DE LIBYE

Libye et Bahreïn (entre autres) les populations se révoltent

- Bahrein: il s’agit de la population du pays qui se révolte contre la corruption gouvernementale : les autorités matent la rébellion par la violence avec la bénédiction de l’Amérique, de l’ONU et de tout le monde occidental intéressé par les conditions actuelles concernant le pétrole. Bahreïn est un fief américain, pas question que les populations viennent semer le désordre en réclamant un peu de justice !

- En revanche, le pétrole de Libye n’appartient pas aux multinationales occidentales, et curieusement ceux qui se « révoltent » ne sont pas libyens. Il s’agit de meneurs égyptiens, turcs, etc., formés par la CIA, parfaitement équipés en armement, et organisés pour prendre le contrôle du pétrole en renversant le gouvernement actuel pour le substituer par un gouvernement choisi par les américains.

En fait, pas exactement les américains, pour être plus précis: les multinationales du Nouvel ordre Mondial qui contrôlent l’ONU. Et, pour encore plus de précision, celles qui peuvent influer directement sur leurs gouvernements respectifs et qui ont le plus intérêt à installer un gouvernement à leur solde dans un pays riche de pétrole, alors devinez qui est derrière toute l’opération : Total, Shell et Repsol qui passent par le Qatar pour s’approprier le pétrole. Et curieusement, quels pays se précipitent pour engager la guerre (dans le même ordre) : France, Grande-Bretagne et Espagne !

Quant à « l’action humanitaire » déclarée officiellement pour la forme, le monde entier en rit encore : depuis quand les multinationales du pétrole ou les puissances occidentales exploitrices du Tiers Monde se soucieraient-elles de faire de « l’humanitaire » ! Avec seulement 10% des sommes engagées dans cette guerre pour soi-disant protéger quelques centaines de civils, ce sont des dizaines de milliers d’enfants d’Afrique ou d’Asie qui auraient pu être sauvés alors qu'ils sont en train de mourir de maladies facilement guérissables!
Les populations libyennes, elles, ne se plaignaient pas ! Leur dictateur n’est ni meilleur ni pire qu’un Obama ou un Sarkozy, et les seuls crimes commis contre les populations sont l’œuvre des « insurgés », et non pas du gouvernement libyen contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire !

Quant aux opérations sur le terrain (selon des informations directes, sites maintenant bloqués), elles ne sont pas du tout conduites pour protéger qui que ce soit, mais pour faciliter l’avance des insurgés en détruisant l’armée officielle de Libye, et peu importe la quantité de civils massacrés par les bombardements aériens !

Il est plus que probable que cette guerre durera donc jusqu’à l’élimination définitive de Kadhafi et son remplacement par un gouvernement favorable aux intérêts économiques de ces multinationales, elles-mêmes contrôlées par ce qu’on appelle « le Nouvel Ordre Mondial », à savoir le Club Bilderberg, qui continue ainsi son avance, offrant par l’ONU à ces trois pays une opportunité de gagner un peu d’argent pétrolé pour payer leurs dettes aux patrons de Bilderberg, ce qui permettra au dollar de survivre encore un peu, le temps d’achever de ramasser tout l’or possible avant le Grand Crash, car, du plus petit village de Pologne au bled du fond de l’Italie en passant par toutes les villes de tous les pays, ces mêmes banquiers sont en train de ramasser tout l’or du monde par leurs officines de rachat : nous avons mis en place la crise, et maintenant nous augmentons l’hyperinflation pour que votre ultime recours soit de nous donner votre or en échange de quoi nous vous donnerons de quoi manger encore quelques temps.
D’après les experts, le Grand Crash serait pour le second semestre de 2011. Les monnaies ne vaudront plus rien, on en sortira une nouvelle, et nos détenteurs de l’or seront infiniment plus riches par rapport au reste du monde occidental, ce qui leur permettra de se relever de leur chute actuelle face aux banques asiatiques.

En attendant, toutes les opportunités de ramasser un peu plus sont bonnes : Libye, on installe un gouvernement favorable à nos intérêts et on y exploite dès aujourd’hui le pétrole déjà contrôlé par « l’insurrection » ; Bahreïn, on maintient notre gouvernement en écrasant la révolte ; Irak et Afghanistan, pétrole et drogue financent la construction des plus importantes bases militaires américaines de la planète (encerclant ainsi la Chine) ; Europe et Etats-Unis, on poursuit avec la crise pour ratiboiser les populations ; Afrique, on entretient le sida et le sous développement en continuant l’exploitation des richesses naturelles; Asie, on commence à bien développer le virus SARS sur l’ensemble du continent, et le Japon se tiendra désormais tranquille par crainte d’un nouveau tsunami…
Le programme général est en bonne voie ! Malgré la résistance de quelques ennemis tels Internet, la presse non alignée ou les Libres Penseurs. Mais ceux-là seront neutralisés dès 2013 lorsque nous installerons les dictatures militaires dans tous les pays, par ordre de l’OMS, pour « protéger les populations contre les pandémies », avec le concours des armées de l’OTAN et de l’ONU, chargées d’appliquer les directives de l’OMS pour le « bien des populations ».

