Friday, August 31, 2012
Israël se prépare à une guerre avec l'Iran
Des employés des services postaux tiennent un centre de distribution de masques
à gaz dans un centre commercial de Jérusalem. Crédits photo : Nir Alon / Demotix/Nir Alon / Demotix
Les citoyens se bousculent dans les centres de distribution de masques à gaz et l'armée vérifie les abris antimissiles.
Les Israéliens commencent à croire que l'hypothèse de centaines de
missiles ravageant leur pays, en représailles à une attaque contre des
installations nucléaires iraniennes, ne relève plus de la
politique-fiction. Mahmoud Ahmadinejad, le président iranien ne fait
rien pour les rassurer: il a assimilé hier Israël à une «tumeur cancéreuse».
Cette montée de tension se fait sentir dans les centres de distribution de masques à gaz, qui connaissent un afflux sans précédent depuis des années. Les appels téléphoniques aux centres de renseignements des municipalités pour localiser les abris publics se multiplient. Sur ce front, la mairie de Tel-Aviv, une cible privilégiée avec le quartier général de l'armée et le siège du ministère de la Défense, a annoncé que 60 parkings sous-terrains allaient être aménagés pour accueillir des centaines de milliers de personnes en cas de besoin.
À ce dispositif s'ajoute un réseau de 220 abris publics spécialement conçus pour résister à des missiles. Ils font actuellement l'objet de contrôles renforcés pour vérifier que l'isolation, les systèmes d'aération et de distribution d'eau fonctionneront le moment venu. Signe de l'inquiétude ambiante: la 10, une chaîne de télévision privée, a interviewé des enfants pour savoir s'ils redoutaient une guerre.
À titre de précaution, l'arrière a également été mobilisé par l'armée, qui a testé pour la première fois cette semaine une procédure d'alerte aux missiles par l'envoi de SMS sur les téléphones portables. Cette opération a été menée région par région, afin que seuls les habitants des secteurs visés par une attaque se précipitent dans les abris, ce qui est censé éviter une paralysie de l'ensemble du pays.
Selon Matan Vilnaï, le ministre (sortant) de la Défense civile, chargé des mesures de protection des civils, un conflit «pourrait durer 30 jours sur plusieurs fronts simultanés». Autrement dit, les contre-attaques pourraient provenir non seulement de l'Iran, mais aussi du Hezbollah libanais, voire de la Syrie de Bachar el-Assad sur la frontière nord et des islamistes palestiniens du Hamas, qui contrôlent la bande de Gaza au sud. Selon cet ancien général, les tirs des missiles pourraient «faire quelque 500 morts, peut-être moins ou davantage», un bilan humain qu'il juge «raisonnable». «Il n'y a aucune raison d'être hystérique. Jamais auparavant le front intérieur n'a été aussi bien préparé», a ajouté Matan Vilnaï. Il a toutefois préféré quitter son poste particulièrement exposé pour devenir ambassadeur en Chine…
Pour compléter le tableau, Nétanyahou s'est accordé en tant que premier ministre de nouvelles prérogatives, une décision inédite depuis la création de l'État d'Israël en 1948. Officiellement, la réforme vise uniquement à «rendre le travail du gouvernement plus efficace». Une des dispositions prévoit notamment qu'un ministre absent d'une réunion du cabinet ne pourra plus voter par téléphone ou donner une procuration à l'un de ses collègues en cas d'absence.
Observateurs et membres de l'opposition s'inquiètent de ces changements qui pourraient permettre à Nétanyahou de manœuvrer pour neutraliser l'opposition d'une majorité du gouvernement à une opération contre l'Iran, équivalent à une déclaration de guerre. Interrogé sur ce point, Shimon Pérès, le président, a affirmé très fermement qu'une décision d'attaquer l'Iran «doit être prise de façon légale par le gouvernement ou le cabinet de sécurité».
Cette montée de tension se fait sentir dans les centres de distribution de masques à gaz, qui connaissent un afflux sans précédent depuis des années. Les appels téléphoniques aux centres de renseignements des municipalités pour localiser les abris publics se multiplient. Sur ce front, la mairie de Tel-Aviv, une cible privilégiée avec le quartier général de l'armée et le siège du ministère de la Défense, a annoncé que 60 parkings sous-terrains allaient être aménagés pour accueillir des centaines de milliers de personnes en cas de besoin.
À ce dispositif s'ajoute un réseau de 220 abris publics spécialement conçus pour résister à des missiles. Ils font actuellement l'objet de contrôles renforcés pour vérifier que l'isolation, les systèmes d'aération et de distribution d'eau fonctionneront le moment venu. Signe de l'inquiétude ambiante: la 10, une chaîne de télévision privée, a interviewé des enfants pour savoir s'ils redoutaient une guerre.
À titre de précaution, l'arrière a également été mobilisé par l'armée, qui a testé pour la première fois cette semaine une procédure d'alerte aux missiles par l'envoi de SMS sur les téléphones portables. Cette opération a été menée région par région, afin que seuls les habitants des secteurs visés par une attaque se précipitent dans les abris, ce qui est censé éviter une paralysie de l'ensemble du pays.
Selon Matan Vilnaï, le ministre (sortant) de la Défense civile, chargé des mesures de protection des civils, un conflit «pourrait durer 30 jours sur plusieurs fronts simultanés». Autrement dit, les contre-attaques pourraient provenir non seulement de l'Iran, mais aussi du Hezbollah libanais, voire de la Syrie de Bachar el-Assad sur la frontière nord et des islamistes palestiniens du Hamas, qui contrôlent la bande de Gaza au sud. Selon cet ancien général, les tirs des missiles pourraient «faire quelque 500 morts, peut-être moins ou davantage», un bilan humain qu'il juge «raisonnable». «Il n'y a aucune raison d'être hystérique. Jamais auparavant le front intérieur n'a été aussi bien préparé», a ajouté Matan Vilnaï. Il a toutefois préféré quitter son poste particulièrement exposé pour devenir ambassadeur en Chine…
Nouveaux pouvoirs pour Nétanyahou
Pour lui succéder, Benyamin Nétanyahou a choisi un partisan de la manière forte avec l'Iran en la personne d'Avi Dichter, ancien patron du Shin Beth (le service de sécurité intérieure) et député de l'opposition centriste rallié à la majorité. Selon les commentateurs, le premier ministre a ainsi renforcé le camp, encore minoritaire, des partisans d'une attaque imminente contre l'Iran sans accord préalable des États-Unis.Pour compléter le tableau, Nétanyahou s'est accordé en tant que premier ministre de nouvelles prérogatives, une décision inédite depuis la création de l'État d'Israël en 1948. Officiellement, la réforme vise uniquement à «rendre le travail du gouvernement plus efficace». Une des dispositions prévoit notamment qu'un ministre absent d'une réunion du cabinet ne pourra plus voter par téléphone ou donner une procuration à l'un de ses collègues en cas d'absence.
Observateurs et membres de l'opposition s'inquiètent de ces changements qui pourraient permettre à Nétanyahou de manœuvrer pour neutraliser l'opposition d'une majorité du gouvernement à une opération contre l'Iran, équivalent à une déclaration de guerre. Interrogé sur ce point, Shimon Pérès, le président, a affirmé très fermement qu'une décision d'attaquer l'Iran «doit être prise de façon légale par le gouvernement ou le cabinet de sécurité».
La Réunion :Le collectif "Sauvons nos entreprises" menace de faire des actions coup de poing
Plus d’un mois
après leur dernière manifestation devant la sécurité sociale, les
membres du collectif "Sauvons nos entreprises", ont une nouvelle fois
demandé la mise en pratique du protocole d’accord signé le mois dernier.
Le texte, relatif au gel des dettes
sociales et fiscales des entreprises a été validé par l’ensemble des
organismes sociaux puis soumis à l’État qui devait rendre son diagnostic
aujourd’hui.
"L’État s’était engagé à nous donner une réponse aujourd’hui. Et nous n’avons toujours rien", a regretté Jean-Bernard Caroupaye, président de la FNTR,Le collectif attend que le chef de l’État mette en place des “mesures concrètes, adaptées et réactives" pour aider les petites et moyennes entreprises (PME) réunionnaises à sortir de la crise économique. Il a par ailleurs, exigé “l’arrêt de toutes les poursuites judiciaires en cours lancées par les organismes sociaux ou les impôts".
Rejoins par d’autres syndicats de transporteurs, du BTP et de l’artisanat, le collectif "Sauvons nos entreprises" menace de faire des actions coup de poing dans les jours à venir s’il n’obtenait pas gain de cause.
Thursday, August 30, 2012
ONG Grain de vie: Constat sévère et action de reforestation dans la région SAVA
vendredi 31 août 2012
« Alors que tous les experts climatiques s’accordent pour dire que Madagascar est en première ligne pour affronter les conséquences du réchauffement climatique, la Grande île a déjà perdu 85% de sa forêt et souffre déjà de sécheresse dans toutes ses régions ». Ces propos sont de Frédéric Debouche, Président de l’ONG Grain de vie lors de la conférence de presse organisée ce 30 aout 2012. Selon ses dires, la Constitution de Madagascar proclame solennellement dans son préambule que « conscient de l’importance exceptionnelle des richesses de la faune, de la flore et des ressources minières à forte spécificité dont la nature a doté Madagascar et qu’il importe de préserver pour les générations futures, tout individu doit s’efforcer de protéger, sauvegarder, améliorer ou exploiter au mieux de l’intérêt général, le sol, le sous soul, les forêts et les ressources naturelles de Madagascar ». Il est stipulé aussi dans l’ordonnance 60-127 et dans le Code des 305 articles que les défrichements et feux de végétations sont interdits à l’intérieur du domaine forestier national. « Malgré cela, l’on continue à tolérer sans réaction les feux de brousse dans l’ensemble du territoire malgache » déclare Frédéric Debouche.
