Friday, April 30, 2010

1er Mai


Prétoria : une nouvelle rencontre dans 15 jours


Impasse sur la crise malgache à Pretoria

Les pourparlers entamés à Pretoria mercredi pour trouver une issue à la crise malgache ont pris fin vendredi 30 avril 2010 à minuit. L’homme fort de la Grande île Andry Rajoelina, le président évincé Marc Ravalomanana, et les deux anciens chefs d’Etat Didier Ratsiraka et Albert Zafy, se sont quittés sans parvenir à un accord de sortie de crise.

Il n’y a pas eu à vrai dire un échec, tous les quatre se sont mis d’accord pour que pour la prochaine réunion il (y ait) une préparation un peu plus prudente, un peu plus complète… à la fin tous les quatre se sont embrassés, se sont serré la main…
Lors d’un point de presse tard dans la nuit le médiateur de la SADC, la Communauté de développement d'Afrique australe, a évoqué le manque de temps pour régler les problèmes en suspens. Il a déclaré que les parties soutenaient la mise sur pied d’un gouvernement de transition, et l’établissement d’une commission électorale indépendante. Il n’a pas parlé de l’épineuse question de l’amnistie et des conditions du retour de Marc Ravalomanana sur la Grande île, qui ont pourtant été le principal point d’achoppement tout au long des pourparlers.

Au cours des consultations, les mouvances ont convenu de la nécessité du retour du pays à l’ordre constitutionnel, à travers un processus électoral inclusif, crédible, libre et équitable. Les leaders des mouvances ont reconnu la nécessité d’établir, avec effet immédiat, un gouvernement de transition inclusif et consensuel. Les leaders des mouvances se sont fortement exprimés en faveur des accords de Maputo et l’acte additionnel d’Addis Abeba, cependant le temps n’a pas permis des discussions exhaustives sur toutes les questions en suspens. A cet effet, les leaders des quatre mouvances se sont engagés à se rencontrer dans quinze jours, en Afrique du Sud, pour résoudre toutes les questions en suspens.

La prochaine rencontre devra être préparée d’une façon plus prudente et plus soignée, en associant cette fois si les différentes parties, a ajouté Joaquim Chissano. S’il n’a pas voulu dire que le projet d’accord préparé par la France et l’Afrique du Sud était abandonné, il a néanmoins fait part de l’attachement des quatre parties aux accords de Maputo. Ces derniers sont pourtant caducs depuis qu’Andry Rajoelina a écarté le Premier ministre de consensus.

Andry Rajoelina a regretté dans un communiqué qu’aucun accord n’ait pu être signé. Il s’était déclaré prêt à parapher le projet d’accord dès son arrivée. Il participera néanmoins à la prochaine rencontre de Pretoria, dont le contenu et la forme restent à déterminer.

Mais comment vont réagir les autres mouvances et les militaires à l'annonce de cette nouvelle échec ? En effets plusieurs ultimatums ont été lancés à l'encontre de ces "touristes" avant leur départ pour Pretoria ." Ramenez nous un résultat concret sinon restez sur place " lançaient certains dirigeants politiques les plus échaudés.

Thursday, April 29, 2010

Acte de rébélion au sein du CAPSAT


Niakatra ny feo, raikitra ny orakoraka ary niafara tamin’ny fanimban-javatra mihitsy. Omaly (29 aprily)) tokony ho tamin’ny 11 ora antoandro no nisehoan’izany tao amin’ny tobin’ny Capsat etsy Soanierana. Raha araka ny fantatra dia noho ny tsy fahazoan’ireo miaramila “zazavao” ny tambin-karamany no nahatonga an’ireo hanao fihetsiketsehana tao anaty toby. Nampiseho ny tsy fahafaliany izy ireo tamin’ny fanimbàna zavatra. Ny tena fantatra aloha dia ny fahasimban’ny fiara mini-bus iray izay miasa ao amin’ny koperativa Sonatra. Nopotehin’ireo miaramila zazavao izy io mba hanalan’ireo ny fony. Fiara izay nofaina mba hanatitra an’ireo any amin’ny tany niaviany anefa. Mbola teny an-toerana hatrany no nahafantarana fa niravona avy hatrany ny olana rehefa navoaka faran’izay haingana ny tambin-karama. Fotoana vitsy monja taorian’izay mantsy dia efa nanomboka ny fizarana. Toe-javatra izay nahalasa ny sain’ny maro ihany hoe nisy ihany izany ilay vola ka naninona no niandrasana fotoana vao nomena?