Et enfin, nous entrerons dans le « meilleur des mondes » ! …


Oui, mais voilà : depuis 1990, le « Nouvel ordre Mondial » a dû réviser ses plans plus d’une fois, a dû improviser à plusieurs reprises, et n’a fait qu’accumuler les erreurs et les échecs (le virus de la grippe n’a pas fonctionné, le Codex Alimentarius n’entre en vigueur qu’avec beaucoup de retard et en provoquant des vagues de protestations, les chemtrails sont dénoncés dans le monde entier et certains pilotes rechignent à continuer de gazer les populations… les libres penseurs se multiplient sur toute la planète à vitesse « grand V », et la Démosophie est en train de naître !

Après plus de vingt ans de mensonges officiels par les médias, une grande majorité de gens ne voient plus que le monde fictif que ces médias leur ont inventé ! Il est temps de se laver le cerveau de toute cette fiction et d’enfin voir le monde réel : expliquez à vos amis ou voisins que s’ils ne doivent lire qu’un seul livre dans leur vie, que ce soit celui-ci : la Démosophie !

Une bonne équipe




Tuesday, March 29, 2011

Fanandramana

Amiraly Ratsiraka: Sambany tao amin'ny Magro ! Niantso ny tanora mba hitsangana



Fampitan-kafatra io nataony io, hafatra ho an’ny tanora mba hitsangana amin'izay handray ny andraikiny..
Iray amin’izay nanamarika manokana ny fankalazana ny fahatsiarovana ny faha 64 taonan’ ny tolom-panafahana tamin'ny 1947 ny nidiran’ny Amiraly tamin’ny antso an-tariby mivantana avy any Paris tao amin’ny Magro Behoririka izay nivorian'ny Ankolafy telo, omaly tolakandro. Sambany izay ! Ny nanaitra ny rehetra dia tsy nanao teny firy izy raha vao tafiditra fa avy dia nihira ilay hiram-pitolonan'ny MDRM « Madagasikara Tanindrazanay ». Noventesiny avokoa ny andiny roa sy ilay fiverenana manao hoe : « Mitsangana ry tanora, mitsangana ka aza manana ahiahy ... Mijoroa sahia tokoa ho lehilahy ». Heverina fa tsy ny hampidera feo manga no nanaovany an’izany (izy rahateo koa moa efa zokinjokiny ihany ka somary garagara feo) fa azo ambara tsotra hoe fampitan-kafatra io nataony io, hafatra ho an’ny tanora mba hitsangana amin'izay handray ny andraikiny. Taorian’izay izy vao naneho firarian-tsoa ho an’ny vahoaka malagasy tsivakivolo.
Taorian’ny nametrahana fehezam-boninkazo teny Ambohijatovo moa dia nirohotra nihazo ny kianjan'ny Magro Behoririka ny rehetra. Tao anatin'ny filaminana tanteraka no nisehoan'izany rehetra izany, tsy nanelingelina azy ireo rahateo ihany koa ny mpitandro filaminan'ny Emmo-Reg izay vory marobe teny fa dia nanara-maso teny amin'ny manodidina fotsiny.

Monja Roindefo "rejoint les trois mouvances"

La commémoration du 29 mars 1947, d’hier, a en apparence, scellé l’alliance des trois mouvances et du Monima. En effet, le parti de Monja Roindefo s’est approché hier des trois forces politiques d’opposition, à Ambohijatovo lors de leur dépôt de gerbes.

M. Roindefo a avancé que cette présence aux côtés des trois mouvances d’hier, reste un signe de solidarité entre Malgaches qui militent pour une réelle indépendance nationale. Une explication qui ne convainc pas beaucoup de monde. Car l’alliance du Monima avec les trois mouvances se dessine depuis quelque temps, puisque le Monima a déjà été l’allié du Comité pour la Réconciliation Nationale d’Albert Zafy. Gabriel Rabearimanana, secrétaire général du parti en était l’un des principaux animateurs de ce mouvement politique opposé à Marc Ravalomanana.

Monja Roindefo a rejoint Andry Rajoelina, depuis le 7 février 2009, quand il a été désigné Premier ministre de la Transition sur la place du 13-Mai. Il fut écarté en septembre 2009, quand l’Acte additionnel d’Addis Abeba a opté pour un « Premier ministre de consensus » en la personne de Mangalaza Eugène, en vue d’une reconnaissance internationale. Une reconnaissance qui n’est pas encore acquise jusqu’à ce jour.

Déférés au parquet, huit prévenus ont été écroués pour meurtres en série et trafic d’organes.

