Ses sœurs, sa grand-mère et d’autres personnes en furent les victimes. Il a agi sous l’emprise d’un « tromba ».
Cette série de viols dure depuis que le jeune homme était agé de 11 ans mais ce n'est qu'aujourd'hui que le pot aux roses fut découvert car toutes ses victimes ont volontairement gardé le silence. Tout simplement car elles estimaient que le jeune homme habité par un esprit maléfique plus communément appelé "tromba", est plus à plaindre qu'à blâmer. Elles se gardèrent alors de dénoncer le jeune garçon qui commit la plupart de ses forfaits entre 2h et 3h du matin. Aujourd'hui cependant, l'affaire est non pas entre les mains de
Selon encore des proches de la famille, le père du garçon a aussi commis le même forfait mais il a pu se défaire du tromba grâce au fokonolona qui, après l'avoir attaché, s'est relayé pour uriner sur sa tête. L'esprit maléfique s'est alors transmis au jeune garçon qui continue de violer son entourage sans qu'on puisse faire quelque chose. Trop attachée à la tradition, cette famille Sakalava n'entend entreprendre quoi que ce soit de peur des réactions
qui ne manqueront pas de surgir au cas où on oserait s'attaquer à ce singulier "tromba". "On prie Zanahary pour nous venir en aide", se contente de marmonner le grand-père pour qui les agissements de son petit-fils ne sont pas admissibles mais qui, lui aussi, préfère attendre et...voir.
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