Afindra ny fitaovam-piadiana? Mbola iny andron’iny ihany koa no nandehanan’ny feo fa hoe nisy fitaovam-piadiana nivoaka, hoe basy roa gony, tao amin’io toerana io. Tsy nahazoam-baovao ny momba izany ary ny lehiben’ny toby rahateo dia tsy tao an-toerana tamin’ny fotoana nandalovanay teny. Na izany aza dia nisy ny mpitandro ny filaminana sasany izay nilaza fa efa nandre izany ihany koa. Tsy ao amin’ny Capsat ihany, raha araka ny feo nandeha hatrany, fa isaky ny toby dia manomboka mamindra tsikelikely fitaovam-piadiana nanomboka tamin’ireny fikasàna hanongam-panjakana sy fanafihana toby ireny. Asa, mety fepetra noraisina angamba izany, raha tena ho izany tokoa, mba hialàna amin’izay mety ho fahavoazana raha sendra misy tokoa ny fanafihana. Hatreto mantsy dia mandeha indroa miantoana hatrany ny paikadin’ireo olona izay voalaza fa hanongam-panjakana. Ny voalohany dia ny fanafihana ireo toerana izay misy fitaovam-piadiana betsaka. Ireo fitaovana ireo indray avy eo no entina hangalàna ny Fanjakana, mazava ho azy amin-kerisetra. Manazava izany ilay tranga farany teo. Saika halaina aloha ny Lapan’i Mahazoarivo izay misy fitaovam-piadiana maro. Rehefa vita izay dia miditra amin’ny lalindalina kokoa, dia ny fanafihana an’Ambohitsorohitra izany.

Prétoria: les négociations reprennent ce jour


Finalement, le tête-à-tête tant attendu entre le président de la HAT, Andry Rajoelina, et l’ancien président Marc Ravalomanana a eu lieu. Au moment où nous écrivons l’article (23h, heure de l’Afrique du Sud, c'est-à-dire 24h, heure de Madagascar), la rencontre à deux ne s’est pas encore terminée. Le tête-à-tête s’est déroulé en présence du médiateur de la SADC, Joaquim Chissano, et du président sud-africain, Jacob Zuma, qui vient d’effectuer une visite officielle à Durban. La rencontre entre Andry rajoelina et l’ancien président, Marc Ravalomanana, a débuté à 22h, heure de l’Afrique du Sud (23h, heure de Madagascar) au Presidential Guest House du président Jacob Zuma.

Séance plénière. Le tête-à-tête entre Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana aurait été suivi d’une rencontre à quatre, car la présence de l’amiral Didier Ratsiraka et du Pr Zafy Albert est nécessaire sur certaines questions qui les concernent. Tout aurait été bouclé par une séance plénière à laquelle auraient participé les quatre chefs de file assistés chacun de 7 membres de sa délégation. Des indiscrétions ont permis de savoir que les amendements apportés par les quatre mouvances au protocole d’accord conjointement élaboré par la France et l’Afrique du Sud aurait été débattu pendant cette séance plénière. En tout cas, si tout va bien, l’accord final pour sortir Madagascar de la crise devrait être signé ce jour. « Le peuple ne peut pas admettre un nouvel échec. », a souligné l’ancien président Marc Ravalomanana dans son communiqué publié hier à 13h 20, heure sud-africaine.
Lors d’un point presse jeudi soir, Andry Rajoelina a signifié très clairement aux responsables des trois autres mouvances qu’il n’était pas du tout disposé à lâcher du lest alors que les négociations sont plus que jamais entrées dans la phase des prolongations. «Je pense que nous sommes venus ici, non plus pour négocier, nous sommes venus ici pour finaliser un accord qui a été établi par le médiateur.»

