Tuesday, February 24, 2009

Mardi 24 février : c'est l'impasse !!!



Le torchon continue à brûler entre Ravalomanana et Rajoelina. Entre temps les opposants en provinces affûtent leurs armes et leur meeting gagnent de plus en plus de sympathisants . Rajoelina veut simplement que Ravalomanana s'en aille et Ravalomanana veut tout simplement rester. Perdre ou gagner du temps, qui veut quoi, c'est le flou total, et le tunnel semble trop long et étroit pour que les deux daignent s'y engouffrer.
Rajoelina compte reprendre ses manifestations samedi prochain.

On lui pique son identité sur le net, il se retrouve en garde à vu

C’était le 12 février dernier, à 6h 45. Les gendarmes d’Hazebrouck ont frappé à la porte de ce jeune homme de 19 ans, à Drocourt, dans le Pas-de-Calais.

Surpris par cette arrivée des militaires, le jeune homme leur demande le motif de leur visite.

Aucune réponse.

Une dizaine de gendarmes perquisitionnent son appartement et s’emparent de trois ordinateurs, d’un appareil photo numérique ainsi que de clés USB, selon La Voix du Nord.

Puis le jeune homme est embarqué à la caserne de gendarmerie et placé en garde à vue.

Alors commence l’interrogatoire filmé.

Dans La Voix du Nord, le jeune homme raconte sa mésaventure :

«Ils m'ont donné des noms de filles. Je ne les connaissais pas. Ils m'ont montré des photos d'elles. Je ne les avais jamais vues. Ils m'ont demandé si j'étais déjà venu à Hazebrouck ou Merville. J'ai dit non.»

Au fil des heures, il finit par comprendre dans quel pétrin il se trouve.

Un homme a usurpé son identité sur Internet et, après avoir mis en ligne des photos et des infos le concernant recueillis sur son Skyblog, il est entré en contact avec des jeunes femmes, leur a donné rendez-vous avant de les agresser sexuellement, explique La Voix du Nord.

En attendant, le jeune homme est resté toute la journée, jusqu’à 20 heures, dans les locaux de la gendarmerie, avant de recouvrer la liberté.

Au cours de sa garde à vue, il s'est même retrouvé en slip devant les militaires afin qu’ils puissent vérifier un détail.

L’usurpateur avait des tatouages. Pas lui!

Pendant cette journée très particulière, les gendarmes l’ont même averti qu’il risquait "onze ans de prison".

"Ils m’ont dit que je pouvais partir le soir même à la prison de Longuenesse. J’ai commencé à baliser…" confie-t-il dans La Voix du Nord.

Le premier acte qu’il a fait en recouvrant sa liberté, c’est d’enlever la majorité des photos de son Skyblog.

Il a aussi écrit au procureur de la république pour dénoncer cette usurpation d’identité qui a failli lui coûter très cher.

Ravalomanana semble vouloir gagner du temps, pourquoi ?



Des armes et même des tanks auraient débarqué à Tamatave, certains ont été rigoureusement testé avant !!!( voir vidéo)

Monday, February 23, 2009

Les malgaches sont d'origine Taïwanaise


De Madagascar à la Polynésie et jusqu'à la lointaine île de Pâques, on parle des langues du groupe austronésien. Comment expliquer l'apparentement de ces idiomes, sur une si vaste étendue ? Où trouver leur origine commune ? Deux études, récemment publiées dans la revue Science, donnent la réponse. Les ancêtres de toutes les populations du vaste domaine austronésien étaient établis sur l'île de Taïwan il y a quelque cinquante siècles et ont essaimé d'île en île, en plusieurs vagues migratoires...

L'élégance du résultat est qu'il est issu de deux méthodes très différentes. La première est une analyse de linguistique comparative ; la seconde repose sur la variabilité génétique d 'Helicobacter pylori - la bactérie responsable de l'ulcère gastrique, qui est demeurée étroitement associée à Homo sapiens au cours de toutes ses migrations.

Dans leurs travaux, Russell Gray (université d'Auckland, Nouvelle-Zélande) et ses coauteurs se sont fondés sur le vocabulaire de 400 de ces langues austronésiennes. En utilisant des méthodes d'analyse statistique issues de la biologie, ils ont comparé ces lexiques pour bâtir un arbre généalogique de cette famille de langues. La construction de cette phylogénie dresse un scénario de migrations extrêmement détaillé. La langue à l'origine de tous les idiomes austronésiens était ainsi parlée, il y a environ 5 200 ans, à Taïwan.

De là, ses locuteurs se sont dispersés en plusieurs « pulsations » - et non graduellement, comme on pouvait le penser jusqu'alors. Ces phases migratoires successives se sont poursuivies après le Ve siècle de notre ère, pour parvenir jusqu'à la Polynésie centrale et orientale.

MARQUEURS GÉNÉTIQUES

« La théorie d'une origine taïwanaise des langues austronésiennes était soutenue depuis une vingtaine d'années par la majorité des linguistes, explique Laurent Sagart, linguiste au CNRS et associé aux travaux de M. Gray. Mais, jusqu'à récemment, des biologistes la jugeaient incompatible avec la présence, dans certaines populations austronésiennes, de marqueurs génétiques suggérant des peuplements plus anciens, remontant jusqu'à 20 000 ans. » L'origine des peuples austronésiens était ainsi située par certains généticiens dans l'Insulinde - l'archipel comprenant l'Indonésie, la Malaisie orientale, etc.

Migrations très anciennes venant de l'Insulinde ? Migrations beaucoup plus récentes en provenance de Taïwan ? Les indices s'accumulent donc en faveur de cette dernière hypothèse. « Cela s'intègre bien à l'idée de vagues migratoires consécutives à la maîtrise de l'agriculture et donc à l'augmentation de la démographie, au moins pour la période la plus ancienne, précise ainsi M. Sagart. Les linguistes reconstruisent un vocabulaire agricole fondé sur le riz et le millet dans la langue ancestrale de toutes les langues austronésiennes et grâce à l'archéologie, nous savons que ces cultures étaient en effet pratiquées il y a au moins 4 800 ans à Taïwan. »

Le lien linguistique mis en évidence implique-t-il un lien biologique entre les populations - c'est-à-dire un transport important d'individus ? Autrement dit, est-on sûr que la linguistique révèle des vagues migratoires et non, simplement, la diffusion d'une langue par acculturation de populations sur une vaste aire géographique ?

Oui, si l'on en croit l'analyse de la variabilité génétique d 'Helicobacter pylori. Une équipe internationale a étudié des échantillons du microbe, prélevés dans le domaine austronésien. « L'ancêtre de toutes les souches d'Océanie provient de Taïwan », confirme Sébastien Breurec (Institut Pasteur, Dakar), coauteur de ces travaux. Selon eux, la dispersion à partir de cette souche bactérienne ancestrale s'est produite il y a environ 5 000 ans. Ce qui recoupe de manière stupéfiante les conclusions fondées sur la linguistique.

Reste une question : pourquoi retrouve-t-on, dans certaines populations austronésiennes, des marqueurs génétiques anciens ? Dans un commentaire publié par Science, le grand archéologue britannique, Colin Renfrew, invoque de possibles contacts intervenus récemment avec d'autres peuples. L'étude d 'Helicobacter ne fournit pas non plus de réponse ferme.