Le trafic d’organes est le mobile privilégié pour les meurtres en série démasqués à Antanambao Antsirabe la semaine dernière. Huit prévenus, dont deux femmes, ont été jetés en prison après avoir été entendus par le juge d’instruction, samedi.
Les charges qui pèsent sur certains des prévenus s’alourdissent. Entre autres, un prêtre défroqué, âgé de 65 ans, sa fille de 23 ans et son fils de 20 ans ont déjà été mis en détention préventive avec un quatrième suspect, pour détention de chanvre indien après avoir été déférés au parquet du tribunal d’Antsirabe mercredi. Le lendemain, ils ont été reconduits au parquet pour répondre du meurtre et de la séquestration de Clarisse Ramanantenasoa, une couturière âgée de 54 ans dont le corps carbonisé a été retrouvé dans un bac à ordures dans la propriété de l’ancien prêtre.
Pour cette deuxième affaire, ils ont été placés sous mandat de dépôt avec quatre autres suspects : un deuxième prêtre défroqué, le mari de la couturière tuée, une femme que celui-ci a fréquentée et enfin, un jeune homme qui aurait été payé pour commettre le meurtre.
Enseignante incriminée
Samedi, ils étaient neuf au banc des accusés. Le premier chef d’inculpation qui pèse à leur encontre vaut pour meurtres en série. En outre, ils sont poursuivis pour trafic d’organes. Soupçonnée d’être de mèche avec eux, une enseignante d’une école confessionnelle à Antsirabe a été interpellée, vendredi, pour être livrée à la justice dès le lendemain.
« La police a procédé à l’arrestation du mari de l’enseignante mêlée dans cette histoire, samedi », indique le commissaire Labarre Guy José, chef de la police d’Antsirabe, lors d’une interview qu’il a accordée à la presse, à l’occasion de la présentation de vœux de la Direction inter-régionale de la Police nationale à Antananarivo, cérémonie qui s’est tenue à l’espace Cordis Ambohidrapeto samedi. « Trois à quatre autres suspects sont encore recherchés. Le limiers sont déjà sur leurs traces », poursuit-il.
Aux dernières nouvelles, une commission rogatoire travaille sur cette affaire. Selon la police, cinq corps ont été retrouvés enterrés dans la cour de l’ancien prêtre de 65 ans. Un enfant porté disparu en 2010 a été reconnu, grâce à sa dentition.

Le président de la Hat a commémoré le 29 mars 1947 à Moramanga. Il exhorte les jeunes à faire preuve de patriotisme.



Changement de style pour la commémoration des évènements du 29 mars 1947. Contrairement à chaque année, le président de la Haute Autorité de la Transition (HAT), Andry Rajoelina, a confié entièrement au Premier Ministre sa représentation au programme officiel dans la capitale, en se consacrant à la cérémonie à Moramanga. Il y a lancé un appel au réveil des jeunes, afin de défendre la Nation à l'image des anciens combattants nationalistes.
Le discours du Président de la HAT, prononcé dans l'enceinte du camp de la gendarmerie à Moramanga, et non pas près de la stèle habituelle, a soulevé l'existence d'une intention de nuire au pays, sans accuser ouvertement personne. « Nous devons nous lever ensemble pour
reconstruire la nation tant que le drapeau national porte encore les couleurs verte, blanche et rouge. (…) Je vais démontrer et confirmer que je reste fidèle à mon engagement. Nous devons atteindre l'objectif et Madagascar sortira de cette situation », a-t-il affirmé pour rassurer l'opinion, après avoir décoré 31 anciens combattants de l'ordre de libération nationale.
Pour manifester un attachement à Andry Rajoelina, le représentant des anciens combattants nationalistes de Moramanga a, lors de sa prise de parole, demandé sa participation à la prochaine course à la Présidence de la République.
Promesse tenue
Le président de la HAT n'a pas encore confirmé sa position, tenant la même attitude adoptée le 7 février à Antaninarenina, suite à la sollicitation des membres de l'Association des victimes de la tuerie devant le palais présidentiel (AV7).
Outre le dépôt de gerbes à Ampanihifana et au pied de la stèle à Moramanga ville, l'inauguration du musée 1947 a figuré au programme d'hier. Le chef de région d'Alaotra Mangoro, Richard Ramandehamanana, a qualifié cette réalisation de promesse tenue. Andry Rajoelina avait annoncé, l'année dernière, la mise en place d'un musée dédié à la libération nationale à Moramanga, pour ancrer dans la mémoire des Malgaches l'histoire des évènements de 1947. Les travaux auraient duré environ trois mois.
En compagnie du couple présidentiel, quatre nouveaux membres du gouvernement ont fait leur première apparition publique hier à Moramanga, à savoir Harry Laurent Rahajason, Yvette Sylla, Elisa Razafitombo Alibena et Dieudonné Ranaivoson.