La mouvance emmenée par Marc Ravalomanana souhaite que le futur gouvernement d’union organise d’abord des élections présidentielles et ensuite des élections législatives. La feuille de route parrainée par la France et par l’Afrique du Sud prévoit l’inverse.

Mamy Rakotoarivelo, un proche de Ravalomanana, avait fustigé le document dans la presse avant de se rendre à Pretoria. Il avait même prêté à Paris la volonté de sacrifier Madagascar pour servir les intérêts de la France, à savoir, avait-il dit, «l’élimination de Ravalomanana». En des termes plus nuancés, le porte-parole de Ravalomanana, Guy Rivo Randrianarisoa, a suggéré jeudi que la France était de parti pris. «Moi je dis que c’est une feuille de route ‘franco-rajoel’, pas sud-africaine.»

La mouvance Marc Ravalonamanana souhaite que l’accord encadre une forme d’amnistie en faveur du président évincé, une revendication inacceptable a déclaré Andry Rajoelina.

La feuille de route, le document qui sert de base aux discussions inter-malgaches

Le document de travail prévoit une transition en deux temps. Tout d’abord, un gouvernement d’union présidé par Andry Rajoelina serait formé pour gérer les affaires courantes du pays et organiser rapidement, moins de 4 mois, des élections législatives. L’exécutif issu de ce scrutin serait, dans un deuxième temps, chargé d’organiser des élections présidentielles avant mai 2011.
La mouvance Ravalomanana ne veut pas entendre parler de législatives. Elle souhaite que le gouvernement d’union ait une durée de vie plus longue pour mieux se concentrer sur l’organisation de l’élection présidentielle comme le prévoyait les accords de Maputo, c’est un important point de blocage.
Par ailleurs le texte prévoit qu’une commission des Nations unies enquête sur les événements meurtriers de février 2009 quand la garde présidentielle de Ravalomanana a tiré sur des manifestants pro-Rajoelina. Cette commission onusienne présentera ses conclusions au parlement malgache qui en dernier ressort, décidera ou non d’engager des poursuites. C’est le deuxième point de blocage : la mouvance Ravalomanana exige l’amnistie pour l’ancien président.

Origine de la mort subite des nourrissons


La mort subite du nourrisson, à l'origine de quatre cents décès par an en France, serait due à l'activité exagérée du nerf vague, qui ralentit la fonction cardiaque, selon une étude multidisciplinaire de la faculté de médecine de l'université de Strasbourg.

"L'originalité et l'intérêt majeur des travaux strasbourgeois résident dans la perspective d'un diagnostic précoce des risques courus par le nouveau-né, grâce à l'examen d'un simple échantillon sanguin et d'un traitement préventif, puisque les médicaments existent", a indiqué mercredi le professeur Pascal Bousquet, directeur du laboratoire de neurobiologie et pharmacologie cardiovasculaires.

Depuis une dizaine d'années, une équipe associant pédiatres, pharmacologues et biologistes moléculaires a comparé les cœurs de bébés décédés de mort subite et ceux décédés de mort traumatique, par exemple. L'examen des échantillons a permis de découvrir sur les premiers une augmentation importante des récepteurs spécifiques à l'acétylcholine, la substance produite par le nerf vague, qui assure la transmission de l'influx nerveux. Le nerf vague, qui contrôle le fonctionnement du cœur, agit comme un frein cardiaque. S'il fonctionne exagérément, il peut mener à des ralentissements très importants du rythme cardiaque, voire à des arrêts cardiaques, explique le professeur Bousquet.

Le syndrome de la mort subite du nourrisson, qui frappe dans la première année de la vie, est la troisième cause de mortalité infantile dans cette tranche d'âge et frappe un bébé sur deux mille en moyenne en France. Depuis une quinzaine d'années, lorsqu'on a découvert que le risque pouvait être réduit en faisant dormir les bébés sur le dos et non plus sur le ventre, le taux de décès par mort subite a diminué de plus de 50 %, mais ce syndrome n'a pas été éliminé.

