Le passage à l’heure d’hiver aura lieu dimanche 31 octobre 2010 à 3 heures du matin. Vous devrez retirer 60 minutes à l’heure légale. Il sera alors 2 heures.
Appliqué au Royaume-Uni et en Irlande depuis la première guerre mondiale et en Italie depuis 1966, le changement d’heure a été instauré en France en 1975 après le choc pétrolier de 1974. Depuis 1998, les dates de changement d’heure ont été harmonisées au sein de l’Union européenne. Dans tous les pays membres, le passage à l’heure d’hiver s’effectue le dernier dimanche d’octobre et le passage à l’heure d’été, le dernier dimanche de mars.
Le passage à l’heure d’été aura lieu dimanche 27 mars 2011 à 2 heures du matin.
Saturday, October 30, 2010
Wednesday, October 27, 2010
Philippe Verdon reconduit au frontière cette nuit
Les investigations, que nous avons continuées à mener, nous ont révélé des pièces officielles révélatrices sur l’affaire Philippe Verdon. En effet, lesdits documents administratifs ont révélé que non seulement Monja Roindefo ment mais encore et surtout le Chef de la Police de l’air et des frontières semble avoir beaucoup d’explications à fournir sur ce dossier sulfureux. En parallèle, Philippe Verdon vient d’être reconduit aux frontières nationales, hier dans la nuit, pour être mis dans un avion en partance pour la France. Avec un e – ticket en aller simple en poche.
Dans un communiqué que ses proches ont récemment envoyé à des salles de rédaction de la Capitale, Monja Roindefo a déclaré urbi et orbi que la décision, portant interdiction d’entrée sur le territoire national de Philippe Verdon, a déjà été levée. Ce qui l’a amené à traiter le régime de Transition de tous les mots et maux, jusqu’à le qualifier de fouler au pied la légalité, suite à l’arrestation de ce ressortissant français qui a été taxé de franchissement illégale des frontières nationales. D’ailleurs, dans son discours sulfureux à Toamasina de samedi dernier, cet ex – Premier ministre de la Transition n’a point mâché ses mots pour carrément diaboliser l’actuel pouvoir, à cause de cette affaire. En d’autres termes, Monja Roindefo a voulu faire valoir, aux yeux du monde entier, que le régime de Transition a été en train d’infliger des mesures abusives contre un… « agneau », « doux » et « clean » jusqu’au bout des ongles.
Malheureusement pour ce détracteur, le plus virulent, de Andry Rajoelina, les investigations, que nous avons continuées à mener, nous ont révélé des pièces officielles révélatrices sur la situation exacte de ce ressortissant français indélicat. En effet, selon les termes du message radio n°397-Mininter/Sg/Die/Selr signé le 26 février 2008 et envoyé par le ministre de l’Intérieur d’alors, Charles Rabemananjara, Philippe Verdon a effectivement été frappé d’une interdiction d’entrée sur le territoire national, au même titre que deux autres « Vazaha » : Laurent Chuet et Pierre Vachon. Or, à cinq reprises et la dernière en date ayant été le 19 octobre dernier, Philippe Verdon a pu encore entrer librement dans le pays. D’ailleurs, à chacune de ces cinq entrées, des responsables de la Police de l’air et des frontières (Paf) n’ont pas manqué de lui octroyer des visas d’un mois. En bonne et due forme Svp !
Cinq entrées « légales »…
Ainsi, le 4 mai 2009, il a fait sa première apparition à l’aéroport international d’Ivato pour bénéficier d’un visa de séjour « gratis » de seize jours, signé par le Commissaire de police, Jean Brunel Razafindrahofa, alors Adjoint du Chef de service central de la Paf. Curieusement, cinq jours après, soit le 9 mai 2009, il a encore fait une autre entrée au niveau de la même Paf pour bénéficier d’un visa de séjour de 30 jours, signé par un autre Adjoint. Le 23 septembre 2010, il a également franchi les frontières nationales à l’aéroport international d’Ivato pour se voir octroyer un visa de 30 jours, signé par un Officier de police, Nathalie Rakotoarivelo, encore un autre Adjoint. Le 12 octobre dernier, il se présentait encore au même guichet d’Ivato pour bénéficier d’un autre visa de 30 jours, signé par René Robel Andrianantenaina, inspecteur de police et (encore ?) un Adjoint. Et la dernière en date fut son entrée du 19 octobre dernier pour un visa de 30 jours, signé par André Lantomanana, inspecteur principal de police et, bien évidemment, un Adjoint.