« Les études effectuées démontrent que chaque fois qu’on la brûle, la terre s’appauvrit de façon irréversible jusqu’à devenir stérile, et que la désertification et la raréfaction des pluies sont directement liées à la déforestation. Des techniques simples permettent de multiplier par 5 la production du riz dans les rizières, rendant inutile le besoin de brûler les collines pour récolter un maigre sac de riz ou de maïs supplémentaire », explique le président de l’association Grain de vie.
« Le système de surveillance satellitaire financé par les États-Unis prouve que la Grande île connaît en ce moment même les plus importants brûlis de forêt depuis 10 ans. Même la capitale se couvre de la fumée des feux de brousse pourtant éloignés de plusieurs centaines dE kilomètres. Il suffit de survoler Madagascar pour se rendre compte de l’étendue du désastre » déplore Frédéric Debouche. La pression faite sur les dernières forêts malgaches par les incendiaires est telle qu’aujourd’hui la survie de ce qu’il reste de forêt primaire est menacée. « Le manque d’intervention des autorités malgaches, à tous les niveaux, les rend complices de la situation actuelle et donc responsables vis-à-vis des générations présentes et futures. C’est un problème critique qui doit concerner chaque malgache car l’enjeu est simple. Il s’agit de la survie même de tout un peuple. Comment nourrirez-vous vos enfants et descendants lorsque vos richesses se seront envolées en fumée, et que la sécheresse qui sévit déjà dans le Sud et commence déjà à sévir à Tana, aura gagné tout le territoire ? Comment arriverez-vous à convaincre les touristes de venir encore visiter votre pays si votre territoire dans son entièreté ressemble à la désolation qui envoute votre capitale ? Comment parviendrez-vous à attirer l’aide internationale, essentielle au développement du pays et de plus en plus liée à la protection de l’environnement, si vous restez incapable de protéger le peu des forêts qu’il vous reste ? Il est urgent de prendre des mesures radicales pour sauver ce qui peut encore l’être » déclare Frédéric Debouche.
L’ONG propose dont à ce que le pouvoir en place démontre son autorité en mettant en œuvre tous les moyens possibles pour faire appliquer la loi et faire interdire les feux de brousse. La sensibilisation des communautés rurales à la protection de l’environnement figure aussi parmi les solutions proposées. Outre cela, Grain de vie propose à ce que Madagascar revoit son programme de gestion domaniale, en expropriant les terrains privés inutilisés et en les mettant à disposition de la population.
Grain de vie mène des programmes de reforestation à Madagascar depuis 2009. Près d’un million d’arbre sont déjà plantés. L’année prochaine, l’ONG compte faire un reboisement sur 1000 ha de terrain.
« Alors que tous les experts climatiques s’accordent pour dire que Madagascar est en première ligne pour affronter les conséquences du réchauffement climatique, la Grande île a déjà perdu 85% de sa forêt et souffre déjà de sécheresse dans toutes ses régions ». Ces propos sont de Frédéric Debouche, Président de l’ONG Grain de vie lors de la conférence de presse organisée ce 30 aout 2012. Selon ses dires, la Constitution de Madagascar proclame solennellement dans son préambule que « conscient de l’importance exceptionnelle des richesses de la faune, de la flore et des ressources minières à forte spécificité dont la nature a doté Madagascar et qu’il importe de préserver pour les générations futures, tout individu doit s’efforcer de protéger, sauvegarder, améliorer ou exploiter au mieux de l’intérêt général, le sol, le sous soul, les forêts et les ressources naturelles de Madagascar ». Il est stipulé aussi dans l’ordonnance 60-127 et dans le Code des 305 articles que les défrichements et feux de végétations sont interdits à l’intérieur du domaine forestier national. « Malgré cela, l’on continue à tolérer sans réaction les feux de brousse dans l’ensemble du territoire malgache » déclare Frédéric Debouche.
« Les études effectuées démontrent que chaque fois qu’on la brûle, la terre s’appauvrit de façon irréversible jusqu’à devenir stérile, et que la désertification et la raréfaction des pluies sont directement liées à la déforestation. Des techniques simples permettent de multiplier par 5 la production du riz dans les rizières, rendant inutile le besoin de brûler les collines pour récolter un maigre sac de riz ou de maïs supplémentaire », explique le président de l’association Grain de vie.
« Le système de surveillance satellitaire financé par les États-Unis prouve que la Grande île connaît en ce moment même les plus importants brûlis de forêt depuis 10 ans. Même la capitale se couvre de la fumée des feux de brousse pourtant éloignés de plusieurs centaines dE kilomètres. Il suffit de survoler Madagascar pour se rendre compte de l’étendue du désastre » déplore Frédéric Debouche. La pression faite sur les dernières forêts malgaches par les incendiaires est telle qu’aujourd’hui la survie de ce qu’il reste de forêt primaire est menacée. « Le manque d’intervention des autorités malgaches, à tous les niveaux, les rend complices de la situation actuelle et donc responsables vis-à-vis des générations présentes et futures. C’est un problème critique qui doit concerner chaque malgache car l’enjeu est simple. Il s’agit de la survie même de tout un peuple. Comment nourrirez-vous vos enfants et descendants lorsque vos richesses se seront envolées en fumée, et que la sécheresse qui sévit déjà dans le Sud et commence déjà à sévir à Tana, aura gagné tout le territoire ? Comment arriverez-vous à convaincre les touristes de venir encore visiter votre pays si votre territoire dans son entièreté ressemble à la désolation qui envoute votre capitale ? Comment parviendrez-vous à attirer l’aide internationale, essentielle au développement du pays et de plus en plus liée à la protection de l’environnement, si vous restez incapable de protéger le peu des forêts qu’il vous reste ? Il est urgent de prendre des mesures radicales pour sauver ce qui peut encore l’être » déclare Frédéric Debouche.
L’ONG propose dont à ce que le pouvoir en place démontre son autorité en mettant en œuvre tous les moyens possibles pour faire appliquer la loi et faire interdire les feux de brousse. La sensibilisation des communautés rurales à la protection de l’environnement figure aussi parmi les solutions proposées. Outre cela, Grain de vie propose à ce que Madagascar revoit son programme de gestion domaniale, en expropriant les terrains privés inutilisés et en les mettant à disposition de la population.
Grain de vie mène des programmes de reforestation à Madagascar depuis 2009. Près d’un million d’arbre sont déjà plantés. L’année prochaine, l’ONG compte faire un reboisement sur 1000 ha de terrain.
Col Charles à La Réunion : Sa prise en charge bloquée par la HAT
Jeudi 30 aout 2012
D’après les informations, l’ancien Commandant de la FIS subira prochainement une autre intervention chirurgicale.
D’après les informations qui nous sont
parvenues, le Lieutenant-colonel Charles Andrianasoavina subira une
autre intervention chirurgicale dans un hôpital à La Réunion dans les
jours qui viennent. Il s’agit donc là d’une quatrième opération
chirurgicale que l’ancien Commandant de la Force d’Intervention Spéciale
ait subi depuis son départ de Tsiafahy en décembre 2011. De sources
bien informées, « son état de santé est devenu instable depuis son
hospitalisation. C’est la raison pour laquelle une énième intervention
chirurgicale est nécessaire ». Un haut responsable au sein de la
Maison de force de Tsiafahy a confirmé cette information en expliquant
que le Lieutenant-colonel Charles suit toujours un traitement médical à
La Réunion.
Silence radio. La question est de
savoir qui va financer cette nouvelle intervention chirurgicale. En
effet, d’après les informations émanant de ses proches qui
l’accompagnent à La Réunion, la HAT aurait déjà bloqué la prise en
charge de l’hospitalisation de cet ancien homme fort du CAPSAT. Par
ailleurs, à croire notre source, « c’est Ambohitsorohitra qui a pris cette initiative ».
Le Lieutenant-colonel Charles Andrianasoavina serait en effet en
difficulté en ce moment pour supporter le financement de son séjour à La
Réunion. Ceci explique peut-être le silence radio actuel de toutes les
autorités concernées par cette affaire, à savoir le Ministère de la
Justice, le Ministère des Forces armées et l’Etat-major général de
l’Armée qui n’ont publié aucune information officielle concernant l’état
de santé du Colonel Charles depuis quelques temps.
Accusation. Par contre, du côté
de l’Administration pénitentiaire, l’on a appris que le Directeur de la
maison de force de Tsiafahy reçoit depuis un certains temps des menaces
et des intimidations à propos de cette affaire. Faut-il rappeler que
depuis son hospitalisation à l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona à
Ampefiloha le 14 décembre 2011, les proches de l’ancien Commandant de
la Force d’Intervention Spéciale ont clamé haut et fort que le
Lieutenant-colonel Charles Andrianasoavina a été victime, soit d’une
torture grave, soit d’un emprisonnement. D’après leurs explications, « ce sont ces faits qui ont accéléré son affaiblissement ». Pourtant, l’Administration pénitentiaire dément cette accusation. « C’est une accusation infondée », soutient un haut responsable auprès de la Maison de force de Tsiafahy. Et lui d’expliquer au passage que « notre tâche quotidienne c’est de gérer au mieux les détenus ».