Affaire « Marais Masay » Mamy Rakotoarivelo libéré

Le secrétaire général de l'ancien parti au pouvoir « Tiako i Madagasikara » (TIM), Mamy Rakotoarivelo, a rejoint son foyer hier dans la soirée, après presque quinze jours de garde à vue à la brigade criminelle à Anosy. Le Parquet lui a accordé une liberté provisoire. Cette décision s'opère sans doute en faveur de l'instauration d'un climat d'apaisement.
La détention de Mamy Rakotorivelo par la Direction de la Sécurité du Territoire (DST) a fait écho sur le plan international, notamment sur la France qui a réagi sur son cas après l'alerte donnée par des structures de défense des droits de l'homme. Mamy Rakotoarivelo est soupçonné d'être le commanditaire de la tentative d'attentat contre le président de la Haute Autorité de la Transition (HAT) au marais Masay, il y a quatre semaines, suite aux aveux de certains individus.
Malgré son caractère juridictionnel, la mise en liberté de Mamy Rakotoarivelo ne serait pas fortuite. La mesure a été prise deux jours avant le réunion de la Troïka de la Communauté de Développement d'Afrique Australe (SADC), qui va statuer sur le cas de Madagascar le 31 mars.
Le Procureur de la République, Jean Marie Ramangason précise
dans un communiqué que Mamy Rakotoarivelo doit répondre à toute convocation de la justice et doit informer celle-ci de tous ses déplacements à l’intérieur de la juridiction qui s’occupe de cette affaire.

Monday, March 28, 2011

Antananarivo : Quatre cas de suicide en une nuit

Au moins quatre cas de suicide ont été enregistrés au service des urgences de l’HJRA la nuit du samedi 26 mars, fort heureusement ils ont été tous sauvés à temps. Vers 21 heures et trente minutes, ils ont reçu un jeune homme, âgé seulement de 17 ans. D’après les médecins, il a tenté de se donner la mort en buvant de l’acide, de l’alcool et quelques comprimés. Il était inconscient à son arrivé à l’hôpital et a été tout de suite transféré à la réanimation. Apparemment, le bonhomme a été victime d’une déception amoureuse.

Une autre suicidaire arrive aux urgences quelques minutes plus tard. Une fille de 18 ans qui a avalé une vingtaine de comprimés de nivaquine. D’après ses proches, elle avait eu une altercation avec sa tante et a décidé de mettre fin à ses jours.

Minuit, une mère de famille de 37 ans, a été transférée aux urgences. Elle est dans un état critique. La jeune mère, résidant à Ambohijanahary vient d’avaler des comprimés. Après un lavage gastrique, ses jours sont hors de danger.

Le dernier cas s’agit d’une jeune fille de 19 ans, qui a tenté de se suicider en ingurgitant une dizaine de comprimés de nivaquine. Selon nos informations, elle s’est disputée avec son mari toute la nuit et a décidé de mettre fin à ses jours.


Mais qu'est-ce qui pousse certaines personnes à se suicider ?


Les facteurs de risque


Une seule cause ne peut pas expliquer ce qui pousse une personne à se suicider. Les études ont toutefois démontré que certains facteurs personnels associés à des éléments déclencheurs peuvent rendre une personne plus à risque de faire un tel geste. Fort heureusement, d'autres facteurs peuvent réduire ce risque suicidaire .
Certains facteurs sociaux, familiaux ou personnels affaiblissent la résistance psychologique d'un individu et le rendent plus vulnérable au suicide. Ces facteurs de risque correspondent à des événements qui se sont échelonnés sur plusieurs mois ou des années et qui font partie du bagage de la personne. Voici quelques exemples de facteurs de risque chez les jeunes adultes :

1.
tentative de suicide dans le passé ;
2.
suicide dans la famille ;
3.
dépression ou trouble psychiatrique (ex. : schizophrénie*, psychose maniacodépressive) ;
4.
maladie physique chronique ;
5.
dépendance à l'alcool ou à la drogue ;
6.
questionnement sur l'orientation sexuelle ;
7.
impulsivité ou hypersensibilité ;
8.
instabilité familiale (séparation ou conflits fréquents) ;
9.
victime de violence ou d'abus ;
10.
solitude ou rejet par les pairs depuis l'enfance ;
11.
longue histoire d'échecs scolaires.

D'autres facteurs ou éléments peuvent précipiter une crise suicidaire. Ces événements doivent être suffisamment importants pour déstabiliser la personne. Voici quelques exemples d'éléments déclencheurs d'une crise suicidaire chez les étudiants, étudiantes ou jeunes adultes :

*
rupture amoureuse, décès ou suicide d'un proche, séparation de la famille ;
*
échecs scolaires, abandon ou exclusion d'un programme, ou encore refus d'admission ;
*
difficultés familiales ;
*
difficultés financières ;
*
problèmes relationnels ou amoureux ;
*
solitude, isolement ;
*
adaptation à une nouvelle ville, à la culture universitaire, à un programme d'études et au milieu scolaire parfois stressant et compétitif ;
*
insatisfaction face aux études, indécision face au choix de carrière, mauvais choix, inquiétudes face à l'avenir.

Heureusement, certaines conditions contribuent à réduire l'impact des facteurs de risque et des éléments déclencheurs. Ces conditions se nomment des facteurs de protection. Ils aident la personne à surmonter les obstacles de la vie. En voici quelques exemples :

* facilité à résoudre des problèmes ;
* sens de l'humour ;
* vision optimiste pour dédramatiser les situations ;
* relations familiales et sociales satisfaisantes et valorisantes ;
* disponibilité et accessibilité des ressources (école, travail ou ressources médicales).