En d’autres termes, en mai 2009, c’est – à – dire, sous le règne de Monja Roindefo à la Primature, Philippe Verdon franchissait déjà les frontières nationales, en toute liberté. Or, selon le message radio, n°3880-Mininter/Sg/Dgat/Die/Sce du 22 octobre dernier, le Secrétaire général de l’actuel ministère de l’Intérieur reste intraitable et sans équivoque dans sa déclaration : l’interdiction d’entrée de Philippe Verdon n’a jamais été levée par le ministère de l’Intérieur et, par conséquent, elle reste et demeure en vigueur. C’est cuit ! Mise en face de l’attaque au vitriol, faite par l’ex – Premier ministre tant à Toamasina que dans son communiqué de presse, cette déclaration officielle du ministère de l’Intérieur dévoile un fait clair, têtu et indiscutable : Monja Roindefo ment ! En tout cas, même durant son règne au Palais de Mahazoarivo, ce dernier n’a donc pas pu faire lever la décision d’interdiction d’entrée de son « pote » Philippe Verdon. A plus forte raison, il ne peut donc se gargariser d’avoir donné un ordre pareil, en ce qui concerne les autres visas octroyés à ce ressortissant français, étant entendu qu’il ne détient plus le moindre pouvoir, ayant déjà été déboulonné de son trône à la Primature.
Ferme et catégorique…
Quant à l’actuel premier responsable de la Paf, il semble avoir beaucoup d’explications à fournir quant aux déclarations qu’il a faites devant les enquêteurs. En effet, le Commissaire Jean Brunel Razafindahofa a été net et clair en ayant déclaré qu’il n’a autorisé l’entrée sur le territoire national de Philippe Verdon qu’une seule fois seulement, c’est – à – dire le 19 octobre dernier, et encore sous l’ordre formel de son « patron » qu’est le ministre de la Sécurité intérieure, Organès Rakotomihantaharizaka. Ce qui n’est guère vrai, dans la mesure où, quand il était encore l’Adjoint de la Paf, il a déjà signé lui – même le visa d’entrée de ce ressortissant français et, une fois propulsé à la tête de ce Service central de la Police à Ivato, il a… « laissé » le soin à ses multiples Adjoints de faciliter la tâche à Philippe Verdon. Tout ceci, en dépit de la décision d’interdiction d’entrée qui frappe ce dernier. En outre, le respect strict de la hiérarchie étant sacré au sein de la Police nationale, entendre et voir ce « Chef Paf » mouiller, voire brûler en public son Chef suprême qu’est son ministre, laisse plus d’un pantois. En tout cas, interrogé hier, Organès Rakotomihantaharizaka a été ferme et catégorique : « je n’ai jamais donné ordre à quiconque de passer outre cette interdiction d’entrée de Philippe Verdon. D’ailleurs, comment voulez – vous admettre que j’aurais autorisé cet individu à entrer dans le pays alors qu’il aurait mijoté de faire tomber l’actuel régime de Transition, dont je fais pourtant partie intégrante ? Je ne vais quand même pas autoriser quelqu’un à me déboulonner de mon piédestal ! ».
En attendant la suite de cette affaire rocambolesque, et les pluies de sanctions qui pourraient en découler, décision a été prise par le Gouvernement d’expulser Philippe Verdon, une fois ses enquêtes – sur ses multiples entrées illégales dans le pays – closes. Ainsi, sous bonne garde, cet individu a été, hier dans la nuit, reconduit aux frontières nationales pour être mis à bord d’un avion en partance pour Paris.
Un e – ticket en aller simple en poche. Et avec le garde du corps et le frère cadet de Monja Roindefo, comme accompagnateurs…
Recueillis par R. Christian Frédéric
Dans un communiqué que ses proches ont récemment envoyé à des salles de rédaction de la Capitale, Monja Roindefo a déclaré urbi et orbi que la décision, portant interdiction d’entrée sur le territoire national de Philippe Verdon, a déjà été levée. Ce qui l’a amené à traiter le régime de Transition de tous les mots et maux, jusqu’à le qualifier de fouler au pied la légalité, suite à l’arrestation de ce ressortissant français qui a été taxé de franchissement illégale des frontières nationales. D’ailleurs, dans son discours sulfureux à Toamasina de samedi dernier, cet ex – Premier ministre de la Transition n’a point mâché ses mots pour carrément diaboliser l’actuel pouvoir, à cause de cette affaire. En d’autres termes, Monja Roindefo a voulu faire valoir, aux yeux du monde entier, que le régime de Transition a été en train d’infliger des mesures abusives contre un… « agneau », « doux » et « clean » jusqu’au bout des ongles.
