Les projets présidentiels, la grande cimenterie, les «résidences des résidents», les hôpitaux aux normes internationales sont-ils en stand by après le paraphe de la feuille, qui empêche les dirigeants de la transition à engager le pays dans un projet d’envergure ? En tout cas, la question se pose après les séries de poses de premières pierres dans lesquelles, le Président de la Hat, Andry Rajoelina s’était lancé sans suite.
Ces projets attendent toujours, d’après certaines sources, des investisseurs. Faut-il noter que ces chantiers se chiffrent en termes d’investissement à plusieurs millions de dollars. Des sommes que les promoteurs locaux, compte tenu de la conjoncture actuelle, ne sont pas en mesure de financer. Alors, l’Etat malgache avait fait appel à des investisseurs étrangers. Seulement, ces derniers se font également prier.
Comme tout détenteur de capitaux, ces promoteurs étrangers, n’accepteront pas de venir si la sécurité des investissements n’est pas assurée. Ce qui est arrivé aux opérateurs nationaux le 27 janvier 2009 donne une image du climat des investissements à Madagascar.
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