Des élections en septembre à Madagascar, après plus de quatre ans de crise, c'est possible, selon la Cénit et la communauté internationale. Mais à quelles conditions ?
« Nous attendons le respect au cours des 15 prochains jours du plan, des 7 points présentés par le commissaire à la paix et à la sécurité M. Lamamra », explique Fatma Samoura, coordinatrice du système des Nations unies à Madagascar.
Autrement dit, le respect de l'ultimatum que la communauté internationale a fixé au 31 juillet, pour que les candidats contestés se retirent, le président de la Transition Andry Rajoelina en tête, sous peine de sanctions.
Pas de deuxième convocation des électeurs ?
Mais la coordinatrice du système des Nations unies insiste sur un autre point important : «Nous attendons également une réponse d'ici la fin de la semaine de la Haute Cour constitutionnelle sur la possibilité de ne pas convoquer une deuxième fois les électeurs ».
Il s'agit là de s'économiser trois mois de procédure juridique, les électeurs ayant déjà été convoqués cette année. Le dernier obstacle à la tenue des élections se situe au niveau de la Cour électorale spéciale, celle qui a validé les candidats contestés. Le gouvernement doit en effet décider lundi prochain s'il change ou non les membres de cette Cour.
« Nous attendons le respect au cours des 15 prochains jours du plan, des 7 points présentés par le commissaire à la paix et à la sécurité M. Lamamra », explique Fatma Samoura, coordinatrice du système des Nations unies à Madagascar.
Autrement dit, le respect de l'ultimatum que la communauté internationale a fixé au 31 juillet, pour que les candidats contestés se retirent, le président de la Transition Andry Rajoelina en tête, sous peine de sanctions.
Pas de deuxième convocation des électeurs ?
Mais la coordinatrice du système des Nations unies insiste sur un autre point important : «Nous attendons également une réponse d'ici la fin de la semaine de la Haute Cour constitutionnelle sur la possibilité de ne pas convoquer une deuxième fois les électeurs ».
Il s'agit là de s'économiser trois mois de procédure juridique, les électeurs ayant déjà été convoqués cette année. Le dernier obstacle à la tenue des élections se situe au niveau de la Cour électorale spéciale, celle qui a validé les candidats contestés. Le gouvernement doit en effet décider lundi prochain s'il change ou non les membres de cette Cour.
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