Malheureusement pour ce détracteur, le plus virulent, de Andry Rajoelina, les investigations, que nous avons continuées à mener, nous ont révélé des pièces officielles révélatrices sur la situation exacte de ce ressortissant français indélicat. En effet, selon les termes du message radio n°397-Mininter/Sg/Die/Selr signé le 26 février 2008 et envoyé par le ministre de l’Intérieur d’alors, Charles Rabemananjara, Philippe Verdon a effectivement été frappé d’une interdiction d’entrée sur le territoire national, au même titre que deux autres « Vazaha » : Laurent Chuet et Pierre Vachon. Or, à cinq reprises et la dernière en date ayant été le 19 octobre dernier, Philippe Verdon a pu encore entrer librement dans le pays. D’ailleurs, à chacune de ces cinq entrées, des responsables de la Police de l’air et des frontières (Paf) n’ont pas manqué de lui octroyer des visas d’un mois. En bonne et due forme Svp !
Cinq entrées « légales »…
Ainsi, le 4 mai 2009, il a fait sa première apparition à l’aéroport international d’Ivato pour bénéficier d’un visa de séjour « gratis » de seize jours, signé par le Commissaire de police, Jean Brunel Razafindrahofa, alors Adjoint du Chef de service central de la Paf. Curieusement, cinq jours après, soit le 9 mai 2009, il a encore fait une autre entrée au niveau de la même Paf pour bénéficier d’un visa de séjour de 30 jours, signé par un autre Adjoint. Le 23 septembre 2010, il a également franchi les frontières nationales à l’aéroport international d’Ivato pour se voir octroyer un visa de 30 jours, signé par un Officier de police, Nathalie Rakotoarivelo, encore un autre Adjoint. Le 12 octobre dernier, il se présentait encore au même guichet d’Ivato pour bénéficier d’un autre visa de 30 jours, signé par René Robel Andrianantenaina, inspecteur de police et (encore ?) un Adjoint. Et la dernière en date fut son entrée du 19 octobre dernier pour un visa de 30 jours, signé par André Lantomanana, inspecteur principal de police et, bien évidemment, un Adjoint.
En d’autres termes, en mai 2009, c’est – à – dire, sous le règne de Monja Roindefo à la Primature, Philippe Verdon franchissait déjà les frontières nationales, en toute liberté. Or, selon le message radio, n°3880-Mininter/Sg/Dgat/Die/Sce du 22 octobre dernier, le Secrétaire général de l’actuel ministère de l’Intérieur reste intraitable et sans équivoque dans sa déclaration : l’interdiction d’entrée de Philippe Verdon n’a jamais été levée par le ministère de l’Intérieur et, par conséquent, elle reste et demeure en vigueur. C’est cuit ! Mise en face de l’attaque au vitriol, faite par l’ex – Premier ministre tant à Toamasina que dans son communiqué de presse, cette déclaration officielle du ministère de l’Intérieur dévoile un fait clair, têtu et indiscutable : Monja Roindefo ment ! En tout cas, même durant son règne au Palais de Mahazoarivo, ce dernier n’a donc pas pu faire lever la décision d’interdiction d’entrée de son « pote » Philippe Verdon. A plus forte raison, il ne peut donc se gargariser d’avoir donné un ordre pareil, en ce qui concerne les autres visas octroyés à ce ressortissant français, étant entendu qu’il ne détient plus le moindre pouvoir, ayant déjà été déboulonné de son trône à la Primature.
Ferme et catégorique…
Quant à l’actuel premier responsable de la Paf, il semble avoir beaucoup d’explications à fournir quant aux déclarations qu’il a faites devant les enquêteurs. En effet, le Commissaire Jean Brunel Razafindahofa a été net et clair en ayant déclaré qu’il n’a autorisé l’entrée sur le territoire national de Philippe Verdon qu’une seule fois seulement, c’est – à – dire le 19 octobre dernier, et encore sous l’ordre formel de son « patron » qu’est le ministre de la Sécurité intérieure, Organès Rakotomihantaharizaka. Ce qui n’est guère vrai, dans la mesure où, quand il était encore l’Adjoint de la Paf, il a déjà signé lui – même le visa d’entrée de ce ressortissant français et, une fois propulsé à la tête de ce Service central de la Police à Ivato, il a… « laissé » le soin à ses multiples Adjoints de faciliter la tâche à Philippe Verdon. Tout ceci, en dépit de la décision d’interdiction d’entrée qui frappe ce dernier. En outre, le respect strict de la hiérarchie étant sacré au sein de la Police nationale, entendre et voir ce « Chef Paf » mouiller, voire brûler en public son Chef suprême qu’est son ministre, laisse plus d’un pantois. En tout cas, interrogé hier, Organès Rakotomihantaharizaka a été ferme et catégorique : « je n’ai jamais donné ordre à quiconque de passer outre cette interdiction d’entrée de Philippe Verdon. D’ailleurs, comment voulez – vous admettre que j’aurais autorisé cet individu à entrer dans le pays alors qu’il aurait mijoté de faire tomber l’actuel régime de Transition, dont je fais pourtant partie intégrante ? Je ne vais quand même pas autoriser quelqu’un à me déboulonner de mon piédestal ! ».