Il convient de noter que la Justice malgache a déjà condamné le Col
Charles aux travaux forcés à perpétuité pour son implication dans
l’affaire BANI. D’après un haut responsable au sein du ministère des
Forces armées, il retournera à Tsiafahy à son arrivée à Tana. Histoire à
suivre.
Davis R
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Wednesday, August 29, 2012
Dans un livre, un Navy Seal contredit la version officielle de la mort de Ben Laden
Un membre des Navy Seals qui a participé au raid contre Oussama Ben Laden en 2011 livre dans un ouvrage à paraître un récit de l'opération contredisant certains détails révélés par les autorités américaines au lendemain de l'opération phare de la présidence de Barack Obama.
Dans No Easy Day, dont la sortie a été avancée du 11 au 4 septembre, sous le pseudonyme de Mark Bowen (sa véritable identité a été révélée par la chaîne Fox News), il raconte dans le détail l'opération, selon des extraits publiés mercredi par le Huffington Post et par l'agence AP. Le chef d'Al-Qaida a été tué dans sa résidence d'Abbottabad au Pakistan le 1er mai 2011. L'administration Obama a laissé filtrer de nombreux détails sur le raid selon lesquels il avait tenté de résister et avait été abattu dans sa chambre. Elle avait ensuite reconnu qu'il était désarmé.Owen livre un compte-rendu quelque peu différent : Ben Laden n'a pas été abattu dans sa chambre. Il raconte avoir monté les escaliers de la maison vers la chambre de Ben Laden à la suite d'un autre Seal quand, "à moins de cinq marches du palier", il a "entendu des coups de feu tirés avec un silencieux. Pop, pop". C'était son collègue, qui avait ouvert le feu. "Je ne pouvais pas dire, d'où je me trouvais, si les tirs avaient touché leur cible ou pas." L'homme qui avait passé sa tête dans l'encadrement de la porte "a disparu dans la chambre sombre", poursuit-il.
"BEN LADEN ÉTAIT DÉSARMÉ"
Mark Owen écrit avoir vu, une fois entré dans la chambre, "du sang et de la matière cérébrale s'épancher sur le côté de son crâne". Le corps de Ben Laden tressautait encore. Owen et un autre Seal ont alors "pointé leur visée laser sur sa poitrine et tiré plusieurs coups" jusqu'à ce que le corps de bouge plus. Interrogés par l'AFP, des responsables américains ont refusé de revenir sur les détails de l'opération. "Ben Laden était désarmé, c'est vrai. Mais l'équipe sortait juste d'un échange de tirs [...]. Ensuite, il y a cette personne [Ben Laden] qui passe sa tête en travers de la porte", a toutefois reconnu un responsable de la défense. Ben Laden était bien désarmé mais il ne s'agissait en aucun cas d'une exécution selon lui. Un fusil d'assaut Kalachnikov et un pistolet russe non chargés ont été retrouvés dans la chambre.
Elément qui pourrait s'avérer embarrassant pour les Etats-Unis – qui assurent avoir traité la dépouille d'Oussama Ben Laden avec respect –, Mark Owen raconte qu'un membre du commando était assis sur la poitrine du chef d'Al-Qaida étendu sur le plancher de l'hélicoptère lors du vol de retour. L'un des deux Blackhwaks modifiés ayant été accidenté lors de l'opération, les soldats ont dû se tasser dans l'appareil restant et il n'était pas question d'abandonner le corps de l'ennemi numéro un des Etats-Unis, qu'il fallait encore formellement identifier.
Sans confirmer la réalité de cet épisode, un ancien membre de ces troupes d'élite a expliqué à l'AFP qu'il arrivait à des membres des forces spéciales de s'asseoir sur le corps de leurs collègues tués en raison du manque d'espace. Pour lui, il ne s'agit en aucun cas d'atteindre à la dignité de la dépouille mais de contraintes logistiques.
Contrairement à ce que prévoit la règle militaire, l'ouvrage n'a pas été soumis au Pentagone ni à la CIA avant publication pour s'assurer qu'il ne révélait pas d'éléments classifiés. La maison d'édition Dutton, qui espère déjà un best-seller avec une première impression de 300 000 exemplaires, a souligné que le livre avait été revu "par un ancien avocat des forces spéciales" pour s'en assurer. Le Pentagone et la CIA ont depuis obtenu copie du manuscrit et le passaient toujours en revue mercredi, selon le lieutenant-colonel Stephen Warren, un porte-parole du Pentagone.
Présidentielle contestée, vengeance à redouter… Y a-t-il une place pour les vrais intérêts du petit peuple ?
Deux
constantes sont hors de tout doute. D’une part, il est clair que
l’armée tient un rôle charnière dans la crise actuelle. Présente à la
fois parmi les principales sources, l’intervention du CAPSAT dans le
dénouement du mouvement de la place du 13 mai n’étant plus à présenter à
personne, l’armée ne peut nier non plus sa contribution dans le
pourrissement actuel de la situation à travers le choix clairement
affiché de faire front contre le retour de l’Ex-. Un tel geste ne peut
être interprété par les sympathisants de ce dernier que comme une
inféodation de l’armée à l’autre camp auquel profiterait selon eux
l’éloignement de leur leader de la présidentielle. La prise de position
de l’armée contribue au maintien d’un artificiel rapport de force en
faveur du camp du Futur Ex- à défaut d’élection considérée par tous
comme l’unique baromètre fiable pour l’appréciation véridique d’un tel
rapport. D’autre part, personne ne peut contester que les outils
juridiques et institutionnels adoptés et institués en vue de
l’organisation des prochaines échéances électorales font pour l’instant
l’objet de réserves si ce ne sont des réticences de toute part.
Ces deux situations auront leurs influences sur les élections à venir mais le présent éditorial se limitera à la présidentielle laquelle sera appréciée à la lumière de la proposition dite du « ni…ni… ».
Première hypothèse, le Futur Ex- gagne. C’est le schéma le plus probable car depuis l’indépendance, à part Ratsirahonana en 1997, celui qui était au pouvoir et qui organisait alors les scrutins, le candidat d’État en quelque sorte, était toujours élu. Plus besoin de faire un dessin pour que tout le monde comprenne pourquoi ? (législations sur mesure, fraudes en tout genre, utilisation de biens divers de l’État, instrumentalisation de la HCC etc.). Le cas Ratsirahonana constitue la parfaite exception qui confirme la règle. Le camp de l’Ex- ne ratera pas l’occasion de soulever l’unilatéralisme entourant l’adoption de la Constitution, des lois électorales, du processus de nomination des membres de la CENIT etc.
Deuxième hypothèse, l’Ex- gagne. La vengeance planera dans l’air. Sauf que le camp du Futur Ex- trouvera les motifs même les plus farfelus pour contester les scrutins, du genre il ne faut pas confisquer ou laisser échouer le mouvement « populaire » de 2009 etc. Le Futur Ex- n’a-t-il pas d’ailleurs annoncé la couleur plusieurs fois déjà qu’il ne participera pas sauf certitude absolue de gagner ? Lors de sa conférence de presse de l’après Maputo, n’avait-il pas insisté en outre sur le fait qu’il ne faut pas laisser l’Ex- revenir au pouvoir ? Une telle détermination laisse-t-elle planer le moindre doute sur une contestation en cas de défaite ? Par ailleurs, personne ne peut prédire ce que l’armée, fidèle jusqu’à maintenant au pouvoir et se démarquant par sa réticence au retour aux affaires de l’Ex-, serait capable de faire.
Troisième hypothèse, un troisième larron triomphe. Une simple hypothèse d’école mais nécessaire quand même pour la compréhension de l’ensemble. Le schéma est surréaliste car personne ne se démarque pour l’instant. En plus des remarques avancées précédemment lorsqu’on évoquait la première hypothèse sur la grande chance de tout candidat au pouvoir, l’histoire électorale malgache démontre en outre que les Malgaches ont tendance à voter en faveur d’une figure familière du sommet de l’État, c’est-à-dire, celui qui est au pouvoir au moment des scrutins (Tsiranana, 1965,72 - Ratsiraka 1975, 89 - Zafy alors Président de la HAE en 1993) ou un Ex- chef d’État (Ratsiraka 1997). Ravalomanana de 2002 reste aussi l’exception qui confirme cette règle. Attendons-nous à de dangereux sursauts d’orgueil de l’aile dure de chacun des deux camps si jamais ce serait le cas. Les deux ont tellement de comptes à régler, d’intérêts (occultes ?) à sauvegarder et d’affaires sales à couvrir qu’ils ne se laisseront pas faire. L’arrivée d’une tierce personne au pouvoir risquerait de tout mettre en l’air ou du moins tout mettre à jour.
Bref, le dénominateur commun des 3 hypothèses serait leur issue chaotique. En amont, l’image serait idyllique pour la démocratie en ce sens que personne n’aurait été banni de la consultation populaire. Elle le serait moins en aval. Dans les trois cas en effet, une crise post-électorale serait inévitable. Les Malgaches méritent-ils d’être les otages perpétuels de deux égos ?