Selon M. Breurec, le nombre limité d'échantillons bactériens étudiés ne permet en effet pas d'affirmer que les colons en provenance de Taïwan n'ont pas rencontré sur leurs routes migratoires, des populations installées là depuis bien plus longtemps : on sait en effet que des hommes ont peuplé la Papouasie Nouvelle-Guinée et l'Australie il y a 30 000 ans environ. Des comparaisons génétiques supplémentaires constituent « un travail que nous aimerions avoir la possibilité de mener », conclut M. Breurec.
Stéphane Foucart

15H30 L'armée de la SADC prête à intervenir à Madagascar



(Angola Press )La Brigade de la SADC préparée pour intervenir en RDC et au Madagascar Luanda - La Brigade en alerte (BEA) de la Communauté de Développement de l'Afrique Australe (SADC) est prête à intervenir au Congo Démocratique et en Madagascar.

Ces troupes, indique-on, sont disponibles pour aider à restaurer la paix et la stabilité dans ces deux pays. Cette annonce a été faite le week end dernier à Luanda par le chef de la mission de l'exercice Golfinho Fase 1"Mapex" de la SADC, Matthendele Moses Dlamini. Stationnée sur la base militaire de Cabo Ledo dans la province de Bengo, cette brigade régionale est composée des éléments de Forces Armées et de la Police de respectifs pays membres de la SADC. Selon Mathendele Dlamini, la "BEA" est à même d'intervenir en République Démocratique du Congo et Madagascar, pays en situations de conflits. Selon lui, la BEA" doit fonctionner comme un élément important dans la pacification des Etats africains.

Sont membres de la SADC, l'Angola, l'Afrique du Sud, le Botswana, l'île Maurice, le Lesotho, le Malawi, le Mozambique, le Madagascar, la Namibie, la RDCongo, le Congo-Brazzaville, le Swaziland, la Zambie et le Zimbabwe

Papa à 13 ans !!!



Alfie, papa à 13 ans, se retrouve au cœur d’une tourmente médiatique qui n’est pas prête de s’éteindre.

Il y a en premier lieu, la version qui a déchaîné les passions en Angleterre mais aussi sur Internet.

Alfie a fait un bébé avec Chantelle, 15 ans.



Et du coup il est devenu un des plus jeunes papas de l’histoire du Royaume-Uni.

Mais voilà que d’autres jeunes ados avouent avoir eu des relations sexuelles avec Chantelle et « réclament » la paternité de la petite Maisie Roxanne.

Il y a Joe, 16 ans, le grand frère d’Alfie.

Puis Richard, 16 ans, et Tyle, 14 ans.

Tous trois ont « couché » également avec la jeune Chantelle et chacun des trois imagine aussi qu’il pourrait bien être le papa de la petite Maisie Roxanne…

Pour prouver qu’il est le vrai papa, Alfie a effectué un test ADN.

Les résultats devraient être connus cette semaine.

En attendant les rumeurs circulent à la vitesse d’un TGV.

Des rumeurs qui annoncent que le jeune Alfie n’est pas le papa, mais que son histoire était de loin la plus vendeuse pour les médias…

Cette histoire pourrait même devenir une manne financière pour Alfie et sa famille.

Selon le site Sfgate.com, cinq chaînes de télévision se font la guerre pour obtenir les droits pour réaliser un documentaire sur la vie du jeune papa Alfie.

Selon The Independent, le jeune père pourrait gagner un demi-million de livres (environ 565.000 €) pour vendre son histoire.

Mais Alfie a déjà gagné pas mal d’argent…

Pour dévoiler son histoire The Sun a payé les photos et la video d’Alfie et de sa petite fille, 35.000 livres, soit 40.000 euros, et la chaîne de télévision Channel 4 a réglé 50.000 livres, environ 57.000 euros, pour un documentaire.

En attendant l'autre éventuel documentaire « palpitant » sur Alfie donnant le biberon, Alfie changeant la couche de sa fifille…, mercredi, le jeune père se promenait dans les rues avec un sweat-shirt à capuche, avec ce message inscrit dans le dos:

« Alfie Patten, je suis le papa. Si je ne le suis pas, allez tous vous faire foutre. Je serai toujours là ! »

Si ce n’est pas de la com, ça y ressemble, non ?

D'ailleurs question communication, c'est Max Clifford, le communicant préféré des stars qui s'occupe des intérêts du jeune couple...

Lundi 23 Février 2009 les négociations s'annoncent plus difficile que prévu

Entre un pouvoir aveugle à la situation des plus démunis et une opposition qui manipule les plus pauvres, cette situation n'a rien d'exceptionnelle. De nombreux observateurs, pas forcément politisés, avaient déjà prévu une explosion de ce type mais ils se sont heurtés à une indifférence coupable. " Bien que les faits soient condamnables, il est temps de se demander ce que nous pouvons faire pour ceux qui, n'ayant plus rien à perdre, ont pillé, saccagé et brûlé. Ils se sentent étrangers à une communauté humaine et nationale à laquelle ils n'ont jamais été intégrés." " Et que faisons nous pour empêcher que le pauvre soit la proie facile et manipulé par les gens sans scrupules ? " . Aujourd'hui, les négociations entre le camp Ravalomanana et le camp Rajoelina doivent débuter. Espérons que tous les deux pensent à ceux qui n'ont rien à perdre, car si on ne réfléchit qu'à se partager le pouvoir pour le pouvoir, une prochaine révolution aura encore lieu à moyen terme et quel que soit le président en place ! Le pouvoir n'est pas une fin, mais un moyen pour rendre meilleur la vie de ses habitants tout en garantissant les libertés élémentaires. Que les deux camps y pensent bien lors des négociations.

Dans quelle ambiance se déroulent les négociations ?

11H20 : 51 prisonniers réservistes ont été libérés

11H40 : Tous les ministères sont ouverts. Plus aucun barrage dans Tana ( Anosy )

11H45 : Lieu de rencontre entre camp Tgv et camp Ravalomanana inconnu. Personne à l'Ecar Antanimena ce matin.

11H46 : Théodore Ranjivason ( ex tim, opposition ) n'est pas encore libéré malgré le préalable Ravalomanana Rajoelina de samedi sur les prisionniers politiques

13H00 : Jean-Marc Châtaigner serait le nouvel ambassadeur de France à Madagascar.

14H00 : La rencontre se tient au Hintsy (Ambohimanambola). Marc Ravalomanana est sur place

16H00 : Les discussions reprendront demain entre le président et l'ex maire.Probablement à Matansoa

19H54 : Dans ses négociations, Andry Rajoelina demande l'accés a la Tvm, libération de Ranjivason, la démission des ministres du gouvernement ravalomanana, le renvoi du pds guy rivo randrianarisoa,

20H24 : Ranjivason pas libéré pour motif d'avoir brulé la RNM

20H40 : Tuléar : Rassemblement populaire organisé par l'Opposition de Toliara , place de démocratie, face statue Monja Jaona, côté ex faritany Toliara. fin 18H30mn . Discours enflammé de l'ex senateur Robert Razaka

21H00. Andry Rajoelina est sorti très mécontent de sa rencontre avec Marc Ravalomanana. Il lui reproche de n'avoir parlé que du Map et du sommet africain. Il demande donc la mise en place un ordre du jour pour la prochaine réunion

Sunday, February 22, 2009

Ce n'est pas du bidon!!!