En attendant la suite de cette affaire rocambolesque, et les pluies de sanctions qui pourraient en découler, décision a été prise par le Gouvernement d’expulser Philippe Verdon, une fois ses enquêtes – sur ses multiples entrées illégales dans le pays – closes. Ainsi, sous bonne garde, cet individu a été, hier dans la nuit, reconduit aux frontières nationales pour être mis à bord d’un avion en partance pour Paris.
Un e – ticket en aller simple en poche. Et avec le garde du corps et le frère cadet de Monja Roindefo, comme accompagnateurs…
Recueillis par R. Christian Frédéric
La mort programmée du QMM, sous l'indifférence de la HAT
Enorme problème pour QMM, Cette entreprise de production d'ilménite de Tolagnaro est fermée depuis hier suite au mouvement de revendication de l'association Fagnomba qui a placé des barrages à l'entrée de l'usine. Ce mouvement revendique, rappelons-le, plus de recrutement de la population locale, les achats locaux pour certains approvisionnements ainsi que le limogeage de quelques cadres de l'entreprise. D'après Daniel Andriamanjaka, Directeur des affaires externes de QMM, qui a convoqué tardivement la presse hier, des rencontres ont eu lieu hier entre les responsables de QMM et l'association Fagnomba. Des pourparlers qui n'ont abouti à rien puisque les barrages ont été maintenus. « Nous avons décidé de fermer l'usine », précise Daniel Andriamanjaka qui craint le pire. « Si une solution n'est pas trouvée on risque une fermeture définitive de QMM ». Avec ce que cela suppose évidemment de conséquences néfastes pour l'économie régionale et nationale. QMM est en effet une usine entreprise qui emploie actuellement 560 personnes dont 62% originaires de la région Anosy. L'entreprise génère, par ailleurs, des millions de dollars de devises et de redevances pour l'Etat.
R.Edmond
R.Edmond
Bluetooth c'est quoi ?
Le nom « Bluetooth » (littéralement « dent bleue ») se rapporte au nom du roi danois Harald II (910-986), surnommé Harald II Blåtand (« à la dent bleue »), à qui on attribue l'unification de la Suède et de la Norvège ainsi que l'introduction du christianisme dans les pays scandinaves.
Bluetooth est une technologie de réseau personnel sans fils (noté WPAN pour Wireless Personal Area Network), c'est-à-dire une technologie de réseaux sans fils d'une faible portée permettant de relier des appareils entre eux sans liaison filaire. Contrairement à la technologie IrDa (liaison infrarouge), les appareils Bluetooth ne nécessitent pas d'une ligne de vue directe pour communiquer, ce qui rend plus souple son utilisation et permet notamment une communication d'une pièce à une autre, sur de petits espaces.
L'objectif de Bluetooth est de permettre de transmettre des données ou de la voix entre des équipements possédant un circuit radio de faible coût, sur un rayon de l'ordre d'une dizaine de mètres à un peu moins d'une centaine de mètres et avec une faible consommation électrique.
Ainsi, la technologie Bluetooth est principalement prévue pour relier entre-eux des périphériques (imprimantes, téléphones portables, appareils domestiques, oreillettes sans fils, souris, clavier, etc.), des ordinateurs ou des assistants personnels (PDA), sans utiliser de liaison filaire. La technologie Bluetooth est également de plus en plus utilisée dans les téléphones portables, afin de leur permettre de communiquer avec des ordinateurs ou des assistants personnels et surtout avec des dispositifs mains-libres tels que des oreillettes bluetooth. Les oreillettes Bluetooth permettent de faire office de casque audio perfectionné intégrant des fonctionnalités de commande à distance.
La technologie Bluetooth a été originairement mise au point par Ericsson en 1994. En février 1998 un groupe d'intérêt baptisé Bluetooth Special Interest Group (Bluetooth SIG), réunissant plus de 2000 entreprises dont Agere, Ericsson, IBM, Intel, Microsoft, Motorola, Nokia et Toshiba, a été formé afin de produire les spécifications Bluetooth 1.0, qui furent publiées en juillet 1999.
Tuesday, October 26, 2010
Madagascar est très loin du vieillissement européen.
Le directeur de l'Institut national de démographie de Paris donne ce jour au Centre culturel Albert Camus une conférence sur les contraintes et les potentiels de la dynamique démographique à Madagascar. Il nous donne un aperçu de ses analyses.
• Pensez-vous que Madagascar est surpeuplé, ou sous-peuplé, avec ses 20 millions d'habitants ?