Wednesday, April 28, 2010

Tsy maintsy mahita vahaolana ny any Pretoria hoy ry zareo Mpanohana ny ankolafy telo

Nangorom-potsy Alarobia omaly. Miandrandra vahaolana ny mpitolona.
Manery mafy an-dry zareo atsy Pretoria tsy maintsy mahita vahaolana ny mpanohana ny ankolafy Madagasikara. Nahery vaika ny fihetsehana tetsy amin’ny Kianjan’Alarobia omaly. Raha ny fahitana an’ireo mpihetsika dia tena miandrandra vahaolana avy atsy Pretoria. Mety ho henjana ny zava-hitranga raha toa ka tsy mitondra na inona na inona mody ireo nampihaonina any Afrika Atsimo. Ireo mpitari-tolona izay nandray fitenenana dia efa nahasahy nihantsy an’ireo ankolafy efatra raha tsy mivaha ny olana. “Tsara ho anareo efa-dahy ny mijanona any Afrika Atsimo rehefa tsy mahavaha olana” hoy Rasomotra tsy nisalasala tamin’ny fiteny hentitra. Naveriny indray.
“Raha tsy misy ny vahaolana dia mijanonà any fa izahay tsy hanaiky intsony. Mijanonà any fa aleo hitondranay ny tany sy ny firenena” hoy izy namatrapatratra. Dia nomarihiny sahady fa “hiaraka ho eny Ivato isika amin’ny fotoana hahatongavan’ireo”. Nanamafy an’ireo ny mpitarika avy amin’ny ankolafy Didier Ratsiraka. “Manery anareo efatra izahay. Aza miala any raha tsy mitondra voandalana ho anay”hoy ny Depiote BerthineIng. Harryson Razafindrakoto, mpitarika avy amin’ny ankolafy Zafy Albert koa dia nampiaka-peo nilaza fa “raha tsy misy ny vahaolana hita any Pretoria dia aza mody fa aleo izahay hitolona indray hanaovanay azy”. Dia nanizingizina ny tsy maintsy hanaovana ny fampihavanam-pirenena ity farany sy Rtoa Lalatiana Ravalolomanana. “Tsy maintsy mandalo amin’ny fampihavanam-pirenena ny zava-drehetra fa raha tsy izany dia vao tafaverina avy any ireo dia hifanolana indray.”
Ing. Fetison Andrianirina dia nanome toky tamin’ny fidirana an-telefaonina mivantana. “Toky no homenay anareo fa tsy hamitaka anareo izahay ary hitondra voandalana ho an’ny vahoaka Malagasy” hoy izy.

Un camp militaire attaqué à Tamatave

Trois jours après l’attaque contre la caserne militaire d’Analankininina à Toamasina, Région militaire numéro 3, huit individus ont été arrêtés, hier après - midi, dont un certain Sedina et son frère ainsi que six autres militaires.

Au cours d’une perquisition opérée au domicile de ce premier, les Forces de l’ordre ont saisi tout un arsenal de guerre. Mis à part le Kalachnikov, on a également récupéré 72 obus de mortier pour chars (Ktm-1-y 64-32-E), 80 munitions de fusil mitraillette de marque 14,563 Trc. Un véritable arsenal de guerre. Chose curieuse, le cerveau de l’attaque contre ce camp militaire habite à seulement 500 mètres de la caserne.

Pourquoi ce jeune homme a au le toupet d’attaquer un camp militaire pour se procurer ainsi des armes de guerre ?, s’interrogent les observateurs politiques. Notons que le cerveau de cette attaque n’est autre qu’un ancien militaire du camp d’Analankininina et qui a déserté le mois de février dernier.
Six autres hommes en treillis, en service dans le même camp, ont été appréhendés. En fait, il s’agit d’un groupe de militaires dont on ignore, du moins pour l’instant, le mobile de l’attaque du camp militaire ainsi que le vol des matériels de guerre, utilisés pour démolir des bâtiments. Tout laisse à penser que ces jeunes militaires ont d’autres intentions que des actes de banditisme. Est - ce qu’ils ont l’idée de fomenter un coup d’Etat avec des hauts gradés ? On connaîtra l’issue de cette affaire après les résultats de l’enquête.

Avril 2010, après la tempète , un grand bol d'air réconfortant, à Nice










Bon anniversaire Radji






























Retour aux Ulis

Ricky avec les Randriantsoa à Tsimbazaza le 24 avril 2010