Quand le petit peuple manifeste sa colère, ce n'est pas à l'aide de banderoles ni de longs blablabla sans issu, mais par une réaction extrêmement violente et souvent imprévisible.

Une pluie de billets de banque


Embouteillage inattendu, hier, vers 17 heures, sur la rocade de Rennes.

Un véhicule semait sur la route... des billets de banque!

Des centaines de millier de billets de différentes valeurs.

Bien entendu, les automobilistes se sont arrêtés sur la rocade pour profiter de l'aubaine et s'en mettre plein les poches.

La police enquête sur l'origine de cette "pluie d'euros", sans doute destinée à réchauffer le climat économique.

Saturday, February 21, 2009

Andry Rajoelina a réussi à faire capituler Ravalomanana


La nuit porte conseil dit-on...
Très tard dans la nuit du samedi, Marc Ravalomanana s'est adressé à la nation et affirme que les négociations sont en bonne voie.Rajoelina a pour sa part promis de ne plus y retourner sur la place du 13 mai, et d'arrêter la diffusion des propos calomnieux sur les voix des ondes . La résolution de la crise se fera donc entre les malgaches eux même.
Mais que va-t-on faire des morts pour rien ? Comment vont réagir les noyaux durs tels que Zafy, Ramaroson, Roland Ratsiraka, Didier Ratsiraka, et la foule de martyres et de pantins de la place du 13 mai?
Qui va payer les pots cassés ? Même si Ravalomanana abandonne les arrestations à connotations politiques,des plaintes sont malgré tout en cours d'instruction contre Rajoelina.
Demain une réunion se tiendra entre les deux belligérants pour rentrer dans les détails des points à négocier.
La marge de manœuvre de Rajoelina est du coup réduite à néant, car la foule du 13 mai a déjà assimilé cette rencontre avec Ravalomanana tout simplement comme une trahison ou une capitulation.

Il faut admettre que sans l'audace , le courage ou l'inconscience de Rajoelina d'une part et la mort injustifiée de nos compatriotes, Ravalomanana n'aurait sans doute jamais ouvert ses yeux sur ses énormes erreurs de gestions de la nation.

Cette rébélion est un appel à l'aide sans frais de la population à ses dirigeants. Le peuple crie sa détresse, tend ses bras vers une aide chimérique, tous les beaux parleurs sont des messies , on y croit ferme car tous espèrent que le miracle arrive et fasse disparaitre à jamais souffrance et misère.

Mais au vu des dommages collatéraux, ce ne sera pas demain la veille que les investisseurs viendront dilapider leurs sous dans ce pays incendiaire d'entreprises, et que les rancœurs, même refoulés, disparaissent par enchantement .



Voici le préalable aux négociations sur lequel se sont mis d'accord Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina. Ce préalable permet aux deux parties d'entrer en négociation mais ne représentent pas les conditions des négociations. Le préalable a été signé par les représentants du FFKM mais pas par les deux intéressés

Selon le communiqué lu par le FFKM à l’issue de cette rencontre, les deux parties se sont convenues :

- "d'arrêter toutes formes d'incitations à la violence"

- D’arrêter toute forme de provocation, de dénigrement, et de diffusion de fausses nouvelles par le biais de l’Audiovisuel.

- De faire cesser tout acte de pillage et de vandalisme visant des biens des particuliers et de l’Etat -

D’arrêter toute manifestation dans la rue -

De cesser toute forme d’arrestation et de poursuites à caractère politique

Samedi 21 février, Rajoelina semble se calmer et décide de rencontrer Ravalomanana




18H54 : Tamatave : Le quartier de stationnement des taxis brousse était bouclé par les forces de l'ordre cet après midi
18H50 : Selon Radio Antsiva, le pv de la réunion n'a pas été signé par les protagonistes : ni andry Rajoelina ni Marc Ravalomanana.
18h30 : La présidence a dans l'après midi publié un communiqué du FFKM indiquant que les deux parties se sont mises d'accord pour notamment faire cesser les violences.
INFOS DE LA PRESIDENCE 21 FEVRIER 2009



Le Président de la République Sur invitation des « Raiamandreny am-panahy » , le Président de la République, Marc Ravalomanana, a pris part, ce samedi 21 février 2009, à l’Episcopat Antanimena, aux pourparlers dirigés par les 4 Chefs d’Eglise, dirigeants du FFKM (Conseil chrétien des Eglises), en présence de M. Andry Rajoelina et en vue de la recherche d’une solution à la situation politique actuelle. Selon le communiqué lu par le FFKM à l’issue de cette rencontre, les deux parties se sont convenues : - D’arrêter toute forme de provocation, de dénigrement, et de diffusion de fausses nouvelles par le biais de l’Audiovisuel. - De faire cesser tout acte de pillage et de vandalisme visant des biens des particuliers et de l’Etat - D’arrêter toute manifestation dans la rue - De cesser toute forme d’arrestation et de poursuites à caractère politique Les dirigeants du FFKM ont salué « la volonté et le courage » des deux parties d’avoir bien voulu honorer leur invitation. Les pourparlers se poursuivront.



14H45 : La réunion a eu lieu a l'Ecar Antanimena et n'a duré "que" 45mn
12H35 : Rencontre dans un lieu " neutre " à 13 h. Andry TGV donne rendez vous à ses partisans demain place du 13 mai.
12H30 : TGV appelle ses partisans a rentrer. Une rencontre est prévue avec Marc Ravalomanana ce jour
12H20 : TGV est à Analakely. Il lit une lettre du FFKM invitant a une rencontre avec Ravalomanana à 13h
12H20 : Mahajanga : Les pros Tgv appellent au megaphone a un rassemblement pour cet apres midi
12H00 : 13 mai attend Andry Rajoelina
11H30 : Les pro Tgv au 13 mai. Culte religieux au palais des sports de Mahamasina. 5000 personnes environ
10H50 : Théodore Ranjivason, opposant à Ravalomanana a été arrêté dans la nuit d'hier et transféré à la prison de Tsiafahy

Andry Rajaolina a annoncé place du 13 mai une rencontre avec le Président Marc Ravalomanana ce samedi a 13h dans un lieu neutre. Cette précision est importante car plusieurs rencontres avaient échoué a cause de la localisation des lieux de rencontres. Il semblerait que la FFKM soit a l'origine de cette rencontre. Andry Rajoelina donnera les résultats de cette rencontre demain place du 13 mai. Si Andry Rajoelina a accepté cette rencontre, c'est peut être parce qu'il a décidé de mettre de l'eau dans ses conditions ?

Friday, February 20, 2009

Samedi 21 Février Andry devient très menançant



« Je vous invite à mon domicile à Ambatobe où je vous attends ce jour (vendredi 20 février 2009) à partir de 18heures jusqu’à minuit. Je ne peux plus tolérer l’effusion de sang car les armes des soldats ne sont pas destinées à tuer des Malgaches. Si vous ne prenez pas vos responsabilités, je prendrai les miennes, avec les soldats qui sont prêts à nous rejoindre ». Tel est le message de Andry Rajoelina transmis publiquement depuis la Place 13 mai hier 20 février.