Il y a effet près de 20 millions de Malgaches. Mais l'Île est étendue, et certaines personnes peuvent être tentées de dire que les Malgaches doivent encore se multiplier pour pouvoir occuper les espaces vides. C'est une analyse appelée populationniste ou pro-nataliste, laquelle encourage les gens à avoir beaucoup d'enfants en espérant des retombées économiques. Mais il y a une autre optique tout à fait à l'opposé, dénommée maltusienne. Cette dernière analyse estime que la démographie de Madagascar s'accroît trop vite car le taux de croissance se rapproche des 3% par an. C'est beaucoup par rapport à d'autres pays en voie de développement que je connais.
• D'où tirez-vous les statistiques pour Madagascar ?
Le dernier document, que j'utilise d'ailleurs pour ma présentation de demain (ndlr : aujourd'hui), est une enquête de démographie et santé effectuée en 2008-2009. Elle donne des informations intéressantes non seulement sur la démographie mais aussi sur la santé familiale et infantile, ou sur les violences conjugales. C'est un document facile d'accès car consultable sur Internet.
• Est-ce une croissance atypique par rapport à celle d'autres pays ?
En effet, c'est peut-être une croissance atypique. Car vous avez un décalage entre un niveau d'alphabétisation relativement bon et une fécondité élevée. Quand on pose la question : « quel est le nombre idéal d'enfants qu'une famille devrait avoir ? », la moyenne de cet idéal est relativement élevée pour Madagascar, car elle est de 4,7 alors que dans un pays comme le Maroc, elle n'est que de 1,8, et pour la Turquie de 1,6. Il existe une grande différence psychologique entre ces pays en voie de développement.
• Estimez-vous qu'à ce rythme, Madagascar rencontrera une explosion démographique ?
Sans être un spécialiste de Madagascar ni de la démographie, j'ai été effectivement amené à me demander comme la population malgache évoluera dans les 40 prochaines années. J'ai inventé des scénarios démographiques. Et contrairement à beaucoup de gens qui sont assez pessimistes, mon scénario montre qu'il existe beaucoup plus de raisons incitant à l'optimisme qu'au pessimisme.
• C'est-à-dire qu'il y aura un ralentissement de cette croissance...
Nous remarquons que la fecondité des femmes est très liée à leur niveau d'instruction. Les mieux éduquées font moins d'enfants, et ce sont les analphabètes qui en font le plus. Et la différence semble assez sensible car l'année où cette enquête a été realisée, par exemple une femme analphabète avait en moyenne 6,5 enfants, c'est qui est beaucoup. Une femme ayant fait l'école primaire avait en moyenne 5,4 enfants, et celle ayant fréqeunté l'enseignement secondaire ou supérieur était mère de trois enfants. Il existe depuis les dix dernières années une dynamique très forte de scolarisation à Madagascar. Des jeunes générations de plus en plus instruites remplacent les vieilles générations, généralement analphabètes. Or, quand le niveau d'éducation augmente, la natalité diminue de façon mécanique. C'est ce qui est en train de se passer en ce moment. Madagascar se trouve dans une phase de transition démographique.
• Quelle sera donc la situation dans quarante ans, selon votre scénario ?
La tendance observée actuellement va s'accélerer dans les prochaines années. L'indice de fécondité, c'est-à-dire le nombre moyen d'enfants qu'une femme met au monde, qui est très élevé avec 4,7 enfants, va beaucoup diminuer et de manière très régulière pour arriver à 2,4 enfants dans quarante ans. En 2050, la fécondité à Madagascar se rapprochera de ce qu'il faut pour que la génération se renouvelle. Quand on pense que la France se retrouve aujourd'hui avec un indice de fécondité de 2,02.
• Y a-t-il un nombre d'habitants idéal par rapport à la superficie d'un pays comme Madagascar ?
Il est difficile de définir un nombre idéal de population. Des pays comme Hong Kong, le Vatican, ou Singapour ont une densité de la population très élevée mais dont le niveau de vie est excellent. D'un autre côté, les pays comme l'Egypte et l'Indonésie ont une densité de population très élevée et un niveau de vie bas. On ne peut pas généraliser, il n'y a pas de règles générales. Une population doit augmenter, mais il faut que cet accroissement suive un rythme soutenable, pas trop élevé par rapport à l'augmentation des ressources.
• Des analyses plus économiques soutiennent qu'un nombre de population élevé équivaut à un plus grand marché, permettant de créer une dynamique au niveau des entreprises et des industries. Qu'en pensez-vous ?
C'est une question intéressante mais difficile à repondre. Le marché, c'est très bien car il en faut. L'Amérique apparaît comme un marché de 350 millions d'habitants, la Chine et l'Inde dépassent chacune le milliard d'habitants. Effectivement, tout porterait à croire qu'il faut une population plus nombreuse pour créer la possibilité d'industrie. Mais il faut rester réaliste car les 20 millions de Malgaches d'aujourd'hui n'atteindront jamais le demi-milliard. Par contre, vous avez le marché commun avec l'Afrique australe, et l'océan Indien. Madagascar a toute la possibilité de trouver ce marché très large, mais avec une croissance démographique moins importante.
