Nathalie Razafindrazaka
On a connu l’agence « First agency » par son service de marketing publicitaire, ou encore pour la fourniture de figurants pour des clips ou autres spots publicitaires. Mais le temps évolue et il faut toujours chercher autre chose pour agrandir ses activités. Ainsi, avec la soif d’évolution qui l’envahit de jour en jour, mais aussi de toujours proposer le meilleur, également pour le grand besoin de la société à Madagascar , “First Agency” va créer un nouveau département « FIRST VIP ». Elle a bénéficié de l’aide importante d’une jeune fille très imposante, rien qu’à voir son physique, en la personne de Nathalie Razafindrazaka.
En effet, après 5 années d’existence et vu le grand manque, voire l’inexistence des Hôtesses qui ont des missions spéciales VIP pour les Corps Diplomatiques, les représentants d’Etats,et toutes les personnes de grandes importances, il est venu l’idée de fonder “FIRST VIP”.
Nathalie Razafindrazaka, née et réside en France, de nationalité française mais d’origine bien malgache, comme son nom semble déjà l’indiquer, a dejà eu un grand parcours international dans le domaine des Hôtesses VIP, de la mode et du mannequinât.
Elle est actuellement de passage à Madagascar et aura comme tâche principale de former des Hôtesses VIP de First Agency.
“Ça fait un bail que j’ai projeté de monter quelque chose dans mon pays d’origine mais vu les circonstances, je n’ai pas pu faire autrement. Et comme chaque chose a son temps, l’heure a sonné pour moi de mettre en oeuvre ce rêve” a t-elle expliqué.
Avec un physique qui n’a rien à envier à Naomi Campbell ou Kate Moss, Nathalie a tout pour réussir son projet. Surtout qu’elle aura comme première partenaire “First agency” qui se voulait être professionnel dans ce domaine depuis sa création. “Comme je n’ai jamais mis les pieds à Madagascar, voici maintenant plus de vingt ans - heureusement qu’il y a la nouvelle technologie qu’est l’internet - je suis entrée en contact avec une agence qui a déjà de l’expérience dans la grande île, d’où mon choix de fixer sur “First Agency”” a t-elle continué.
Avec toutes les expériences que la jeune fille a acquises depuis ses débuts, alors qu’elle n’avait même pas 18 ans, Nathalie croit beaucoup en l’avenir de ce nouveau projet. “L’élément essentiel dans cette profession est de savoir garder une bonne image. Avec le temps, j’ai cru comprendre que ce métier est encore un sujet tabou à Madagascar mais quand on fait les choses avec professionnalisme, on arrive toujours à convaincre les gens. D’ailleurs, souvent les gens qu critiquent, au fond, ils aiment ça! comment peuvent-ils critiquer alors qu’ils n’aiment pas ?” s’est demandé Nathalie.
“Pour ne pas faire référence bêtement aux normes européennes, être hôtesse VIP nécessite beaucoup de niveau intellectuel. Au moins, on doit maîtriser deux langues. Donc, ce n’est pas évident de devenir hôtesse VIP”, a expliqué la jeune fille dans un sourire qui évoque beaucoup de maturité, rien à voir avec son âge. Et à elle de continuer, “de toute manière, chaque fille est responsable de ses actes, il ne faut jamais mettre tout le monde dans le même panier, et c’est le but de cette nouvelle agence, faire la différence entre les “pros” et les “amateurs”” a persisté Nathalie.
Et quand on lui a demandé si hôtesse a à voir avec mannequin ou miss, à elle de répondre “ce sont vraiment trois choses différentes”. On peut être “miss” sans toutefois avoir une bonne base de formation. Pareil pour les mannequins. Il suffit d’avoir un bon physique et d’être photogénique et ça passe. Mais être hôtesse nécessite beaucoup de formation à part. Il se peut qu’on vous demande de tenir compagnie une personne de marque, il faut que vous soyez à la hauteur de la discussion, la manière de l’aborder,...vous voyez ?”
Lors de notre rencontre, on n’a pas manqué de dire à Nathalie qu’elle ne fait pas du tout son âge. En plus, elle a vraiment un esprit très ouvert en expliquant les hauts et les bas de ce métier. “En toute humilité, j’ai pu rencontrer des tas de gens importants mais ce fut la permière fois qui a été dure. Après, on s’habitue et il faut s’attendre toujours au pire”.
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