Dans ce schéma, il y aurait moins de risque que l’Ex- et le Futur Ex- perturbent l’après élection, pour la simple raison que la pilule serait plus facile à avaler et surtout à digérer par chacun des deux camps vu que l’ennemi juré lui aussi devrait avaler et digérer la même. D’autre part, on peut supposer que d’âpres négociations sur les intérêts de chacun seraient menée en amont de ce deal, lequel en toute logique ne serait même pas signé sans un minimum de satisfaction des deux parties. Il n’y a aucune assurance tout risque néanmoins, car les deux camps ont déjà montré plusieurs fois leur incapacité à tenir parole dans le passé.
Pour finir, reconnaissons que c’est déjà une chance que le Futur Ex- ait montré sa disponibilité pour ce schéma. Gardons espoir que l’autre camp en fasse autant. N’oublions pas que tout serait vain si celui qui est au pouvoir et qui dispose encore du soutien de l’armée n’accepte pas un quelconque schéma, peu importe comment il y est parvenu, quoi qu’on dise, quoi qu’on pense juste, quoi qu’on pense démocratique etc. Le constat est valable pour tout pays. Reconnaitre cette réalité n’est nullement un fanatisme pour ou contre tel ou tel camp, encore moins un fatalisme mais plutôt un réalisme et un pragmatisme des plus élémentaires.
Oui, tout cela est possible si les deux protagonistes sont réellement habités par un vrai patriotisme, celui qui pousse les vrais hommes d’État à penser aux vrais intérêts supérieurs de la nation et non à leurs intérêts personnels et égos. L’histoire et les générations futures jugeront !
Ces deux situations auront leurs influences sur les élections à venir mais le présent éditorial se limitera à la présidentielle laquelle sera appréciée à la lumière de la proposition dite du « ni…ni… ».
Trois cas possibles pour un résultat identique : le chaos !
Trois issues sont envisageables dans l’éventualité de la participation de l’Ex- et du Futur Ex- à la prochaine présidentielle.Première hypothèse, le Futur Ex- gagne. C’est le schéma le plus probable car depuis l’indépendance, à part Ratsirahonana en 1997, celui qui était au pouvoir et qui organisait alors les scrutins, le candidat d’État en quelque sorte, était toujours élu. Plus besoin de faire un dessin pour que tout le monde comprenne pourquoi ? (législations sur mesure, fraudes en tout genre, utilisation de biens divers de l’État, instrumentalisation de la HCC etc.). Le cas Ratsirahonana constitue la parfaite exception qui confirme la règle. Le camp de l’Ex- ne ratera pas l’occasion de soulever l’unilatéralisme entourant l’adoption de la Constitution, des lois électorales, du processus de nomination des membres de la CENIT etc.
Deuxième hypothèse, l’Ex- gagne. La vengeance planera dans l’air. Sauf que le camp du Futur Ex- trouvera les motifs même les plus farfelus pour contester les scrutins, du genre il ne faut pas confisquer ou laisser échouer le mouvement « populaire » de 2009 etc. Le Futur Ex- n’a-t-il pas d’ailleurs annoncé la couleur plusieurs fois déjà qu’il ne participera pas sauf certitude absolue de gagner ? Lors de sa conférence de presse de l’après Maputo, n’avait-il pas insisté en outre sur le fait qu’il ne faut pas laisser l’Ex- revenir au pouvoir ? Une telle détermination laisse-t-elle planer le moindre doute sur une contestation en cas de défaite ? Par ailleurs, personne ne peut prédire ce que l’armée, fidèle jusqu’à maintenant au pouvoir et se démarquant par sa réticence au retour aux affaires de l’Ex-, serait capable de faire.
Troisième hypothèse, un troisième larron triomphe. Une simple hypothèse d’école mais nécessaire quand même pour la compréhension de l’ensemble. Le schéma est surréaliste car personne ne se démarque pour l’instant. En plus des remarques avancées précédemment lorsqu’on évoquait la première hypothèse sur la grande chance de tout candidat au pouvoir, l’histoire électorale malgache démontre en outre que les Malgaches ont tendance à voter en faveur d’une figure familière du sommet de l’État, c’est-à-dire, celui qui est au pouvoir au moment des scrutins (Tsiranana, 1965,72 - Ratsiraka 1975, 89 - Zafy alors Président de la HAE en 1993) ou un Ex- chef d’État (Ratsiraka 1997). Ravalomanana de 2002 reste aussi l’exception qui confirme cette règle. Attendons-nous à de dangereux sursauts d’orgueil de l’aile dure de chacun des deux camps si jamais ce serait le cas. Les deux ont tellement de comptes à régler, d’intérêts (occultes ?) à sauvegarder et d’affaires sales à couvrir qu’ils ne se laisseront pas faire. L’arrivée d’une tierce personne au pouvoir risquerait de tout mettre en l’air ou du moins tout mettre à jour.
Bref, le dénominateur commun des 3 hypothèses serait leur issue chaotique. En amont, l’image serait idyllique pour la démocratie en ce sens que personne n’aurait été banni de la consultation populaire. Elle le serait moins en aval. Dans les trois cas en effet, une crise post-électorale serait inévitable. Les Malgaches méritent-ils d’être les otages perpétuels de deux égos ?
Une prémisse de solution nommée « ni…ni… ».
Le non participation de l’Ex- et du Futur Ex- à la prochaine présidentielle ne résoudrait pas l’intégralité des problèmes économiques, écologiques, sociaux, humains, culturels etc. actuels de la Grande île mais une partie non négligeable serait au moins aplanie. Le principal blocage étant levé, la recherche de solution pour le reste ne serait que facilitée. C’est l’unique combinaison dans laquelle le peuple pourrait être le vrai gagnant de la prochaine présidentielle. À moins que les électeurs ne décident de confier une nouvelle fois leur dévolu à l’un des vieux Ex- (Zafy, Ratsiraka).Dans ce schéma, il y aurait moins de risque que l’Ex- et le Futur Ex- perturbent l’après élection, pour la simple raison que la pilule serait plus facile à avaler et surtout à digérer par chacun des deux camps vu que l’ennemi juré lui aussi devrait avaler et digérer la même. D’autre part, on peut supposer que d’âpres négociations sur les intérêts de chacun seraient menée en amont de ce deal, lequel en toute logique ne serait même pas signé sans un minimum de satisfaction des deux parties. Il n’y a aucune assurance tout risque néanmoins, car les deux camps ont déjà montré plusieurs fois leur incapacité à tenir parole dans le passé.
Rêve permis pour une Convention du 31 octobre (1991) bis
Le « ni...ni... » n’est qu’une étape. Le blocage ainsi levé ouvrirait la possibilité d’envisager une saine négociation pour une transition véritablement consensuelle et inclusive pour parvenir à une adéquate et opportune refondation de la République. À partir de là, il serait permis de rêver à un schéma à la « Convention du 31 octobre » dans lequel le plein pouvoir sera confié au PM (Beriziky ?) et les deux protagonistes se verront attribués des postes de présidences honorofiques. Tous les éditoriaux laissés ici par votre humble serviteur depuis le début de la crise sur certains détails techniques à améliorer (Constitution, lois électorales, législations sur les partis politiques, statut de l’opposition, loi sur la communication, lutte contre la corruption etc.) redeviendront d’actualité.Pour finir, reconnaissons que c’est déjà une chance que le Futur Ex- ait montré sa disponibilité pour ce schéma. Gardons espoir que l’autre camp en fasse autant. N’oublions pas que tout serait vain si celui qui est au pouvoir et qui dispose encore du soutien de l’armée n’accepte pas un quelconque schéma, peu importe comment il y est parvenu, quoi qu’on dise, quoi qu’on pense juste, quoi qu’on pense démocratique etc. Le constat est valable pour tout pays. Reconnaitre cette réalité n’est nullement un fanatisme pour ou contre tel ou tel camp, encore moins un fatalisme mais plutôt un réalisme et un pragmatisme des plus élémentaires.
Oui, tout cela est possible si les deux protagonistes sont réellement habités par un vrai patriotisme, celui qui pousse les vrais hommes d’État à penser aux vrais intérêts supérieurs de la nation et non à leurs intérêts personnels et égos. L’histoire et les générations futures jugeront !
Etats-Unis : Une tentative de coup d’Etat déjouée (médias)
Quatre militaires américains sont accusés de tentative de coup d’Etat et d’assassinat du président Barack Obama, rapporte dans la nuit de mardi à mercredi le quotidien Detroit Free Press.
Poussés par une profonde aversion envers le dirigeant américain, les quatre conjurés ont créé une organisation clandestine, "Forever Enduring Always Ready (FEAR)". Ils se sont procuré des explosifs et des armes pour un montant de 87.000 dollars et envisageaient de s’emparer d’une série de sites stratégiques du pays et d’assassiner le président Obama, indique le parquet.
Conduits par le soldat Isaac Aguigui, les membres du FEAR ont assassiné un de leurs complices et sa compagne, de peur que ces derniers ne dévoilent leurs projets aux autorités. Les quatre malfaiteurs ont été arrêtés.
Ce bébé est déjà un pro du ping-pong
Jamie, 18 mois et déjà un pro du ping-pong.
Il n'a que quelques mois et possède déjà un sacré coup droit. Lui, c'est Jamie, bout de chou de 18 mois s'initiant à la pratique du tennis de table en compagnie de son père.
Bien calé sur la partie gauche de la table, Jamie renvoie les balles avec une belle dextérité. Après un petit passage à vide en milieu d'entraînement, certainement dû à un léger manque de concentration, Jamie repart de plus belle et assène plusieurs coups droits décisifs.
Il n'a que quelques mois et possède déjà un sacré coup droit. Lui, c'est Jamie, bout de chou de 18 mois s'initiant à la pratique du tennis de table en compagnie de son père.