• Justement, pouvez-vous développer l'intérêt de cette croissance démographique faible ?
Madagascar a tout intérêt à réduire son taux de croissance démographique et c'est d'ailleurs ce qui va se passer. Cette baisse de la natalité due à la hausse du niveau d'instruction va se répercuter bénefiquement sur la croissance économique et sociale. Les femmes, qui sont concernées par l'amélioration du niveau d'instruction, deviennent de plus en plus conscientes de l'avantage d'une famille à taille réduite. Elles vont aspirer à avoir de moins en moins d'enfants. Par ailleurs, la réduction du taux de croissance démographique fera baisser les investissements sociaux que l'État et la société civile devront faire, au profit des investissements économiques lesquels serviront à accroître la production.
• Avec la limitation de naissance, n'existe-t-il pas un risque qu'il y ait un grand déséquilibre entre le nombre d'hommes et de femmes, d'ici quarante ans ?
Le seul cas de figure où il naît plus d'hommes que de femmes a lieu en Chine et en Inde. On y a beaucoup réduit la natalité et l'on y préfère avoir un garçon plutôt qu'une fille. Dans ces pays, une femme peut être tentée d'avorter si elle prend connaissance que le foetus est de sexe féminin. C'est pour avoir la chance d'avoir un garçon après. Ensuite, la parité homme-femme dans le pyramide des âges à Madagascar est parfaitement équilibré. Il y a très peu de risque qu'il y ait plus d'hommes que de femmes dans le pays.
• Beaucoup de pays développés rencontrent aujourd'hui le problème du vieillissement de leur population. Madagascar ne risque-t-il pas de rencontrer ce phénomène plus tard ?
Madagascar ne devrait pas avoir ce genre d'inquiétude. La population malgache compte aujourd'hui seulement 3% de personnes âgées de plus de 65 ans. Ce chiffre passera à 6% dans 40 ans. Madagascar est très loin du vieillissement européen.
• À quelle étape de cette transition démographique se trouve actuellement la populaiton malgache ?
Madagascar a aujourd'hui déjà accompli les 20% de l'étape initiale de cette transition. La courbe de l'indice de fécondité est déjà en train de baisser fortement. Les 80% restantes vont donc se dérouler dans les 40 années à venir. Madagascar a donc réalisé 20% de sa transition démographique pendant 40 ans, et il y aura une très forte accélération dans les autres 40 prochaines années.
Propos recueillis par
Mahefa Rakotomalala
Mardi 26 octobre 2010
• Pensez-vous que Madagascar est surpeuplé, ou sous-peuplé, avec ses 20 millions d'habitants ?
Il y a effet près de 20 millions de Malgaches. Mais l'Île est étendue, et certaines personnes peuvent être tentées de dire que les Malgaches doivent encore se multiplier pour pouvoir occuper les espaces vides. C'est une analyse appelée populationniste ou pro-nataliste, laquelle encourage les gens à avoir beaucoup d'enfants en espérant des retombées économiques. Mais il y a une autre optique tout à fait à l'opposé, dénommée maltusienne. Cette dernière analyse estime que la démographie de Madagascar s'accroît trop vite car le taux de croissance se rapproche des 3% par an. C'est beaucoup par rapport à d'autres pays en voie de développement que je connais.
• D'où tirez-vous les statistiques pour Madagascar ?
Le dernier document, que j'utilise d'ailleurs pour ma présentation de demain (ndlr : aujourd'hui), est une enquête de démographie et santé effectuée en 2008-2009. Elle donne des informations intéressantes non seulement sur la démographie mais aussi sur la santé familiale et infantile, ou sur les violences conjugales. C'est un document facile d'accès car consultable sur Internet.
• Est-ce une croissance atypique par rapport à celle d'autres pays ?
En effet, c'est peut-être une croissance atypique. Car vous avez un décalage entre un niveau d'alphabétisation relativement bon et une fécondité élevée. Quand on pose la question : « quel est le nombre idéal d'enfants qu'une famille devrait avoir ? », la moyenne de cet idéal est relativement élevée pour Madagascar, car elle est de 4,7 alors que dans un pays comme le Maroc, elle n'est que de 1,8, et pour la Turquie de 1,6. Il existe une grande différence psychologique entre ces pays en voie de développement.
• Estimez-vous qu'à ce rythme, Madagascar rencontrera une explosion démographique ?
