Président de la transition et plus que jamais candidat. Malgré les sanctions qui risquent de s’alourdir, Andry Rajoelina ne plie pas. Il « bétonne sa position », titrait même l’un des quotidiens nationaux de la Grande île lundi 8 juillet.
En déplacement à Majunga ce week-end, l’homme fort de la transition a inauguré un nouvel hôpital, et fait de la souveraineté de Madagascar le leitmotiv de son discours. Au centre des critiques, la communauté internationale, accusée de « faire le forcing », d’impartialité. Se référant à l’actualité en Égypte, Andry Rajoelina dénonce les « deux poids deux mesures ». D’un côté, la liberté d’un peuple à choisir ses dirigeants est « saluée », de l’autre elle est « sanctionnée ».
La mission de l’équipe de médiation de la SADC qui arrive ce 9 juillet à Madagascar s’annonce donc compliquée. D’autant que Lalao Ravalomanana, autre candidate contestée, est elle aussi déterminée à rester en course. L’ex-première dame a déjà dit qu’elle ne se retirerait pas, quand bien même ses adversaires choisiraient cette option.
En déplacement à Majunga ce week-end, l’homme fort de la transition a inauguré un nouvel hôpital, et fait de la souveraineté de Madagascar le leitmotiv de son discours. Au centre des critiques, la communauté internationale, accusée de « faire le forcing », d’impartialité. Se référant à l’actualité en Égypte, Andry Rajoelina dénonce les « deux poids deux mesures ». D’un côté, la liberté d’un peuple à choisir ses dirigeants est « saluée », de l’autre elle est « sanctionnée ».
La mission de l’équipe de médiation de la SADC qui arrive ce 9 juillet à Madagascar s’annonce donc compliquée. D’autant que Lalao Ravalomanana, autre candidate contestée, est elle aussi déterminée à rester en course. L’ex-première dame a déjà dit qu’elle ne se retirerait pas, quand bien même ses adversaires choisiraient cette option.
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