Les généraux interpellés par Andry Rajoelina sont : les Généraux Rakotovao, Ramananarivo Claude, Rabarisoa Ranto, Razafindralambo Rivo, Raharijaona Lucien, et le Vice-Amiral Ramaroson Hyppolite qui est le plus haut gradé en fonction. Ils ont rencontré le chef suprême des Armées le 16 février dernier. Le lendemain, mardi 17 février, ils ont partagé à la presse, en présence du Vice Amiral Ranaivoniarivo Mamy Solofoniaina, ministre de la Défense nationale, la position des forces armées de la République de Madagascar.

Ces généraux avaient rassuré leurs cadets et leurs avaient rappelé que les forces armées malgaches sont unies pour la Patrie et qu’elles condamnent toute tentative de les diviser. Les forces armées malgaches n’ont pas la culture des coups d’Etat.

Andry Rajoelina s’est ensuite adressé aux officiers et sous-officiers de toute l’île pour les inviter à se rendre eux aussi à son domicile à Ambatobe à partir de 18 heures eux aussi. Donc un même rendez-vous pour les responsables des forces armées.

« Je conduirai moi-même les actions demain »

« Au cas où les officiers généraux interpellés ne prendraient pas leurs responsabilités, nous nous retrouverons ici même et je conduirai en personne les actions. Je suis prêt à me porter chef de guerre et au sacrifice ! ». Ce sont les propos de Andry Rajoelina devant ses partisans et les « réservistes », qui auparavant ont réclamé des armes pour se mesurer aux forces de l’ordre et assurer la victoire du « tolona » ou la lutte.

L’action que Andry Rajoelina prévoit n’a pas été dévoilée mais il a recommandé à ses partisans de se préparer car la journée de ce samedi 21 février sera rude. Le « dia be » qu’il envisage évoque dans les esprits, la fameuse et malheureuse marche du 10 août 1991 vers le palais d’Etat d’Iavoloha. On peut considérer aussi une marche vers Mahazoarivo, le palais du Premier ministre. Pour l’instant, les partisans de Andry Rajoelina se préparent à ce « dia be » dont la destination n’est pas encore connue.

Comme les lions, le gouvernement s'attaque en premier lieu à ses proies qui sortent de la meute

L’ancien ministre de la Fonction Publique Ranjivason Jean Theodore, qui avait rejoint les rangs de l’opposition, a été enlevé rapporte ce jour son épouse.

L’enlèvement a été fait par des hommes armés circulant à bord d’un pickup 4x4 ce Vendredi 19 février vers 20h45, à Ambatomainty, alors que le couple Ranjivason accompagné d’un agent de sécurité rentrait à son domicile après une visite de condoléances.

Aucun mandat d’arrêt n’a été présenté.

Roland Ratsiraka se démarque

Face à la multiplication des échecs et à la lenteur des actions,la cohésion des opposants se fissure. Avec un mandat d'arrêt sur sa tête, Roland Ratsiraka s'écarte de la mêlé,et affirme ne pas approuver ce gouvernement de transition. Zafy en personne s'est chargé des manifestations à Tamatave. La surenchère de Rajoelina a pris tout le monde de court .Il ne faut pas oublier que l'issu de cette tragédie va être pire pour la population et le perdant de ce conflit, si perdant il y aura.

Vendredi 20 février Tous les ministères ont été repris cette nuit même



Les forces de sécurité malgaches ont repris, vendredi matin 20 février, sans violence, le contrôle de quatre ministères occupés depuis la veille par des partisans du maire destitué d'Antananarivo, a constaté un correspondant de l'AFP. Des membres des forces de sécurité étaient en faction autour des bâtiments après être intervenus dans la nuit pour déloger les partisans d'Andry Rajoelina. Selon des témoins, quelques tirs sporadiques de sommation ont été entendus dans le quartier de la capitale où sont situés la quasi-totalité des ministères vers 3 h 30, heure locale (1 h 30, heure de Paris). Aucune tension n'était perceptible dans le quartier vendredi matin.

Après trois jours de manifestations et de tentatives infructueuses, quatre "ministres" nommés par M. Rajoelina étaient entrés jeudi dans les ministères de l'intérieur, de la sécurité intérieure, de l'éducation et de l'aménagement du territoire, et s'y étaient installés au nom de la "Haute Autorité de transition", proclamée par le maire destitué de la capitale. A la suite de négociations avec les forces de l'ordre, les "ministres" avaient pu accéder sans heurts aux ministères quasiment désertés par leurs fonctionnaires et avaient même changé les serrures.

Confronté à la plus grave crise politique de sa présidence, le chef de l'Etat, Marc Ravalomanana, a de son côté nommé un nouveau ministre de l'intérieur, ancien préfet de police de la capitale, "pour assurer adéquatement la sécurisation du territoire national", selon un communiqué de la présidence.

Journée du vendredi 20 février 2009

Andry Rajoelina cherche par tous les moyens à rallier les forces armées avec lui. Hier des femmes voilées (soit disant des épouses de militaires) ont été aperçues en tête de cortège des manifestants TGV. La journée d'aujourd'hui a été écourtée pour une mise au point de sa nouvelle stratégie avec son QG.

17H35 : Bataille de communiqués : Face aux déclarations sur VIVA La gendarmerie réaffirme n'avoir tué personne. les tirs entendus étaient des tirs de sommation en l'air selon la gendarmerie.
17H30 : Communiqué de la gendarmerie nationale : aucun gendarme n'est mort, aucun civil n'est décédé : (communiqué ici )
17H00 : Conférence de presse de Roland Ratsiraka: il déclare ne pas être concerné par un gouvernement de transition. Il dit que si les militaires, la société civile, les ex candidats a la présidentielle, le Ffkm, s'étaient réunis, la crise serait réglée en 3 jours.
13H20: Meeting 13 mai terminé.
13H17 : Andry Rajoelina dit que le 13 mai reprendra demain. Dit que les blindés ne l'arrêteront pas et qu'il sera là avec la foule demain.
13H17 : Andry Rajoelina appelle les officiers et sous officiers a se rendre à son domicile d'ambatobe
13H10 : D'après des témoignages reçus, la gendarmerie d'Andraisoro était mobilisées depuis minuit cette nuit. Par ailleurs, des coups de feus ont été entendus entre Isotry et 67 ha.
13H00 : Bataille de témoignages entre les TGv et le gouvernement : les témoins andriamaso pokonola réaffirment place du 13 mai qu'il y a eu des décés dans la reprise des ministères cette nuit malgré démenti de l'Emmonat.
12H50 : Andry Rajoelina et son gouvernement viennent d'arriver place du 13 mai
12H27 : Rolland Ratsiraka tiendra une conférence de presse ce jour
12H20 : Tamatave : les personnes arrêtées lors des manifestations hier ont été libérées
12H10 : Emmonat dément l'info de Radio Viva ( voir news 11H54 ) . Aucun décés selon l'Etat Major Mixte.
11H55 : Le 13 Mai vient de commencer.
11H55 : Des blindés sont maintenant stationnés à Anosy, quartier des ministères
11H54 : Viva annonce 8 morts lors de la reprise des ministères . ( news à démentie par Emmonat )
11H51 : Le ministre de la défense et ministre de la sécurité intérieure le Vice Amiral RANAIVONIARIVO Mamy Solofoniaina et Désiré RASOLOFOMANANA Ministre Sécurité National annoncent qu'il n'y a qu'un seul commandement
11H50 : 50 personnes pro tgv ont été arrêtées lors de la reprise des ministères
11H47 : récapitulatif de ce matin: Le PM charles Rabemananjara annonce que Les ministères ont été repris cette nuit par l'armée

Thursday, February 19, 2009

Et la vie continue



QUATRE FRANCAIS EXPULSES DE MADAGASCAR

Avec l’aval du président de la République Marc Ravalomanana, le ministère malgache de l’Intérieur a pris le 3 février, sous la référence n°022/MI/SG/DCE/SCE, un arrêté d’expulsion concernant quatre hommes d’affaires français, officiellement accusés d’atteinte à la sûreté de l’Etat et de trouble à l’ordre public. Les quatre personnes ont été cueillies à leur domicile et mises dans un avion en direction de Paris, le 6 février.