Sans être un spécialiste de Madagascar ni de la démographie, j'ai été effectivement amené à me demander comme la population malgache évoluera dans les 40 prochaines années. J'ai inventé des scénarios démographiques. Et contrairement à beaucoup de gens qui sont assez pessimistes, mon scénario montre qu'il existe beaucoup plus de raisons incitant à l'optimisme qu'au pessimisme.
• C'est-à-dire qu'il y aura un ralentissement de cette croissance...
Nous remarquons que la fecondité des femmes est très liée à leur niveau d'instruction. Les mieux éduquées font moins d'enfants, et ce sont les analphabètes qui en font le plus. Et la différence semble assez sensible car l'année où cette enquête a été realisée, par exemple une femme analphabète avait en moyenne 6,5 enfants, c'est qui est beaucoup. Une femme ayant fait l'école primaire avait en moyenne 5,4 enfants, et celle ayant fréqeunté l'enseignement secondaire ou supérieur était mère de trois enfants. Il existe depuis les dix dernières années une dynamique très forte de scolarisation à Madagascar. Des jeunes générations de plus en plus instruites remplacent les vieilles générations, généralement analphabètes. Or, quand le niveau d'éducation augmente, la natalité diminue de façon mécanique. C'est ce qui est en train de se passer en ce moment. Madagascar se trouve dans une phase de transition démographique.
• Quelle sera donc la situation dans quarante ans, selon votre scénario ?
La tendance observée actuellement va s'accélerer dans les prochaines années. L'indice de fécondité, c'est-à-dire le nombre moyen d'enfants qu'une femme met au monde, qui est très élevé avec 4,7 enfants, va beaucoup diminuer et de manière très régulière pour arriver à 2,4 enfants dans quarante ans. En 2050, la fécondité à Madagascar se rapprochera de ce qu'il faut pour que la génération se renouvelle. Quand on pense que la France se retrouve aujourd'hui avec un indice de fécondité de 2,02.
• Y a-t-il un nombre d'habitants idéal par rapport à la superficie d'un pays comme Madagascar ?
Il est difficile de définir un nombre idéal de population. Des pays comme Hong Kong, le Vatican, ou Singapour ont une densité de la population très élevée mais dont le niveau de vie est excellent. D'un autre côté, les pays comme l'Egypte et l'Indonésie ont une densité de population très élevée et un niveau de vie bas. On ne peut pas généraliser, il n'y a pas de règles générales. Une population doit augmenter, mais il faut que cet accroissement suive un rythme soutenable, pas trop élevé par rapport à l'augmentation des ressources.
• Des analyses plus économiques soutiennent qu'un nombre de population élevé équivaut à un plus grand marché, permettant de créer une dynamique au niveau des entreprises et des industries. Qu'en pensez-vous ?
C'est une question intéressante mais difficile à repondre. Le marché, c'est très bien car il en faut. L'Amérique apparaît comme un marché de 350 millions d'habitants, la Chine et l'Inde dépassent chacune le milliard d'habitants. Effectivement, tout porterait à croire qu'il faut une population plus nombreuse pour créer la possibilité d'industrie. Mais il faut rester réaliste car les 20 millions de Malgaches d'aujourd'hui n'atteindront jamais le demi-milliard. Par contre, vous avez le marché commun avec l'Afrique australe, et l'océan Indien. Madagascar a toute la possibilité de trouver ce marché très large, mais avec une croissance démographique moins importante.
• Justement, pouvez-vous développer l'intérêt de cette croissance démographique faible ?
Madagascar a tout intérêt à réduire son taux de croissance démographique et c'est d'ailleurs ce qui va se passer. Cette baisse de la natalité due à la hausse du niveau d'instruction va se répercuter bénefiquement sur la croissance économique et sociale. Les femmes, qui sont concernées par l'amélioration du niveau d'instruction, deviennent de plus en plus conscientes de l'avantage d'une famille à taille réduite. Elles vont aspirer à avoir de moins en moins d'enfants. Par ailleurs, la réduction du taux de croissance démographique fera baisser les investissements sociaux que l'État et la société civile devront faire, au profit des investissements économiques lesquels serviront à accroître la production.
• Avec la limitation de naissance, n'existe-t-il pas un risque qu'il y ait un grand déséquilibre entre le nombre d'hommes et de femmes, d'ici quarante ans ?
Le seul cas de figure où il naît plus d'hommes que de femmes a lieu en Chine et en Inde. On y a beaucoup réduit la natalité et l'on y préfère avoir un garçon plutôt qu'une fille. Dans ces pays, une femme peut être tentée d'avorter si elle prend connaissance que le foetus est de sexe féminin. C'est pour avoir la chance d'avoir un garçon après. Ensuite, la parité homme-femme dans le pyramide des âges à Madagascar est parfaitement équilibré. Il y a très peu de risque qu'il y ait plus d'hommes que de femmes dans le pays.