En résumé, même si un ou une jeune adulte vit un problème chronique (ex. : maladie physique ou mentale) et vient de subir un échec (ex. : rupture amoureuse), le risque suicidaire peut être amoindri par le fait que cette personne vit dans un climat familial chaleureux et possède un réseau d'amis et amies qui la supportent dans cette épreuve.


Le concept de crise

Le Petit Robert précise que le mot crise provient du latin krisis, qui signifie « décision ». Si l'on tient compte de cette origine, personne n'est donc à l'abri de traverser une crise au cours de sa vie.

Selon Caplan (1961 : 34-37), la crise se présente « lorsqu'une personne rencontre un obstacle à des objectifs importants de la vie, obstacle qui est, pour un certain temps, insurmontable par le recours aux mécanismes ordinaires de solution de problèmes. Une période de désorganisation s'ensuit une période de trouble, pendant laquelle elle tente à maintes reprises, sans succès, d'arriver à une solution ». C'est donc une période de déséquilibre qui représente une occasion de changement ou de croissance mais qui peut aussi dégénérer en crise suicidaire.

Une crise ne dure généralement pas plus de six à huit semaines. Le corps humain, sur le plan physiologique, ne peut supporter davantage une telle tension et un tel déséquilibre. Il est question de crise suicidaire quand la personne entrevoit le suicide parmi les solutions à sa souffrance.

Voyons maintenant plus en détail les étapes du processus suicidaire lorsque la souffrance devient insupportable pour la personne.

Les étapes du processus suicidaire


Le processus suicidaire se déroule en cinq étapes. Mieux connaître ces étapes permet de cerner l'état de la personne en détresse et d'évaluer le degré d'urgence pour ainsi apporter une aide plus adéquate (voir le texte Signe précurseurs ou Quelqu'un que je connais pense au suicide ). À noter que ces étapes ne se suivent pas nécessairement de façon linéaire.

« Flashs » ou pensées


Une vision d'autodestruction de quelques secondes sans le passage à l'acte. Cette pensée peut disparaître sans revenir ou réapparaître plus tard. (ex. : se voir traverser la rue et se faire frapper par une automobile)

Idéations suicidaires


Les idées suicidaires sont de plus en plus fréquentes et peuvent durer quelques heures par jour. Le répertoire de solutions commence à s'épuiser. L'idée du suicide apparaît comme une solution possible.

Rumination


La personne pense tout le temps au suicide et ressent beaucoup d'anxiété. Elle ne voit plus d'autres alternatives pour soulager sa souffrance. À cette étape, elle commence à planifier son suicide et élabore de plus en plus ses scénarios. Le comment, où, quand se précise.

Cristallisation


Le suicide est retenu comme étant LA solution. La personne élabore son plan. Elle peut éprouver du soulagement, sachant que sa souffrance prendra fin.

Tentative de suicide

Le processus suicidaire est avancé et l'idée du suicide est cristallisée. La personne met en application son plan suicidaire.


Conclusion

Le phénomène du suicide à Antananarivo demeure préoccupant. Même si ses causes sont complexes, en connaissant les facteurs de risque et en comprenant davantage les concepts de crise et de processus suicidaire, les chances d'aider une personne en détresse s'en trouvent augmentées.

*Le terme de schizophrénie regroupe de manière générique un ensemble d'affections psycho-cérébrales présentant un noyau commun, mais dites différentes quant à leur présentation et leur évolution. On utilise le pluriel pour désigner ces schizophrénies.

« Schizophrénie » provient de « schizo » du grec « σχίζειν » (schizein) signifiant fractionnement et « φρήν » (phrèn) désignant l’esprit. C'est donc une « coupure de l'esprit », pas au sens d'une « double personnalité », comme on l'entend parfois, mais au sens d'une perte de contact avec la réalité ou, d'un point de vue psychanalytique, d'un conflit entre le Moi et la réalité.

C'est une pathologie psychiatrique généralement chronique, qui survient plutôt à l'adolescence ou au début de l'âge adulte.

La schizophrénie est une psychose, qui se manifeste par des signes de dissociation mentale, de discordance affective et d'activité délirante, ce qui a pour conséquences une altération de la perception de soi-même, des troubles cognitifs, et des dysfonctionnements sociaux et comportementaux allant jusqu'au repli autistique. Le terme est par ailleurs fréquemment utilisé au sens figuré, notamment dans la presse, pour évoquer des attitudes ou des propos simplement contradictoires.

Bodo a retrouvé son public avec la même énergie qu'il y a 20 ans. Avec Felaniary en prime.