Bien calé sur la partie gauche de la table, Jamie renvoie les balles avec une belle dextérité. Après un petit passage à vide en milieu d'entraînement, certainement dû à un léger manque de concentration, Jamie repart de plus belle et assène plusieurs coups droits décisifs.
Fanondranana ‘Dinozoro’ an-tsokosoko ?
Malagasy 4 sy Amerikana 4 efa natao fanadihadiana (Giazan’ny BAP etsy Anosy ireo taolambe 5,3 taonina)
Efa
lasa tamin’ny 2010 ny vatam-pe sy ny rambon’ilay dinozoro; fa ny
vatabeny io tratra saika halefa io. Mandeha ny resaka fa efa 3 izao ny
dinozorontsika nisy nanondrana Tsy mijanona amin’ny
resaka “bois de rose” sy taolam-paty intsony izao ny fanondranana
an-tsokosoko any ivelany fa tafiditra hatramin’ny fanondranana ny
taolana dinôzoro ihany koa hoe. Tany Behamotsy, fokontany Ambohipoly,
faritr’i Menabe, no voalaza fa nahatrarana azy io ny 19 aogositra teo
ary nentina tamin’ny kamiao fa toa hoe ndeha haondrana any Etazonia,
araka ny fanadihadiana nataon’ny Brigady miady amin’ny piraty(BAT). Ny
zandary nanao fisavana tany an-toerana no nampandre azy ireo; raha
nahita ireo entana nampiahiahy azy. Tonga tany an-toerana ny
tomponandraikitra naka azy ireo ka omaly no tonga teto an-drenivohitra
ny vataben’ilay dinozoro (tyrannosaure sauropode), izay milanja 5,300
taonina. Giazan’ny Brigady miady amin’ny piraty etsy Anosy amin’izao
fotoana ireo taolana dinozoro ireo. Nambaran’ny tomponandraikitra fa efa
manomboka ny fanadihadiana mikasika azy io, ka olona 8 (teratany
malagasy efatra sy amerikana efatra) izao no efa nofotorana. Isan’izany
ny filohan’ny departemantan’ny Paleontolojia, ao amin’ny fakoloten’ny
siansa, eny amin’ny Oniversiten’Antananarivo. Nambaran’ity farany fa
manana taratasy ara-dalàna izy ireo, ary nokasaina hoentina aty
an-drenivohitra ireo taolana ireo.
Manana taratasy
Taratasy
maro no nitondrana io biby goavambe niaina tany amin’ny 150 ka
hatramin’ny 200 tapitrisa taona tany ho any io. Ao anatin’izany ny
fifanaraham-piaraha-miasa nanomboka tamin’ny 1993 teo amin’ny Oniversite
Stony Brook, any Denver Amerika ankilany; ary etsy andaniny ny
Oniversiten’Antananarivo, departemanta Paleontolojia sy ny ministeran’ny
Mine, ary fikambanana tsy miankina iray. Voalazan’ny tomponandraikitra
ao amin’ny Brigady fa araka ny lalàna eto amintsika dia “fakàna
ampahany” sy “santionany” ihany no azo atao sy aondrana any ivelany
amin’ny alalan’ny fifanarahan’ny Oniversite toy izao fa tsy vatabeny toa
izao. Ny fossile na biby efa nivadika ho vato toa izao dia isan’ny
“vakoka”sy harem-pirenena, ka ny ministeran’ny kolontsaina no
miandraikitra azy. Nambaran’i Kly Rabemananjara, filohan’ny departemanta
ao amin’ny Brigady miady amin’ny piraty, araka izany, fa fampiharana
ny didim-pitondrana laharana 82-029 sy ny didy fampiharana 83-116
tamin’ny 31 mars1983 ary ny “code minier 89-191” no nahatonga azy ireo
nandray andraikitra tamin’ity endrika fanondranana an-tsokosoko ny
harem-pirenena ity.
MADAGASCAR: Du sexe pour survivre
Photo: Guy Oliver/IRIN
L’aggravation de la pauvreté a incité davantage de femmes malgaches à se tourner vers l’industrie du sexe
- Dans la ville portuaire de Toamasina, à Madagascar, environ un résident sur sept travaille dans l’industrie du sexe.
Entre 1993 et 2012, soit en l’espace de moins de 20 ans, le nombre de travailleurs du sexe enregistrés dans la ville – qui compte environ 200 000 habitants – est passé de 17 000 à 29 000. L’augmentation s’explique par l’aggravation de la pauvreté ainsi que par la proximité de la ville avec la nouvelle mine de nickel d’Ambatovy.
La construction de la mine et les récentes améliorations apportées au port ont entraîné un afflux de milliers de travailleurs étrangers. Les investissements, d’une valeur de plusieurs milliards de dollars, ont également donné lieu à une augmentation du coût de la vie et à l’effondrement des activités commerciales traditionnelles comme la collecte et la vente de clous de girofle et de café, incitant de plus en plus de jeunes femmes à se tourner vers l’industrie du sexe.
« Les filles viennent de la campagne pour travailler comme bonnes. Puis, lorsqu’elles ont un problème avec leur employeur, d’autres filles originaires de la même région les initient à la prostitution », a dit à IRIN Germaine Razafindravao, présidente de FIVEMITO (‘Fikambanaina Vehivavy Miavotena Toamasina’ ou Women’s Future), l’association des travailleurs du sexe locale.
L’augmentation du nombre de travailleurs du sexe à Toamasina s’inscrit dans une tendance nationale qu’on attribue à l’augmentation de la pauvreté observée depuis le début de la crise politique déclenchée en 2009 par l’éviction du président Marc Ravalomanana, qui avait été élu à deux reprises, par Andry Rajoelina, qui bénéficiait du soutien de l’armée. Selon les chiffres du gouvernement, plus des trois quarts de la population malgache vivent maintenant avec moins d’un dollar par jour, contre 68 pour cent avant la crise.
Un moyen de survivre
« La prostitution est devenue un phénomène normal à Madagascar |…]. Le sexe est désormais un produit, un moyen de survivre », a dit Ratsarazaka Solomandresy, qui est responsable des programmes jeunesse du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) à Madagascar.
La prostitution est légale à Madagascar, et, même si le taux de prévalence du VIH/SIDA est faible par rapport à d’autres pays du sud de l’Afrique – selon l’ONUSIDA, environ 0,2 pour cent des personnes âgées de 15 à 49 ans vivent avec le virus –, l’incidence des infections transmissibles sexuellement (ITS) comme la syphilis est bien au-delà des normes régionales. Selon les chiffres du gouvernement, 4 pour cent des femmes enceintes et 12 pour cent des travailleuses du sexe sont infectées par la syphilis.
Jusqu’à il y a six ans, la ville d’Antsohihy, la capitale de la région de Sofia, dans le nord, était isolée du reste du pays, mais, en 2006, la remise en état d’une route menant à la capitale, Antananarivo, a rouvert la région au commerce et à l’industrie du sexe.
On ignore le nombre de travailleurs du sexe qui exercent à Antsohihy, mais « on voit presque tous les jours de nouveaux visages aux arrêts d’autobus », a dit Mme Solomandresy.
Nadine, 15 ans, a abandonné l’école primaire en 2011 et quitté son village natal, Befandriana, environ 50 kilomètres plus loin, pour rejoindre sa sœur de 18 ans à Antsohihy. Les deux filles sont maintenant des travailleuses du sexe.
Nadine gagne 15 dollars par client et dit qu’elle ne retournerait pas à l’école même si on lui en offrait la possibilité. Elle pratique ce métier depuis plus d’un an et personne ne lui a encore dit qu’elle était trop jeune. « Je n’ai pas peur des policiers. Ce sont aussi mes clients », a-t-elle dit à IRIN.
Accès aux services et à la protection
Au cours des dernières années, les gouvernements communaux ont créé un système de cartes d’identité afin de fournir aux travailleurs du sexe des soins de santé spécialisés et des protections légales.
Angela, une jeune femme de 30 ans qui vit à Antsohihy, s’est tournée vers la prostitution lorsque, après son divorce, elle a dû s’occuper toute seule de ses deux enfants. Elle a dit à IRIN qu’elle avait déposé une demande pour obtenir la carte d’identité. « J’ai une amie qui a déjà la carte. Elle a intenté un procès à un de ses clients qui avait refusé de la payer et l’avait frappée au visage. Elle a fini par toucher plus d’argent que ce qu’ils avaient convenu au départ. »
Les cartes sont seulement distribuées aux travailleurs du sexe de plus de 18 ans qui en font la demande. Si le système semble offrir une certaine protection aux prostituées d’Antsohihy, il s’est révélé inefficace à Toamasina. En effet, les organisations de défense des droits des travailleurs du sexe affirment que les policiers harcèlent les prostituées qui n’ont pas la carte. Les cartes avaient pourtant été conçues non pas comme un permis de travail, mais pour faciliter l’accès de cette population à certains avantages.
« Les policiers utilisaient le système pour abuser de leur pouvoir sur les travailleurs du sexe. S’ils trouvaient une prostituée qui n’avait pas sa carte d’identité, ils l’amenaient au commissariat et la maltraitaient. Nous avons donc remplacé les cartes officielles par des livres rouges non officiels », a dit à IRIN Mme Razafindravao, de FIVEMITO.