Il s’agit du dirigeant de la société Assist Développement, Alain Moyon et son père, de Patrice Neveu et de Patrick Leloup. Selon nos sources, Patrice Neveu est un promoteur immobilier qui était intervenu récemment dans une émission de télévision de la chaîne française TF1, pour vanter le bas coût du m2 de terrain à Nosy Be. Il a déjà été expulsé de Madagascar en 2002, alors qu’il résidait à Mahajanga avec son épouse de l’époque, Nathalie Barday.

Dessous politique

Patrice Neveu est actuellement le gendre de Pascal Rakotomavo, l’ancien Premier ministre malgache. Un ancien Premier ministre qui est l’une des éminences grises du maire destitué d’Antananarivo, Andry Rajoelina selon nos sources. Patrick Leloup, quant à lui est un proche et ancien conseiller d’Alain Ramaroson, lequel est à son tour un ancien conseiller de Marc Ravalomanana, passé actuellement dans le camp de Andry Rajoelina.

Pour ce qui est d’Alain Moyon, il était en conflit judiciaire avec Maminiaina Rasolondraibe, le patron de Funreco et avait des ennuis avec des Malgaches à propos de sa demande de concession sur l’île Nosy Hara et l’archipel des Mitsio. Par contre, il bénéficiait du soutien d’Heriniaina Rabemananjara, le fils de l’actuel Premier ministre malgache Charles Rabemananjara.

Le ministère français des affaires étrangères semble vouloir minimiser ces expulsions en estimant qu’elles n’ont rien à voir avec le contexte politique actuel et qu’elles répondent simplement à des faits délictueux.

Vendredi 20 Février le navire Ravalomanana renfloué cette nuit même !!!!


Au petit matin, vers 3h du matin de ce vendredi 20 février, les forces de l’ordre ont repris le contrôle des quatre ministères. Elles ont surpris les « andrimaso » ou les personnes dont la garde de ces lieux que les manifestants venaient d’investir en fin d’après-midi d’hier 19 février. Les barrages de pierres, de pneus calcinés et de bacs à ordures ont été nettoyés et malgré une certaine résistance des gardes ou des « andrimaso » les forces de l’ordre sont rentrées en possession des quatre ministères, à savoir, le ministère de la Sécurité intérieure, le ministère de l’Intérieur, le ministère de l’Education nationale et le ministère de l’Aménagement du Territoire. La victoire des manifestants de la Place 13 mai n’aura duré que l’espace d’une nuit « blanche ».

Selon les informations diffusées par la radio nationale et la radio Mada, la circulation dans les parages de ces ministères sis à Anosy est de nouveau libre au grand soulagement des usagers qui craignaient depuis hier soir que les sites soient encore interdits d’accès en raison des barrages.

Journée du jeudi 19 février Le navire de Ravalomanana prend l'eau , les quatre énormes brèches pourraient le faire couler rapidement.



21H20 : Les TGVistes ont appelé les Andriamaso pokonolona ( volontaires de confiance ) pour garder les ministères pris
21H00 : Rectification : le bon nom du nouveau ministre de l'intérieur de ravalomanana est Rabenja Tsehenoarisoa et non pas Sehono Rabenjaharisoa
20h56 : Un 4ème ministre du gvt Tgv a ouvert son bureau : Andrianiana Harivelo pour le Ministere Decentralisation et Amenagement du territoire
20H50 : retour du fil info...
17H55: Julien Razafimanjato appelle les enseignants et élèves a se remettre au travail.
17H50 : Ministère de l'éducation ouvert . entrée de Julien Razafimanjato ( ministre du gvt tgv )
17H40 : Déclaration de Masimanana Manantsoa " il est la pour la democratie et precise que c'est un gouvernement de transition
17H33 : Masimana Manantsoa ( gouvernement Tgv ) entre dans les locaux du ministère de l'intérieur
17H29 : précisions : Le général Organes est entré dans les bureaux de la sécurité intérieur et non le ministère de l'intérieur à 17H10. Il est actuellement devant la porte du ministère de l'intérieur
17H22 : La délégation ressort et se dirige vers un autre ministère .
17H20 : Le directeur de la police économique du gvt ravalomanana présent sur le lieux félicite le général organés !
17H15 : déclaration du général Oganés. Il donne 48h aux forces de police pour revenir au ministère
17H14 : le Général Organes, ministre de l'intérieur du gvt tgv est entré dans le ministère de l'intérieur
17H06 : Les huissiers sont arrivés. le portail a été ouvert. Ils se retrouvent maintenant dans la cour du Ministère devant la porte d'entrée de l'immeuble...fermée.
16H56 : Toujours pas de huissier en vue....! Situation "originale" !
16H26 : la délégation est composée des membres du gvt Tgv et de quelques mpiandry. Malgré la même situation que lundi, la délégation n'a pas prévu d'huissier avec eux.
16H20 : La foule se situe au niveau du rond point du carlton. Elle "encercle" le barrage militaire de l'Emmonat.
16H17: La délégation attend un huissier pour faire constater l'ouverture du portail du ministère
16H07 : Le général Kavao ( peut être erreur d'orthographe ) est le responsable discutant avec le général Organes ( Tgv ) . Il déclare ne pas avoir les clés du portail mais laisse faire le général Organes
16H05 : Tamatave : le calme est revenu. Routes vers l'hotel de ville barrée.
16H03 : Le général Organes ( ministre de la l'intérieur du gvt Tgv ) négocie avec le responsable présent sur place pour entrer dans le ministère.
15H59 : La délégation se trouve dans la direction générale de la police. Ils sont en discussion avec un responsable.
15H53 : Un militaire indique qu'une porte est disponible derrière. la délégation fait le tour...
15H53 : La délégation est arrivée au ministère de l'intérieur. Les portes ( portail ) sont fermées par cadenas.
15H52 : Rappel : les ministères ont été déclarés zone rouge ( droit de tirs à vue sans sommation )
15H51 : Direction ministère de l'éducation et ministère de l'intérieur. passe devant ministère de la pêche sans s'arreter.
15H50 : la délégation est en marche accompagnée de journalistes
15H40 : La délégation se demande toujours si elle va entrer ou non dans le ministère . Elle a le droit de passage de l'armée mais pas la garantie de sécurité.
15H36 : La délégation Tgv demande a l'armée de l'accompagner dans les ministères pour faire face aux milices armées qui seraient à l'intérieur selon les Tgv
15H30 : La délégation pourrait passer mais au dela de la limite du barrage, l'armée ne garantit pas leur sécurité.
15H20 : Négociation avec le colonel de l'Emmonat et les ministres tgv
15H03 : Les femmes de militaires sont bien en tête de la foule. Andry Tgv n'est pas "visible"
14H48 : La police recule lentement. La foule est au niveau du Carlton. Sareraka est le meneur
14H15 : La foule se retrouve nez à nez avec le barrage à Anosy. Une trentaine de policiers compose le barrage
14H10 : Tamatave Coups de grenades lacrimogènes entendus du coté du CRJS à 13h30 . Deux "ministres tgv" seraient à Tamatave depuis hier mercredi
14H08 : présents délégation des ministres + sareraka
14H07 : A anosy près du Carlton, la foule demande le passage devant le 1er barrage
13H50 : Tamatave : Mise à lécart de " Tabera" par les forces de l'ordre
13H45 : Tamatave : Marche de manifestation menée par le Pr Zafy d'Ankirihiry. La marche continue et se trouve au hauteur de la gare routiere
13H40 : Ravalomanana a nommé un nouveau ministre de l'intérieur en remplacement de Gervais Rakotonirina : Sehono Rabenjaharisoa
13H30 : La foule est divisée en " : rond point anosy prés du sénat, rond point antsahamanitra, et en provenance d'isotry
12H55 : Le cortège se scinde en plusieurs parties direction Anosy : Un cortège par Isotry petite vitesse, un cortège par Analakely ( escaliers )
12H45 : rectification news du 16 février. le bateau coulé "dans le baie d'antongil" a en fait coulé au large du cap bellone entre mananara et sainte marie
12H35 : Selon Andry Rajoelina, des milices armées sont dans les ministères. Il demande la coopération des forces armées pour les enlever.
12H36 : L'infos des régions de Madagascar ici
12H26 : Andry Rajoelina déclare que 11t d'armes ont été amenées à Madagascar ( il montre un papier )
12H15 : Le ministre anglais des Affaires étrangères pour l'Afrique Lord Malloch-Brown déclare dans un communiqué du 18 février "inacceptable" toute tentative de suppression d'un gouvernement démocratiquement élu par des moyens anti constitutionnels ( voir ici )
12H10 : Tourisme 60% de séjours en stand by selon l'office du tourisme. Crainte forte pour la saison 2010 où Madagascar risque de ne pas être intégrée dans les catalogues si la situation perdure
12H02 : La femme du General Jao Feno conduira les femmes.
12H00 : Le couvre feu est reculé de deux heures. Il passe de 20h à 22h
11H55 : itélé reconnait par communiqué son erreur dans le reportage sur la guadeloupe diffusant des images de Madagascar
11H50 : Andry Rajoelina est sur place
11H45 : Place du 13 mai. début de manifestation en présence de femmes de militaires
11H00 Le sénateur Tovonanahary Rabetsitonta, et le sénateur Jean Faure, Président du groupe France- Madagascar et des pays de l’Océan Indien se sont rencontrés le mercredi 18 février 2009 en France.