Bodo ressemble encore à celle que l'on a connue 20 ans passés, toujours avec autant d’énergie dans sa prestation scénique et vocale. Le spectacle du CCESCA Antanimena, vendredi, était une belle réussite. Dès sa montée sur scène, Bodo n’a pas cessé de bouger et de chanter avec sa voix éblouissante. Les trois heures de concert ne l’ont même pas épuisée. Ayant toujours maîtrisé sa technique, son énergie et sa mélodie vocales sont restées égales jusqu’à la fin. Bodo sait comment préserver sa voix. « Je m’exerce de temps en temps, même si aucun évènement n’est prévu. Il faut aussi que je respecte quelques recommandations : pas de boisson gazeuse ni de sommeil tardif car tout cela abîme la voix », a-t-elle indiqué.
Retrouvailles
Bien calme dans sa loge, Bodo aurait tout de même un peu paniqué au premier contact avec son public.
« J'ai eu le trac comme si c'était la première fois, à cause de mes émotions pour ces retrouvailles. Mais je suis arrivée quand même à communier très vite avec le public, et c'est ce que j'aime dans les petites salles comme celle-ci », confie-t-elle.
Le répertoire allait de son nouvel album « Kilalaonao » aux premières chansons qui ont marqué son ascension sur la scène nationale et internationale. Le public a pu chanter en chœur dans « Political skirmish »,
« Heart breaker », «Tafa irery » et bien d'autres morceaux. Un invité surprise est monté sur scène lors de la dernière partie du spectacle. Il s'agissait de Felaniary qui a été reçu avec des applaudissements, et des cris de bienvenue, poussant le public à bisser
« Fitiavako anao », le duo bien connu des deux artistes. Bodo a apprécié tout à la fois le courage de Felaniary et l'accueil chaleureux de son public pour son invité. « Felaniary est très courageux et il a assumé. Il a montré aussi qu’il était à fond dans la musique et que la musique était en lui. Les spectateurs ont su dissocier l’artiste en tant que tel de sa personne normale. C’est déjà bien de voir les gens faire cette distinction » confirme-t-elle.
La promesse d'un autre concert au Palais des Sports et de la Culture a été donnée par Bodo, pour la fermeture de cette célébration de 20 années de scène.« Ny fitiavako anao ». Hiram-pitiavana isan'ny malaza izay noforonin'i Felaniary ary niarahan'izy sy Bodo nivazo no nampiavaka ny seho notanterahin'i Bodo tetsy amin'ny Esca Antanimena, ny alin'ny zoma 25 marsa lasa teo. Vahiny tokana nasainy ary tsy nampoizin'ny maro i Felaniary tamin'io indray mitoraka io. Vao nandeha ny feon-kira dia nihoraka ny iray trano ary nafana ny fampiaraham-peo tamin'izy mianadahy ireto. Nandritra ny tapany faharoan'ny fampisehoana no nitrangan'izany rehetra izany. Fa ankoatra izay dia hira manodidina ny 36 tany ho any no nentin'i Bodo tao an-toerana. Amin'ny ankapobeny dia nanjaka ireo hira nahafantarana azy hatramin'izay satria na tamin'ny tapany voalohan'ny seho aza dia noelanelaniny hira efa fantatry ny rehetra ihany mba tsy hahamonamonaina ny mpijery tamin'ireo hira vaovao. Toa « Kilalaonao » tokoa satria nialavoly tanteraka ireo rehetra tonga namaly ny antso ary feno ny seho natolotra satria nanome fialamboly avokoa izay nojerena sy norenesina na ny ravaka na ny fomba fisehoana an-tsehatra. Hafa ihany ny matihanina !

Membres du gouvernement : déclaration de patrimoine, une obligation

Le président de la Transition, Andry Rajoelina, qui a réuni un Conseil des ministres, une sorte de prise de contact, a ordonné aux nouveaux membres du gouvernement de se plier à la déclaration de patrimoine auprès du Bureau Indépendante Anti-Corruption (BIANCO). Cette déclaration d'Andry Rajoelina est survenue après la présentation officielle du nouveau gouvernement d'union nationale, une manière pour le chef de la Transition de jeter les balises dans la gestion des caisses de l'Etat dans le souci de faire respecter la bonne gouvernance.

Au cours de sa déclaration, le chef de la Transition a en effet marqué l'importance de la lutte contre la corruption tant au niveau des hautes fonctions de l'Etat jusque dans les démembrements de l'administration publique, mais il a aussi souligné l'importance de la bonne gouvernance. Ces deux priorités du chef de la Transition coïncident en effet avec les conditionnalités pour l'obtention des aides financières des institutions des Bretton Woods et des autres partenaires techniques et financières. L'objectif de ce gouvernement d'union nationale, de par sa composition, sera l'obtention de la reconnaissance internationale suivie du déblocage des finances étrangères pour Madagascar. Cette composition gouvernementale convaincra-t-il la communauté internationale ?

Hery Raharisaina, un des leaders de la mouvance Ravalomanana promu au poste de ministre des Ressources halieutiques et de la Pêche, a souligné "La reconnaissance internationale interviendra si notre gouvernement est stable et si nous passons aux élections. Mais, nous sommes entrés dans ce gouvernement par la paraphe de la feuille de route pour une sortie de crise élaborée par la communauté internationale par le biais de la SADC ". La ministre des Affaires étrangères, Yvette Sylla, aura du travail à faire pour convaincre la communauté internationale de la crédibilité de ce gouvernement d'union, et ce pour contrer le rejet de Marc Ravalomanana.