Les livres rouges permettent aux travailleurs du sexe d’avoir accès à une clinique judiciaire dans la ville voisine de Mahambo, qui est aussi une destination touristique. « Il arrive souvent que des hommes viennent à Toamasina et ramènent une fille à Mahambo. Une fois là-bas, ils voient une fille qu’ils préfèrent et abandonnent la première dans la rue. Elle se retrouve sans argent et sans moyen de rentrer chez elle. Nous avons donc dû créer un centre là-bas pour négocier avec les clients et venir en aide aux filles. »
L’association a également mis sur pied des groupes de discussion avec les policiers afin de dissiper les préjugés. « Nous leur disons que ces femmes exercent un métier, comme eux », a dit Mme Razafindravao.
Tout comme les cartes d’enregistrement officielles, les livres rouges sont accordés aux travailleurs du sexe de plus de 18 ans seulement. La loi interdit aux mineures de se prostituer, mais cela n’empêche pas plusieurs d’entre elles de le faire.
Selon une étude réalisée en 2007 par le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) à Toamasina et sur l’île de Nosy Be, entre 30 et 50 pour cent des travailleuses du sexe auraient moins de 18 ans.
« Les employés du projet minier voisin viennent passer le week-end à Toamasina. Ils cherchent des jeunes filles, car elles sont prêtes à tout pour obtenir un peu d’argent, a dit à IRIN Mme Razafindravao. Un hôtel fréquenté par des prostituées mineures a été fermé par les autorités en 2011.
Aucune alternative
FIVEMITO gérait auparavant un centre de formation professionnelle pour permettre aux travailleurs du sexe de quitter la rue, mais le centre a dû fermer ses portes à cause du manque de financement. « Nos cours de justice aidaient beaucoup. Les filles étudiaient et obtenaient un certificat qui leur permettait de travailler dans l’industrie du tourisme, comme serveuses ou comme réceptionnistes dans un hôtel. Et elles faisaient suffisamment d’argent avec le salaire et les pourboires qu’elles touchaient », a dit Mme Razafindravao.
L’association rend maintenant visite aux familles pour convaincre les parents d’empêcher leurs filles de se prostituer. « Je leur parle de toutes les conséquences que peuvent avoir les grossesses précoces et les ITS sur la santé de leurs enfants. Mais le problème, c’est que je n’ai pas de solution. Je peux parler, mais il n’y a aucune alternative », a-t-elle ajouté.
Pour lutter contre les ITS et éviter une augmentation de la prévalence du VIH/SIDA dans le pays, l’UNFPA distribue des préservatifs et des conseils aux travailleuses du sexe, surtout dans les quartiers plus pauvres. « Ces femmes ne font presque pas d’argent et n’ont donc pas les moyens d’acheter des préservatifs », a dit Mme Solomandresy.
À Antsohihy, l’ONG locale Vilavila fait la promotion de l’usage du préservatif dans les bars fréquentés par les travailleurs du sexe. Cette campagne a notamment permis de sensibiliser Angela à la problématique.
« L’utilisation du préservatif fait maintenant partie du processus de négociation », a-t-elle dit à IRIN. « Lorsque le client refuse d’en mettre un, j’emploie le préservatif féminin, car je ne veux pas retomber enceinte
Comment bien dormir en 10 astuces ?
Étapes de réalisation
1
Faire de l'exercice. Quand vous faites de
l'exercice pendant la journée, votre corps implore le repos la nuit.
Vous vous endormirez plus rapidement et passerez plus de temps en phase
de sommeil profond, la plus reposante de toutes.
2
Mangez plus tôt. Après le repas, votre corps
donne un coup de fouet à son métabolisme pour transformer et digérer la
nourriture. Lorsque vous mangez tard, votre corps est toujours en train
de convertir la nourriture en énergie au moment où vous allez dormir.
Avec toute cette énergie, ce n'est pas étonnant que vous ne dormiez pas
bien !
3
Horaire. Si vous allez au lit à la même heure
tous les soirs, votre corps apprendra à se préparer automatiquement au
sommeil chaque nuit à ce moment là, ayant pour résultat une meilleure
nuit de repos.
4
Prenez le soleil. Votre horloge interne se règle
avec la mélatonine qui est créé dans votre corps par lumière du soleil.
Afin de maintenir votre horloge interne bien réglée, soyez sûr de
profiter suffisamment de la lumière du soleil ou mettez une ampoule de
lumière naturelle là où vous passez la plus grande partie de votre
journée.
5
Éteignez les lumières. Dormez dans une pièce
sombre, de préférence dans le noir complet. La lumière entrant dans la
chambre peut affecter vos modèles de sommeil ou faire croire à votre
corps que le soleil se lève, ce qui entraîne la phase de réveil.
6
Pas de Télé. Si vous regardez la télé dans votre
lit, vous stimulez votre esprit au lieu de le détendre. La plupart des
émissions de télé sont conçues pour intéresser et stimuler les
téléspectateurs, pas pour les endormir.
Beaucoup d'études ont prouvé que juste le fait d'avoir une télé dans votre chambre peut perturber vos cycles de sommeil, même si elle est éteinte, car vous associez votre chambre à coucher à une activité stimulante.
Remplacez votre télé par un générateur de sons d'ambiance, de préférence avec un son blanc ou des vagues se brisant. Ceci bloquera tous les autres sons qui pourrait vous distraire et vous apaisera.
Beaucoup d'études ont prouvé que juste le fait d'avoir une télé dans votre chambre peut perturber vos cycles de sommeil, même si elle est éteinte, car vous associez votre chambre à coucher à une activité stimulante.
Remplacez votre télé par un générateur de sons d'ambiance, de préférence avec un son blanc ou des vagues se brisant. Ceci bloquera tous les autres sons qui pourrait vous distraire et vous apaisera.
7
Lisez un livre. Donner à votre esprit le temps
de se calmer peut-être utile pour obtenir une meilleure nuit de sommeil.
En lisant un livre, vous vous détacher de votre situation actuelle.
Ceci permet à votre esprit une évasion provisoire dans un autre monde,
ce qui peut vous détendre et réduire le stress.
8
Évitez les siestes. Le meilleur moyen de bien
dormir est d'être fatigué quand il est temps d'aller au lit. Si vous
faites une sieste pendant la journée, alors au moment d'aller au lit,
votre corps et votre esprit peuvent penser qu'ils n'ont pas besoin du
repos. Si vous avez vraiment besoin de faire une sieste, faites en sorte
de ne pas dépasser 20 minutes.
Les siestes également remettent à zéro votre horloge biologique et votre corps à prendre le jour pour la nuit.
Les siestes également remettent à zéro votre horloge biologique et votre corps à prendre le jour pour la nuit.
9
Journal. Noter vos pensées peut améliorer
considérablement votre sommeil. En couchant sur le papier des choses que
vous avez à l'esprit, vous vous empêcherez au moment de dormir de
revivre mentalement la journée ou de penser à toutes les choses que vous
devez faire le lendemain.
Gardez un bloc-note près de votre lit. Si vous vous réveillez et que vous rappelez de quelque chose, écrivez-la et revenez dormir, au lieu de vous inquiéter à son sujet (ou de l'oublier) jusqu'au lendemain matin.
Gardez un bloc-note près de votre lit. Si vous vous réveillez et que vous rappelez de quelque chose, écrivez-la et revenez dormir, au lieu de vous inquiéter à son sujet (ou de l'oublier) jusqu'au lendemain matin.
10
Préservez la chambre à coucher pour le sommeil.
Si vous travaillez ou regardez la télé dans le lit, votre esprit
pourrait trouver difficile d'associer le sommeil à votre lit. Utiliser
votre lit pour ce dont il est conçu, dormir.
Madagascar:Bacc 2012: La plus jeune a 11 ans !
13,83% tel est le taux d’augmentation à la participation à l’épreuve du baccalauréat par rapport à l’année précédente.
Selon
les informations recueillies auprès du ministère du tutelle hier, dans
l’ensemble de la Grande Ile, il a enregistré 133 048 candidats contre,
en 2011, 114 000. Face à l’accroissement des effectifs de candidats, les
salles de classe ont également été multipliées. Les statistiques du
ministère confirment ainsi une augmentation des centres à 10%. Dont 402
centres d’examens mobilisés pour cette édition. Avec l’effectif de 133
048 candidats, 122 755 sont issus de l’enseignement général. Dont 8 657
en série A1, 86 118 en série A2, 5 350 en série C et 22 627 en série D.
Et 10 293 candidats sont issus de l’option enseignement technique.
En
tant que premier responsable de cet examen, le ministre de
l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Étienne
Hilaire Razafindehibe, a indiqué qu’ « en général l’examen se déroule
bien comme il le faut. Après avoir visité quelques centres d’examen, à
savoir celui Jean Joseph Rabearivelo, le lycée Jules Ferry, le Lycée
Gallieni à Andohalo, le collège Md Philipe et Jacques à
Tanjombato, et le Lycée Andoharanofotsy, aucun problème n’a été signalé
en ce qui concerne le premier jour. Sauf, quelques candidats
qui ont oublié leur convocation mais encore leur carte d’identité
nationale ou leur carte d’identité scolaire. Face à ces problèmes de
négligence de la part des élèves, des dispositifs sont déjà en place
pour qu’ils puissent participer à l’examen ». Comme pour tous les autres
examens, la sécurité a été renforcée. En plus de la présence des forces
de l’ordre à côté des centres d’examen, la surveillance est intensifiée
également. Dont 2 voire 3 surveillants par salle de classe.