Et la vie continue





Wednesday, February 18, 2009

La réparation du palais de la reine prend forme

Les quatre malgaches qui se rendront à Paris le 27 Février pour la finale du célèbre emission " QUESTION POUR UN CHAMPION"

Y-a-t-il y un président dans ce pays ?


Trois semaines après son déclenchement, la crise politique qui oppose les partisans d’une transition au pouvoir en place continue de perdurer. Il y a de quoi s’interroger sur l’absence de réaction du président.



Au lieu d’évoquer les questions brûlantes du moment et de prononcer officiellement ses intentions par rapport au mouvement de contestation dirigé contre lui, Marc Ravalomanana donne l’impression de ne pas vouloir voir la vérité en face et d’opter ainsi pour une politique de l’autruche.

Le président est-il en train de se remettre en question ? Soit, mais il est grand temps qu’il sorte du silence dans lequel il se terre. Ses apparitions sporadiques sur la scène médiatique où on le voit se livrer à de multiples audiences à Iavoloha, se contenter de délivrer des messages d’apaisement à la population et à louer les réalisations du régime, ou encore se borner à prôner la légalité du pouvoir en place restent dans de telles circonstances sans grand intérêt pour l’opinion publique qui attend du président qu’il prenne enfin le taureau par les cornes.



L’heure est grave

Ce n’est pas tellement faire preuve de leadership quand l’heure presse et qu’on laisse s’envenimer une situation qui menace l’intégrité de chaque citoyen et ses biens. Faut-il s’étonner du cynisme de l’opinion publique vis-à-vis d’un appareil gouvernemental convaincu de sa légalité mais qui semble minimiser les événements en manquant de réactions fondamentales face à une dégradation de la situation ? Les actions entreprises par le projet insurrectionnel sont en train de paralyser la machine administrative faute d’une contre-mesure des autorités.

Les supputations vont bon train. Les observateurs sont désorientés. Le peuple et les politiques demeurent dans le domaine des suppositions en attendant que le président veuille bien se prononcer sur ses véritables intentions.

Outre les conséquences socio-économiques de la crise, l’intensité de cette dernière risque de compromettre à court terme l’autorité des institutions en place avec comme corollaire la perte de la confiance que la population place en elle. A moins que le président ne nous réserve dans les jours qui viennent son « effet de surprise » qui ne manquera certainement pas d’être salué par la communauté internationale ainsi que par ses concitoyens.

En analysant la crise actuelle, les observateurs en situent la racine au début même du mandat de Marc Ravalomanana. Sa manière de gérer les affaires nationales et plus particulièrement son manque de volonté de répondre aux aspirations formulées par les forces vives de la nation sont pointés du doigt. En effet, son style de gouvernance inspirée de la logique entreprenariale a du mal à prendre auprès des institutions habituées à évoluer selon une orthodoxie administrative immuable. Parmi les priorités auxquelles le président est accusé de n’avoir pas su apporter une réponse adéquate, on cite pêle-mêle le non respect de la liberté d’expression, de l’équilibre régional dans la répartition des fonctions officielles, le népotisme, l’absence d’une politique de réconciliation nationale pour panser la crise post-électorale de 2002, l’opportunité du vote de la refonte de la loi sur les partis politiques et l’achat du Force One II.

Pour les politologues, il est clair que les conflits actuels entre les tenants d’une transition politique et les autorités en place auraient été évités si le président s’était doté d’une capacité d’écoute à la mesure des mécontentements et des préoccupations qui s’étaient élevées au sein de la population.

Avec cette crise persistante, l’éventualité de revenir à une situation normale semble illusoire.

Jeudi 19 Février , Frustré par trop d'échec Andry enverra en première ligne les femmes des militaires comme bouclier humain.






Suite à de nombreuses critiques, Rajoelina serait déterminé à en découdre rapidement avec les barrages des forces de l'ordre. Hier, c'était les femmes "FIFOAZANA" ( tout de blanc vêtue) qui précédaient les manifestants, suivies des délégués TGV et de la foule. Aujourd'hui,le changement de tactique serait d'impliquer un peu plus les militaires, dans sa lutte contre Ravalomanana, en remplaçant les FIFOHAZANA par les épouses de ces derniers ( autrement dit un véritable bouclier humain).