Sunday, March 27, 2011

Les membres du gouvernement Albert Camille Vital

Il faut le reconnaître, le gouvernement monté samedi par le Premier ministre Camille Vital a plutôt fière allure. L'équipe est formée de la crème de la classe politique et sa composition incite à l'optimisme. Dans les partis, plates-formes et autres fédérations aux positionnements politiques parfois contradictoires, le meilleur a été prélevé pour figurer dans le gouvernement. En plus, un délicat dosage a été réalisé de manière à brasser les éléments chevronnés et les novices. Ainsi l'avant-garde est constituée d'hommes politiques d'expérience qui ont derrière eux des années de pratique gouvernementale, comme Pierrot Rajaonarivelo (Economie et Industrie), Ndremanjary Jean-André (Sports) ou Ny Hasina Andriamanjato (Postes et Télécommunications). Ceux-là vont encadrer ou chaperonner les novices qui font leurs premiers pas dans l'action gouvernementale. Voilà des entités complémentaires qui seront immédiatement opérationnelles, ainsi que le requiert une conjoncture d'urgence. Les ministres qui tâtonnent et hésitent n'ont pas leur place dans un gouvernement de combat dirigé contre une crise à la fois politique et économique.

En tout cas, Andry Rajoelina et Camille Vital ont fait l'effort d'ouvrir le gouvernement au maximum de partis. On aura même remarqué un fait : pour faire de la place aux groupements dérivés des trois mouvances, les partis pro-gouvernementaux ont été contraints à de larges concessions. Ainsi, le TGV en tant que formation politique n'est pas représenté dans l'équipe, alors que les diverses tendances du TIM ont été grassement gratifiées. Pour conférer au gouvernement le maximum de consensualité et d'inclusivité, Andry Rajoelina a demandé à ses troupes de se sacrifier et de céder la place aux " alliés ". Avec la mise à l'écart de proches comme Hippolyte Ramaroson, Serge Ranaivo ou Razafimanazato Julien qui n'ont pas ménagé leurs peines pour consolider les assises du régime de transition, c'est certainement l'amertume et la grogne dans les rangs des partis pro-Rajoelina.

Le grand public n'a manifesté samedi aucun enthousiasme particulier suite à la proclamation de la composition du nouveau gouvernement. Il est vrai que les hommes des partis politiques n'ont pas bonne presse auprès de la population et constitue une catégorie décriée et même méprisée. Depuis plus de six mois d'ailleurs, ils ont pris en main le processus de sortie de crise mais n'ont pas encore rencontré de réel succès. S'ils se donnent la main et réussissent à sortir le pays de la crise, à réconcilier les factions politiques en conflit et à décrocher la reconnaissance internationale, ils pourraient obtenir l'estime du public et redorer leur blason.

La grande question est de savoir si la communauté internationale sera sensible au sacrifice consenti par Andry Rajoelina. Si les ambassadeurs étrangers avaient estimé que la composition du nouveau gouvernement découlait d'un large consensus, ils auraient demandé à assister à la cérémonie de samedi. Leur absence trahit des doutes et des réticences, suite probablement au refus des trois mouvances de soutenir le processus et de siéger au gouvernement. La partie est donc encore loin d'être gagnée. Si la communauté internationale n'adresse pas un satisfecit ou tout au moins un signe de réceptivité, Andry Rajoelina pourrait par dépit dissoudre ce gouvernement composé de personnalités qui lui sont étrangères. Il pourrait alors en revenir à l' " unilatéralisme " qui lui a réussi jusqu'ici, et réformer l'équipe gouvernementale dont l'ossature à été formée sur la Place du 13 Mai.

Voilà le danger d'une reconnaissance internationale qui se fait un peu trop désirer. Le mouvement né sur la Place de la Démocratie et sur la Place du 13 Mai pourrait penser que pour l'opposition dans le gouvernement, il n'y a pas de …place.

Les nommés en images:


Vyvato RAKOTOVAO : Ministre de l’Agriculture : BTS en Commerce - Université d’Antananarivo Formation Spéciale en Leadership - NLIM Ancien Conseiller Spécial du Ministre de l’Economie, Commerce et Industrie, Secrétaire Général du Parti TIM.


Johasy Eléonore RAHARISOA : Ministre de la Jeunesse et des Loisirs. Diplômé en Gestion du Partenariat Public-Privé.


Jean Jacques RABENIRINA : Ministre de l’Éducation Nationale. Professeur à l’Université de Toliara, Ancien Ministre de la Fonction Publique et Ancien Ministre du Tourisme.


Julien REBOZA : Ministre de l’Eau. Ingénieur Hydraulique, Ancien député de Madagascar, Membre du Conseil Supérieur de la Transition.


Nadine RAMAROSON : Ministre de la Population et des Affaires Sociales (reconduite).