En
ce qui concerne la journée d’hier, deux épreuves étaient programmés,
dont le malagasy dans la matinée et l’histoire-géographie dans
l’après-midi. Fara, candidate du centre de Lycée privé Aceem à
Manankabahiny, a expliqué que « le sujet Malagasy était pas si
compliqué, car j’avais pas mal de choses à dire. Ce sujet concerne ainsi
le « Fanahy » (litt. Esprit), dans la philosophie malgache ». Par
contre, l’après-midi, le sujet est centré sur la mondialisation et de la
guerre froide. Les mathématiques dans la matinée et la philosophie sont
les épreuves du baccalauréat pour ce jour.
Il
est à noter que cet examen du baccalauréat qui a débuté hier concerne
l’enseignement général, et aussi la 1ère série de l’enseignement
technique. La 2ème série se tiendra du 3 au 7 septembre. Rappelons que
l’enseignement technique dispose de 2 catégories à savoir la technologie
et la professionnelle. En ce qui concerne la technologie,
elle se compose de 3 filières : génie civil, industriel et tertiaire.
Sinon, la professionnelle a 17 spécialités.
Pour
cette année, une fille de 11 ans série A2 du centre de Tsiroanomandidy
est la plus jeune des candidats dans la Grande Ile, et le plus vieux est
âgé de 59 ans en série A2 dans le centre d’Ambohimalaza.
|
Tuesday, August 28, 2012
Cours de l'ariary de ce mardi 28 aout 2012
A l'achat : 1 euro = 2.730 ariary
A la vente: 1 euro = 2.801 ariary
A la vente: 1 euro = 2.801 ariary
LES VERTUS DU COROSSOL
Le corossol
ou le fruit
de l'arbre graviola est un miracle naturel tueur de cellules cancéreuses
10.000
fois plus fort que la chimio.
Pourquoi sommes-nous pas au courant de cela? Sa grande entreprise parce que
certains veulent faire revenir leur argent dépensé pour des années de recherche
en essayant de faire une version synthétique de celle-ci à la vente.
Alors, puisque vous le savez maintenant, vous pouvez aider un ami dans le
besoin en lui faisant savoir ou juste boire un jus de corossol-vous que la
prévention, de temps en temps. Le goût n'est pas si mal après tout. Il est
entièrement naturel et a certainement pas d'effets secondaires .. Si vous avez
de la place, une plante dans votre jardin.
Les autres parties de l'arbre sont également utiles.
La prochaine fois que vous avez un jus de fruits, demandez un corossol.
Combien
de personnes sont mortes en vain, alors que ce fabricant de médicaments
milliards de dollars caché le secret de l'arbre miraculeux Graviola ?
Cet arbre est faible et est appelé graviola au Brésil, Corossol en espagnol et
possède un nom sans inspiration "corossol" en anglais. Le fruit est
très grande et la pulpe sucrée acidulée blanc est mangé dans la main ou, plus
couramment, utilisé pour fabriquer les boissons de fruits, sorbets et autres.
L'intérêt principal de cette usine en raison de son fort sentiment
anti-effets du cancer. Bien qu'il soit efficace pour un certain nombre de
conditions médicales, il est son effet anti-cancéreuse qui a le plus d'intérêt.
Cette plante est un remède cancer prouvées pour les cancers de tous types.
En plus d'être un remède cancer, graviola est un agent antimicrobien à large spectre pour les infections bactériennes et fongiques, est efficace contre les parasites internes et les vers, abaisse la pression artérielle et est utilisé pour la dépression, le stress et les troubles nerveux.
S'il ya jamais eu un seul exemple qui le rend considérablement clair pourquoi l'existence de l'Institut des sciences de la santé est si vital pour les Américains comme vous, c'est l'incroyable histoire derrière l'arbre Graviola.
La recherche montre que des extraits de cet arbre miraculeux mai maintenant possible de:
* Cancer Attack manière sûre et efficace avec un tout-thérapie naturelle qui ne causent pas de nausées extrêmes, perte de poids et perte de cheveux
En plus d'être un remède cancer, graviola est un agent antimicrobien à large spectre pour les infections bactériennes et fongiques, est efficace contre les parasites internes et les vers, abaisse la pression artérielle et est utilisé pour la dépression, le stress et les troubles nerveux.
S'il ya jamais eu un seul exemple qui le rend considérablement clair pourquoi l'existence de l'Institut des sciences de la santé est si vital pour les Américains comme vous, c'est l'incroyable histoire derrière l'arbre Graviola.
La vérité est étonnamment simple: Au fond de l'Amazonie
Rainforest pousse un arbre qui pourrait littéralement révolutionner ce que vous, votre médecin, et le reste du monde pense de traitement du cancer et les chances de survie. L'avenir n'a jamais semblé plus prometteur.La recherche montre que des extraits de cet arbre miraculeux mai maintenant possible de:
* Cancer Attack manière sûre et efficace avec un tout-thérapie naturelle qui ne causent pas de nausées extrêmes, perte de poids et perte de cheveux
* Protégez votre système immunitaire et d'éviter les infections mortelles
* Se sentent plus forts et en meilleure santé tout au long du traitement
* Boostez votre énergie et améliorer votre vision de la vie
La source de cette information est tout aussi étonnante: Il vient d'une de l 'Amérique
plus grand fabricants de
médicaments, le fruit de plus de 20 tests de laboratoire effectués depuis les
années 1970! Ce que ces tests ont révélé a tous un peu d'esprit
d'engourdissement ... Extraits de l'arbre ont été présentés à:
* Cibler efficacement et tuent les cellules malignes dans 12 types de cancers, notamment du côlon, sein, prostate, du poumon et le cancer du pancréas ...
* Les composés d'arbres s'est révélée être jusqu'à 10.000 fois plus fortes en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses que adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé!
* De plus, contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait du selectivelyhunts arbre Graviola vers le bas et ne tue que les cellules cancéreuses. Elle ne porte pas atteinte aux cellules saines!
Les étonnantes propriétés anti cancer de l'arbre Graviola ont été largement étudiés - alors pourquoi ne vous ai pas entendu quelque chose à ce sujet? Si Graviola extrait est que demi comme prometteuse, car elle semble être - pourquoi ne pas tous les oncologue unique à chaque grand hôpital insister sur l'utiliser sur tous ses patients?
L'épine-réponse réfrigération illustre la facilité avec notre santé - et pour beaucoup, nos vies (!)-- sont contrôlés par l'argent et du pouvoir.
Différentes parties de l'arbre Graviola - y compris l'écorce, feuilles, racines, fruits et fruits, graines - ont été utilisés pendant des siècles par des hommes-médecine et d'Indiens d'Amérique du Sud pour traiter les maladies cardiaques, l'asthme, des problèmes de foie et de l'arthrite. Going sur des preuves scientifiques très peu documenté, l'entreprise a consacré beaucoup d'argent et de ressources en matière de tests de l'arbre anti-cancéreuses des propriétés - et ont été choqués par les résultats. Graviola s'est avéré être un anticancéreux dynamo.
Il s'avère que les compagnies pharmaceutiques ont investi près de sept ans à essayer de synthétiser deux des plus puissants de lutte contre l'arbre Graviola's ingrédients cancer. Si l'on pouvait isoler et de produire des clones d'origine humaine de ce qui fait la Graviola si puissant, ils pourraient être capables de faire breveter et en faire leur argent. Hélas, ils ont frappé un mur de briques. L'original ne pouvait tout simplement pas être répliquées. Il n'y avait aucune façon, l'entreprise peut protéger ses bénéfices - ou même de faire revenir les millions qu'il verse dans la recherche.
Comme le rêve d'énormes profits évaporé, leurs essais sur Graviola est venu à une fin brusquement. Pire encore, l'entreprise a mis de côté l'ensemble du projet et a choisi de ne pas publier les résultats de ses recherches!
Heureusement, toutefois, il y avait un scientifique de l'équipe de recherche Graviola dont la conscience ne serait pas lui laisser voir de telles atrocités commises. Au péril de sa carrière, il a contacté une entreprise qui se consacre à la récolte des plantes médicinales de la forêt pluviale amazonienne et sonné l'alarme.
Le National Cancer Institute effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats montrent que Graviola's "feuilles et les tiges se sont avérées efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes." De manière inexplicable, les résultats ont été publiés dans un rapport interne et jamais publié pour le public ...
Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur extrêmement puissant de cancer dans 20 essais en laboratoire indépendant, mais pas de double-aveugle des essais cliniques - les médecins traditionnels typiques de référence et revues utiliser pour juger un
valeur de traitement - sont jamais initiée ...
Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une étude récente effectuée à l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que dans un seul produit chimique Graviola a été trouvé pour tuer sélectivement des cellules cancéreuses du côlon à "10.000 fois la puissance de la (les couramment utilisés polychimiothérapie) Adriamycin ... "
La partie la plus importante de l'Université catholique de Corée du Sud rapport est que Graviola a été montré à cibler sélectivement les cellules cancéreuses en laissant intactes les cellules saines. Contrairement à la chimiothérapie, qui vise indistinctement toutes les cellules de reproduction du activement (comme l'estomac et les cellules ciliées), provoquant des effets secondaires dévastateurs de nausées et perte de cheveux
* Cibler efficacement et tuent les cellules malignes dans 12 types de cancers, notamment du côlon, sein, prostate, du poumon et le cancer du pancréas ...
* Les composés d'arbres s'est révélée être jusqu'à 10.000 fois plus fortes en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses que adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé!