En effet , l'armée a déjà fermement avertit les deux belligérants qu'en cas d'enlisement ou échec des négociations, elle prendra ses responsabilités.

Mais qui aurait le plus à perdre dans cette prise de responsabilité que les observateurs traduisent par un " directoire militaire" ? Certainement plus le président que Andry Rajoelina. Pour ce dernier cela pourrait être une porte de sortie dans l'enlisement actuel de son mouvement, mais pour le président, se retrouver dépossédé de tout pouvoir serait inconcevable !

Mais l'armée a t elle une légitimité institutionnelle ou populaire pour s'emparer du pouvoir si c'était le cas ? Nul n'ignore l'impact négatif que représente un directoire militaire sur un pays ! .

Quels sont les critères que se donnent l'armée pour définir les termes " enlisement et échec ?

Tout le monde sait que la crise s'enlise et ses conséquences sur l'économie sont dramatiques. Or Andry Rajoelina l'a clairement annoncé qu'il n'y aura pas de négociation avec Ravalomanana après le samedi sanglant d'Ambohitsirohitra.

Alors qu'attend l'armée pour installer leur directoire?

Sans doute parce que Ravalomanana a encore entre ses mains plusieurs jokers tels que le sommet de l'Union Africaine au mois de juillet, une bonne partie de la population d'Antananarivo le soutient encore et enfin, les ministres et les fonctionnaires marchent pour le moment main dans la main avec lui.

Tuesday, February 17, 2009

L'argent et le pouvoir peuvent nous rendre aveugle


La misère et la souffrance sont des phénomènes sur lesquelles nos dirigeants doivent se pencher de près,et pourquoi ne pas s'inspirer sur l'Akamasoa du père Pédro.


L'innocence.

A le gagner sans se fatiguer ou malhonnêtement c'est s'enrichir sans gloire !!!

Coup de théatre: Pour faciliter leur tache, l'armée compte instaurer un directoire militaire

MERCREDI 18 FEVRIER 2009 : si la situation perdure, celle-ci peut jouer en faveur de Rajoelina, car l'armée a l'intention de prendre le pouvoir , entrainant de facto la destitution de Ravalomanana.



Forces armées. « Nous devons assumer nos responsabilités comme étant le dernier rempart de la légalité républicaine et de l'unité nationale ».
Le spectre d'un directoire militaire plane

En guise de réponse, à l'interpellation des sous-officiers à leur endroit, et pour donner de plus amples explications sur leur position, les officiers généraux ont fait une déclaration, hier, à Ampahibe, lors d'un point de presse. Composés de 5 trois étoiles, dont 4 généraux et un vice-amiral. Il s'agit du ministre de la Défense Nationale, le vice-amiral Ranaivoniarivo Mamy, des généraux Rakotovao Fred, Razafindralambo Rivo, Ramananarivo Claude, Rabarisoa Ranto et du vice-amiral Rarison Ramaroson Hyppolite. Et qui se résume comme suit, « les forces armées n'ont pas la vocation de prendre le pouvoir mais elles sont toujours prêtes à assumer leurs responsabilités ». La déclaration fait état également que l'armée malgache n'accepte pas toute tentative de la diviser. Et qu'elle est le garant des biens et des personnes.
Résultats concrets. Sur la rencontre avec le Président de la République d'avant-hier, à Iavoloha. Ce dernier, en tant que chef suprême des forces armées, a « invité » ces chefs militaires. « Nous souhaitons que le dialogue qui s'instaure entre les deux parties aboutisse à des résultats concrets. Dans le cas contraire, nous devons assumer nos responsabilités comme étant le dernier rempart de la légalité républicaine et de l'unité nationale », a rapporté le Vice-Amiral Ramaroson Hyppolite. Si l'on se réfère à ces déclarations, est-ce à dire que le spectre d'un directoire militaire plane?
Dispositions. Toujours est-il que si les négociations traînent ou piétinent, c'est selon, les forces armées vont-elles prendre les dispositions qui s'imposent? Selon les officiers généraux qui ont tout récemment rencontré le Chef de l'Etat, les discussions ont été fermes et honnêtes.

Mercredi 18 Février aucun ministres TGV n'est en place.

18H30 : Jeudi, Andry TGv donne rendez vous au 13 mai puis il conduira une marche vers Anosy en personne.
18H05 : Des femmes de militaires seront en première ligne demain pour les ministères.
18H00 : Course poursuite entre casseurs et forces de l'ordre vers Andraharo,en fin d'après midi
15H00 : Tirs de sommation toujours à Fianarantsoa
14H30 : Fin de la manifestation. aucune avancée. rien à signaler
14H00 : Les ministres de TGV sont en discussion avec l'Emmonat
13H00 : Andry Rajoelina n'est pas a Ampefiloha. Les ministres y sont. Sit in en cours
12H06 : Tirs de lacrymogène pour disperser des manifestants (précision : à fianarantsoa)
12H00 : Sit in à Anosy des partisans TGV. En attente de Andry Rajoelina

La pomme de la discorde ...





Monday, February 16, 2009

Mardi 17 Février 2009




Je ne veux plus parler de négociation avec Ravalomanana qui a du sang malgache sur les mains disait Andry Rajoelina sur RFI. Notre seule condition au dialogue c'était son départ, et puisqu'il ne veut pas partir, c'est le peuple qui le déboulonnera de son trône.
Après avoir quitté la place du 13 mai hier, il a promis de revenir avec une nouvelle stratégie plus sophistiquée et sans doute plus énergique.
Avec l'impatience de la foule, l'abstinence à la violence, et la lenteur de ses actions, le mécontentement de ses partisans risque de se retourner contre lui ou tout simplement de s'éteindre comme un feu de paille.

Antananarivo heure par heure

18H05 : Tuléar : Des incitations a la désobéissance ont été lancées aux habitants par des personnes ( appartenance politique non identifiée )
18H03 : Antalaha. meeting pro tgv ce matin. entre 1000 et 2000 personnes maxi
18H02 : Marc Ravalomanana a reçu ce jour l'ensemble du corps diplomatique étranger à iavoloha en présence du MAE Marcel Ranjeva et de Joelisoa Ratsiarison, directeur de cabinet
16H22 : Monja Roindefo déclare la manifestation terminée. Il donne rendez vous demain directement à Anosy ( cité des assureurs , coté de Fiaro )
16H18 : Monja Roindefo sifflé par la foule lors de son rapport de négociation
16H15 : L'afp dakar annonce que le président sénégalais Adoulaye Wade a été sollicité pour une médiation " "Le président Wade accueille favorablement cette demande de médiation "
16H02 : Le ministre de la défense a proposé un rendez vous demain a Monja Roindefo
16H00 : Info région : Le radier Cafe Feramanga reliant Ambatondrazaka Andilamena sur la RN 44 nord redevient fonctionnel grace aux travaux HIMO finances par la Region Alaotra Mangoro
16H02 : Le ministre de la défense a proposé un rendez vous demain a Monja Roindefo
16H00 : Info région : Le radier Cafe Feramanga reliant Ambatondrazaka Andilamena sur la RN 44 nord redevient fonctionnel grace aux travaux HIMO finances par la Region Alaotra Mangoro
15H54 : Le ministre dit ne pas vouloir de confrontation. Il demande aux tgv de respecter le fihavanana et d'en rester là.
15H49 : Monja Roindefo demande l'ouverture des ministères car "ils appartiennent au peuple". Le Ministre demande l'arrêt de cette manifestation qui "n'est pas légale".
15H30 : Le Ministre de la Défense ( Ravalomanana ) est arrivé à Anosy pour rencontrer les Tgv

