C’est un nouveau délai qui menace de compromettre définitivement la tenue d’une élection cette année. Les candidats contestés sont toujours en course. Mais la communauté internationale avance avec prudence sur l’application des sanctions.
Pour Joaquim Chissano, le médiateur de la SADC, la Communauté de développement d'Afrique australe, la menace est pourtant bien réelle : « Lorsque la liste des personnes ciblées sera prête, les membres du GIC pourront appliquer rigoureusement ces sanctions. Et puis ensuite le Conseil de sécurité des Nations unies pourra adopter une résolution pour les sanctions. Elles seront obligatoires pour tout le monde. »
Le chemin vers le Conseil de sécurité est encore long. D’autant que plusieurs pays, dont les Etats-Unis, ont dejà émis des réserves sur l’opportunité de ces sanctions.
Quant aux trois principaux candidats, seul Andry Rajoelina a pour l’instant dit qu’il envisagerait un retrait si ces deux adversaires se désistaient à leur tour. Ce propos ne l’engage pas vraiment tant que Lalao Ravalomanana et Didier Ratsiraka excluent cette option.
Pour Joaquim Chissano, le médiateur de la SADC, la Communauté de développement d'Afrique australe, la menace est pourtant bien réelle : « Lorsque la liste des personnes ciblées sera prête, les membres du GIC pourront appliquer rigoureusement ces sanctions. Et puis ensuite le Conseil de sécurité des Nations unies pourra adopter une résolution pour les sanctions. Elles seront obligatoires pour tout le monde. »
Le chemin vers le Conseil de sécurité est encore long. D’autant que plusieurs pays, dont les Etats-Unis, ont dejà émis des réserves sur l’opportunité de ces sanctions.
Quant aux trois principaux candidats, seul Andry Rajoelina a pour l’instant dit qu’il envisagerait un retrait si ces deux adversaires se désistaient à leur tour. Ce propos ne l’engage pas vraiment tant que Lalao Ravalomanana et Didier Ratsiraka excluent cette option.
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