* De plus, contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait du selectivelyhunts arbre Graviola vers le bas et ne tue que les cellules cancéreuses. Elle ne porte pas atteinte aux cellules saines!
Les étonnantes propriétés anti cancer de l'arbre Graviola ont été largement étudiés - alors pourquoi ne vous ai pas entendu quelque chose à ce sujet? Si Graviola extrait est que demi comme prometteuse, car elle semble être - pourquoi ne pas tous les oncologue unique à chaque grand hôpital insister sur l'utiliser sur tous ses patients?
L'épine-réponse réfrigération illustre la facilité avec notre santé - et pour beaucoup, nos vies (!)-- sont contrôlés par l'argent et du pouvoir.
Graviola - l'usine qui fonctionne trop bien
One of America 's plus grands fabricants de médicaments milliard de dollar a commencé une recherche pour un traitement du cancer et leurs travaux de recherche centrés sur Graviola, un arbre de guérison légendaires de la forêt pluviale amazonienne.Différentes parties de l'arbre Graviola - y compris l'écorce, feuilles, racines, fruits et fruits, graines - ont été utilisés pendant des siècles par des hommes-médecine et d'Indiens d'Amérique du Sud pour traiter les maladies cardiaques, l'asthme, des problèmes de foie et de l'arthrite. Going sur des preuves scientifiques très peu documenté, l'entreprise a consacré beaucoup d'argent et de ressources en matière de tests de l'arbre anti-cancéreuses des propriétés - et ont été choqués par les résultats. Graviola s'est avéré être un anticancéreux dynamo.
Mais c'est là que l'histoire Graviola presque terminée.
La compagnie avait un énorme problème avec l'arbre Graviola - c'est complètement naturel, et donc, en vertu du droit fédéral, et non brevetables. Il n'ya aucun moyen de faire des bénéfices graves complications.
Il s'avère que les compagnies pharmaceutiques ont investi près de sept ans à essayer de synthétiser deux des plus puissants de lutte contre l'arbre Graviola's ingrédients cancer. Si l'on pouvait isoler et de produire des clones d'origine humaine de ce qui fait la Graviola si puissant, ils pourraient être capables de faire breveter et en faire leur argent. Hélas, ils ont frappé un mur de briques. L'original ne pouvait tout simplement pas être répliquées. Il n'y avait aucune façon, l'entreprise peut protéger ses bénéfices - ou même de faire revenir les millions qu'il verse dans la recherche.
Comme le rêve d'énormes profits évaporé, leurs essais sur Graviola est venu à une fin brusquement. Pire encore, l'entreprise a mis de côté l'ensemble du projet et a choisi de ne pas publier les résultats de ses recherches!
Heureusement, toutefois, il y avait un scientifique de l'équipe de recherche Graviola dont la conscience ne serait pas lui laisser voir de telles atrocités commises. Au péril de sa carrière, il a contacté une entreprise qui se consacre à la récolte des plantes médicinales de la forêt pluviale amazonienne et sonné l'alarme.
Miracle déchaîné
Lorsque les chercheurs de l'Institut des sciences de la santé ont été alertés vers les nouvelles de Graviola, ils ont commencé à surveiller la recherche faite sur le cancer-massacre des arbres. Preuve de l'efficacité étonnante de Graviola - et de sa couverture choquante-up - est entré dans .... Fast and Furious
Le National Cancer Institute effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats montrent que Graviola's "feuilles et les tiges se sont avérées efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes." De manière inexplicable, les résultats ont été publiés dans un rapport interne et jamais publié pour le public ...
Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur extrêmement puissant de cancer dans 20 essais en laboratoire indépendant, mais pas de double-aveugle des essais cliniques - les médecins traditionnels typiques de référence et revues utiliser pour juger un
valeur de traitement - sont jamais initiée ...
Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une étude récente effectuée à l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que dans un seul produit chimique Graviola a été trouvé pour tuer sélectivement des cellules cancéreuses du côlon à "10.000 fois la puissance de la (les couramment utilisés polychimiothérapie) Adriamycin ... "
La partie la plus importante de l'Université catholique de Corée du Sud rapport est que Graviola a été montré à cibler sélectivement les cellules cancéreuses en laissant intactes les cellules saines. Contrairement à la chimiothérapie, qui vise indistinctement toutes les cellules de reproduction du activement (comme l'estomac et les cellules ciliées), provoquant des effets secondaires dévastateurs de nausées et perte de cheveux
5 étapes pour soulager la sciatique presque sans effort
Bonjour ,
Voici ce que vous devez savoir pour vous libérer d’une sciatique dès que vous sentez les premiers signes.
Lorsque je débutais mes études de Seitai à Tokyo, la sciatique était une amie fidèle qui me rendais visite très souvent, au moins une fois par mois. Compatissant, Imoto sensei à tenu un cours sur le sujet. Comme il souhaitait mon bien, il a préféré m’éduquer sur la question afin que je dispose du pouvoir de me libérer par moi-même.
Dans cet article, je vais présenter 3 actions à mener pour vous sortir de la sciatique avant qu’elle ne prenne trop de place dans votre vie. Ces trois points passent par : votre alimentation, accorder du repos à votre corps et à votre “tête”, et enfin ajuster votre corps.
Sans condition, le premier conseil que le Seitai donne aux étudiants est de réduire l’alimentation. Il y a un lien souvent ignoré entre un estomac trop plein et les douleurs lombaires. Lorsque vous mangez trop, ou de façon mal appropriée, votre dos se durcit entre les omoplates. Rendu dur et moins mobile, le dos devient une masse lourde qui pèse sur la région des lombaires et du bassin. Soumis à cette pression les muscles du dos se durcissent et finissent par s’épuiser. Ainsi, même si la cause est ailleurs, le fait de réduire la quantité de nourriture, pendant un certain temps, permettra d’alléger la hanche. Au pis, vous éviterez d’aggraver la situation. C’est une bonne précaution.
Une fois que vous avez compris l’intérêt de mesurer votre alimentation, au moins pendant le laps de temps où vous ressentez la sciatique, il faut comprendre le mécanisme de la sciatique, ou plutôt : d’où elle vient.
Vous savez probablement que la sciatique tire son nom du nerf sciatique. Ce dernier prend ses ramifications au niveau des 4e et 5e vertèbres lombaires et descend en arrière de la jambe jusqu’au pied. On a tendance à relier la cause de la douleur à un mauvais ajustement de ces vertèbres. C’est souvent vrai, mais pas systématiquement. Parfois la douleur vient à cause de la fatigue emmagasinée dans les muscles de la région lombaire. Parfois, les articulations des vertèbres sont usées. Dans d’autres cas, il s’agit d’une anomalie du système nerveux.
Si dans votre cas vous ne voyez sincèrement pas de lien entre le fait de “trop manger” et la sciatique, prenez le temps d’examiner votre état de fatigue, et disposez-vous afin de chercher si la douleur sciatique n’est pas le fruit d’un conflit ou d’un choc émotionnel.
Un ami d’enfance est électricien dans un théâtre. Un jour, il fit une chute de 10 mètres tandis qu’il ajustait un projecteur fixé au plafond. Il s’en est tiré avec une entorse lombaire et quelques côtes brisées. Il fut très bien pris en charge par son médecin, et très soigné par son kiné. A la radiographie, on ne voit plus de trace de blessures. Cependant, chaque fois qu’il doit changer de cadre de travail, ou chaque fois qu’un soucis le taraude, la sciatique le reprend à tel point qu’il ne peut quitter la maison. Il n’y avait pas 36 solutions. Pour le libérer, il fallait résoudre l’angoisse née de l’accident.
Maintenant que vous connaissez les directions à explorer pour déceler la cause de votre sciatique, voici un exercice très simple que vous pouvez faire chez vous, avant que la douleur ne devienne trop envahissante.
Allongez-vous sur le sol, les jambes et les bras étendus sur le sol.
- Du côté où vous ressentez la douleur, soulevez le pied d’une 20aine de centimètre au-dessus du sol (maintenez le genou tendu). Votre talon se trouve à la hauteur des orteils du pied opposé
- Poussez votre jambe en diagonal, par-dessus la jambe opposée, sans abaisser votre pied (gardez le genou tendu)
- Faites ce mouvement de croisement 5 ou 6 fois lentement, puis ramenez votre jambe au sol
- Relevez-vous
Ainsi, il y a plusieurs causes à la sciatique : trop s’alimenter, la fatigue corporelle des muscles et des vertèbres ou le système nerveux. Si vous êtes concerné(e) par ce problème, examinez votre quotidien afin de trouver la cause en vous. Tandis que vous faites cela, servez vous de l’exercice corporel décrit plus haut. Il vous aidera au moins à vous soulager.
Après coup, il se peut que vous sentiez quelques douleurs se réveiller au niveau des fémurs, ou dans vos jambes. Certaines personnes en profitent pour s’angoisser pensant que la situation s’aggrave. C’est peu probable. Au contraire. Si vous êtes perspicace, vous découvrirez que c’est tout simplement la vie qui s’évertue à reprendre sa place dans les parties raides et endurcies de votre corps. réjouissez-vous et persévérez.
Dans les cas où votre sciatique se révèlerait plus sévère, il y a d’autres exercices plus “pointus” pour vous libérer naturellement. A cet effet, j’ai composé un document qui vous montrera comment vous y prendre grâce à 4 principes faciles à intégrer que j’ai appris de M. Imoto directement.
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