14H45 : La délégation Tgv est partie au Toby Ratsimandrava ! La foule est assise a Anosy
14H20 : Le colonel annonce qu'il n'a pas l'autorisation de faire passer qui que ce soit. Il invite la délégation a contacter ses supérieurs au Toby Ratismandrava
14H00 : "Personne ne passe" déclare le colonel RAMINOSOA de l'Emmonat
13H56 : Négociation en cours avec l'Emmonat a proximité du Carlton- Immeuble Fiaro. Le général Organes mène la délégation

12H45 : ordre de défilé : voiture sono, puis mpiandry religieux, deputés , delegation suivis de la foule,
12H40 : Départ de la gare soarano des tgvistes vers petite vitesse Isotry
12H11 : Le général Organes ( ministre sécurité intérieur de Tgv ) donne les instructions pour une marche : Mpiandry devant, direction Isotry puis Ampefiloha
12H00 : Andry Rajoelina a pris la parole

11H35 : Arrivée de Andry Rajoelina place du 13 mai
9H45 : Le pds Guy Randrianarisoa a lancé un projet haute intensité de main d'oeuvre pour le nettoyage des quartiers de Tana 2000ar/jour pour 5h de travail
9H35 : Les élections de nouveaux chefs de fokontany auraient commencé selon les Tgv
9H30 : Michèle Ratsivalaka a refusé de faire la passation avec le Pds Guy Randrianarisoa .

Rajoelina a échoué, il n'a même pas pu prendre la place Goulette située à quelques metres de celle du 13 mai





L'opposant malgache Andry Rajoelina, qui réclame la démission du président Marc Ravalomanana, a échoué lundi à installer "ses" ministres dans les bâtiments des ministères à Antananarivo, où des échauffourées ont opposé ses partisans aux forces de l'ordre.



Le centre de la capitale de Madagascar a été paralysé dans l'après-midi par des échauffourées violentes entre plusieurs milliers de partisans du maire destitué d'Antananarivo Andry Rajoelina, surnommé TGV pour son caractère fonceur, et les forces de l'ordre, a constaté un journaliste de l'AFP.



Des manifestants ont jeté des pierres sur les forces de sécurité qui ont répliqué par des tirs de sommation en l'air pour disperser la foule, à proximité de la place du 13-Mai, haut lieu de la contestation malgache et point de rendez-vous de l'opposition depuis le début de la crise fin janvier.



La centaine de membres des forces de l'ordre a ensuite dû se replier dans une caserne située à proximité.



Avant la nuit, les forces de sécurité ont fait usage une nouvelle fois de tirs de sommation pour disperser les groupes de manifestants toujours présents dans le centre-ville. En début de soirée, aucune source n'avait fait état de victimes lors de ces tirs.



Ces manifestants exprimaient leur mécontentement qu'une délégation de "ministres" nommés par le camp de M. Rajoelina eut renoncé à se rendre dans les ministères du gouvernement actuel pour commencer à y travailler, après avoir trouvé portes closes au ministère des Sports et de la Culture.



La délégation de responsables du camp Rajoelina a ensuite quitté les lieux en laissant les manifestants en colère face aux forces de sécurité.



Environ 10.000 partisans de M. Rajoelina s'étaient rassemblés plus tôt lundi sur la place du 13-Mai avec pour intention affichée d'organiser des sit-in devant des ministères, malgré les mises en garde du pouvoir.



Face aux risques de débordement, M. Rajoelina avait ensuite demandé publiquement à la foule de ne pas tenter de se rendre devant les ministères, mais la foule en colère a visiblement refusé d'obtempérer.



Dans la matinée, Monja Roindefo, nommé "Premier ministre de la transition" par M. Rajoelina, a nommé deux autres "ministres", portant à 12 le nombre de "ministres" censés aux yeux de l'opposition remplacer le gouvernement actuel.



M. Rajoelina avait demandé ces derniers jours à "ses" ministres de se rendre lundi dans les ministères pour y travailler.



Des négociations entre les deux camps avaient été entamées la semaine dernière pour trouver une issue à la crise.



"Les discussions sont terminées, car une de nos conditions est la démission du président, mais il ne veut pas partir", a toutefois affirmé M. Rajoelina au quotidien français Le Monde publié lundi, ajoutant qu'il refusait de négocier avec quelqu'un qui a "du sang sur les mains".



Il a également assuré bénéficier du soutien de la majeure partie de l'armée. "L'armée n'a plus confiance, 80% est avec moi, je ne parle pas des généraux, pour eux il y a aussi l'appel de l'argent", affirme-t-il.



Une centaine de personnes sont mortes à Madagascar depuis le 26 janvier dans les violences qui ont émaillé le conflit entre les deux hommes, dont 28 abattues le 7 février par la garde présidentielle qui avait tiré sans sommation sur une foule de partisans de M. Rajoelina.

Sunday, February 15, 2009

Lundi 16 Fevrier 2009


L'équipe de TGV, avec le premier ministre Monja tentera d'introduire de gré ou de force les membres de son gouvernement dans leur ministère respectif.

Interrogé sur RFI, ce dernier affirme etre dans la légitimité, et prétend assumer entièrement les conséquences de ses actions.

Ravalomanana a déjà mise en garde l'équipe de Rajoelina samedi, qu'il ne transigera pas et n'acceptera aucune violation des ministères. Des consignes fermes on étaient donnés en ce sens aux forces de l'ordre.

Qui est le vrai perdant ?

Etait-ce le mal necessaire pour finaliser le plan ?


L'un des pays les plus pauvres du monde est dans la tourmente : Madagascar. La Grande Ile n'en avait pas besoin. Lancé à l'assaut d'un pouvoir impopulaire mais élu, confronté à une baisse d'intensité de son mouvement, Andry Rajoelina, le maire de la capitale, Antananarivo, n'a trouvé qu'une issue : envoyer la foule de ses partisans à la mort. Vingt-huit d'entre eux ont payé de leur vie, samedi 7 février, le cynisme de cette stratégie du « casse-pipe ». En incitant les manifestants, rassemblés pacifiquement le matin, à marcher ensuite sur le palais présidentiel

Un 14 février 2009 assez impressionnant

Saturday, February 14, 2009

La pauvreté est un cancer incurable de l'humanité


Sur les 50 pays les plus pauvres du monde, classés selon l’indicateur de développement humain (IDH) du PNUD, 33 sont situés en Afrique subsaharienne. Malnutrition, pauvreté, illetrisme, situation sanitaire désastreuse... le continent est la première victime du creusement des inégalités dans le monde. Si de 1960 à 1980, les pays d’Afrique ont enregistré des progrès sensibles en matière de développement économique et social, ces progrès se sont ralentis, notamment du fait des effets désastreux des plans d’ajustement structurel menés par les institutions financières internationales.

Sources : World Resources Institute (WRI), Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Banque mondiale, Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

Je vendrai mon âme pour un TGV

Le parrain est de retour

Recherche raison perdue le 7 frévrier 2009 à Ambohitsirohitra

Echangisme ?

Je me prépare pour la suite