Elysé RATSIRAKA : Ministre de l’Énergie. Docteur, Membre du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier Soavinandriana, Ancien Conseiller Spécial du Vice-Premier Ministre de la Santé.


Général RANDRIANAZARY : Secrétaire d’Etat chargé de la Gendarmerie Nationale. Général de Brigade de la Gendarmerie Nationale (reconduit).


Rinarisoa Irène Eva RAZAFIMANDIMBY : Ministre du Commerce. Diplômé de l’Ecole Nationale d’Administration de Madagascar - Commissaire du Commerce et de la Concurrence, Maîtrise en Gestion - Option Marketing.


Hery RAHARISAINA : Ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques. Docteur Diplômé en Diplomatie Stratégique, Ancien Député élu à Vohémar.


Mamy RATOVOMALALA : Ministre des Mines et des Hydrocarbures (reconduit).


Bary RAFATROLAZA : Ministre de l’Elevage. Ancien Député de Madagascar, Ancien Consul Général de Madagascar en Afrique du Sud.


Général de Brigade Herilanto RAVELOARISON : Ministre de l’Environnement et des Forêts (reconduit).


Florent RAKOTOARISOA : Ministre chargé de l’Intérieur. Magistrat de Premier Grade, Ancien Haut Conseiller - HCC, Ancien Ambassadeur de Madagascar au Canada, Président du Comité Consultatif Constitutionnel.


Riana ANDRIAMANDAVY VII : Ministre du Tourisme et de l’Artisanat. Juriste administrateur, PHD en Droit International Public, Ancien Secrétaire Général du Sénat.


Hajo ANDRIANAINARIVELO : Ministre de l’Aménagement du Territoire et de la Décentralisation. Ingénieur Agronome, Ancien Maire d’Ankadinandriana (reconduit).


Ny Hasina ANDRIAMANJATO : Ministre des Postes, Télécommunications et des Nouvelles Technologies. Maîtrise en Sciences Physiques et Mathématiques, Ancien Ministre des Affaires Etrangères, Ancien Ministre des Postes, des Télécommunications et des Nouvelles Technologies.



Alain Mananjary RAZAFIMBELO : Ministre des Travaux publics et de la Météorologie. Ingénieur des Travaux Publics.


Hery RAJAONARIMAMPIANINA : Ministre des Finances et du Budget. Expert comptable (reconduit).


Gilbert NGOLO : Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle. Ingénieur des Mines - Ecole Supérieure Polytechnique de Donetsk (Ukraine).


Harry Laurent RAHAJASON : Ministre de la Communication. Ancien Journaliste, Directeur de la Communication à la Présidence de la Haute Autorité de la Transition.


Henri RASAMOELINA : Ministre de la Fonction Publique, du Travail et des Lois sociales. Maître de Conférences, Ancien Ministre , Ancien Député de Madagascar.


Benjamina Ramarcel RAMANANTSOA : Ministre des Transports. Docteur en Histoire et Civilisations, Maître de Conférences - Université de Madagascar.


Yvette SYLLA : Ministre chargé des Affaires Etrangères. Maître de Conférences, Docteur en Histoire, Epouse de l’ancien Premier Ministre et ancien Ministre des Affaires Etrangères Jacques SYLLA, Présidente du parti Madagasikara Mandroso.


Jean André NDREMANJARY : Ministre des Sports, Diplômé en Sciences Politiques, Ancien Ministre de la Population, de la Jeunesse et du Sport, Ancien Député de Madagascar.


Général Pascal RAJAONARISON : Ministre chargé de la Santé Publique, Médecin-Général de l’Armée Malagasy, Ministre de la Santé (reconduit).


Christine RAZANAMAHASOA : Ministre de la Justice, Magistrat de Premier Grade. (reconduite).


Antoine ZAFERA RABESA : Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Ingénieur, Docteur d’Etat ès Sciences, Professeur Titulaire des Universités Président de l’Université de Mahajanga, Ancien Ambassadeur de Madagascar, Ancien Ministre.


Yves Aimé RAKOTOARISOA : Ministre d’Etat chargé des Relations avec les Institution, Ancien Député TIM de Taolagnaro.


Général de Division André Lucien RAKOTOARIMASY : Ministre de la Défense, Général de Division de l’Armée Malagasy, Ministre de la Défense (reconduit).

Dieudonné RANAIVOSON : Ministre de la Sécurité intérieure, contrôleur Général de la Police, Diplômé en Droit Ayant déjà travaillé au sein du Bureau intégré des Nations Unies - Burundi.

Elisa RAZAFITOMBO ALIBENA : Ministre de la Culture et du Patrimoine, Docteur et ancienne sénatrice de Tuléar.

Pierrot RAJAONARIVELO : Ministre d’Etat chargé de l’Economie et de l’Industrie. Diplômé de l’Ecole Nationale de l’Administration, Maîtrise en Droit Public et Sciences Politiques, Ancien Vice Premier Ministre chargé du Budget et de la Décentralisation, Ancien Ambassadeur de Madagascar à Washington.