• Beaucoup de pays développés rencontrent aujourd'hui le problème du vieillissement de leur population. Madagascar ne risque-t-il pas de rencontrer ce phénomène plus tard ?
Madagascar ne devrait pas avoir ce genre d'inquiétude. La population malgache compte aujourd'hui seulement 3% de personnes âgées de plus de 65 ans. Ce chiffre passera à 6% dans 40 ans. Madagascar est très loin du vieillissement européen.
• À quelle étape de cette transition démographique se trouve actuellement la populaiton malgache ?
Madagascar a aujourd'hui déjà accompli les 20% de l'étape initiale de cette transition. La courbe de l'indice de fécondité est déjà en train de baisser fortement. Les 80% restantes vont donc se dérouler dans les 40 années à venir. Madagascar a donc réalisé 20% de sa transition démographique pendant 40 ans, et il y aura une très forte accélération dans les autres 40 prochaines années.
Propos recueillis par
Mahefa Rakotomalala
Mardi 26 octobre 2010
Encore des militaires ( des vrais)
Trois jours après l’attaque à main armée dans la Commune rurale d’Ebelo, District d’Amboasary Sud, les Forces de l’ordre, appuyées par les fokonolona, ont appréhendé les meurtriers.
Deux militaires encore en activité dans la Compagnie de Bekily ainsi que deux civils ont été arrêtés avec leurs butins. Des objets de valeur et de l’argent liquide ont encore été trouvés avec eux. Une source locale a affirmé que, après avoir été alertés, les éléments de la Gendarmerie des Brigades environnantes (Imanombo, Tsivory, Isoanala, Beraketa, Bekily, Antanimora…) ont été mobilisés et ont quadrillé le périmètre. Parallèlement, suite à la découverte des douilles de Kalachnikov sur le lieu du crime, la Compagnie de Bekily a également pris les dispositions nécessaires. Par ailleurs, selon des renseignements, des militaires, en provenance de Bekily, ont été envoyés du côté d’Imanombo, pour récupérer des bœufs volés. Et ces mêmes militaires ont été aperçus à Marotsiraka, mercredi dernier. Or, ce sont des hommes en uniforme qui ont attaqué le véhicule transportant des marchands ambulants, en provenance d’Ebelo, jeudi dernier. A rappeler que cette attaque à main armée a coûté la vie à un ressortissant Karana, dénommé Melan, et blessé deux autres personnes, dont son fils. Les passagers, dont la majorité ne sont que des commerçants, ont été dépouillés de leurs biens et argent. La population locale réclame justice et le transfert des auteurs de ce meurtre odieux à la Maison de force de Tsiafahy. Pour mieux combattre l’insécurité dans cette zone, la population lance un appel aux autorités compétentes de mener une opération « coup de poing ». Les auteurs, ainsi que leurs complices, sont connus mais la population n’ose pas les dénoncer sans l’appui des Forces de l’ordre. A charge pour le Général Ismaël Mounibou et Alain Ramaroson, tous deux présidents de la Commission Défense nationale et Sécurité respectivement au Congrès de la Transition et au Conseil supérieur de la Transition, de prêter main forte aux Forces de l’ordre. Au secours !
Deux militaires encore en activité dans la Compagnie de Bekily ainsi que deux civils ont été arrêtés avec leurs butins. Des objets de valeur et de l’argent liquide ont encore été trouvés avec eux. Une source locale a affirmé que, après avoir été alertés, les éléments de la Gendarmerie des Brigades environnantes (Imanombo, Tsivory, Isoanala, Beraketa, Bekily, Antanimora…) ont été mobilisés et ont quadrillé le périmètre. Parallèlement, suite à la découverte des douilles de Kalachnikov sur le lieu du crime, la Compagnie de Bekily a également pris les dispositions nécessaires. Par ailleurs, selon des renseignements, des militaires, en provenance de Bekily, ont été envoyés du côté d’Imanombo, pour récupérer des bœufs volés. Et ces mêmes militaires ont été aperçus à Marotsiraka, mercredi dernier. Or, ce sont des hommes en uniforme qui ont attaqué le véhicule transportant des marchands ambulants, en provenance d’Ebelo, jeudi dernier. A rappeler que cette attaque à main armée a coûté la vie à un ressortissant Karana, dénommé Melan, et blessé deux autres personnes, dont son fils. Les passagers, dont la majorité ne sont que des commerçants, ont été dépouillés de leurs biens et argent. La population locale réclame justice et le transfert des auteurs de ce meurtre odieux à la Maison de force de Tsiafahy. Pour mieux combattre l’insécurité dans cette zone, la population lance un appel aux autorités compétentes de mener une opération « coup de poing ». Les auteurs, ainsi que leurs complices, sont connus mais la population n’ose pas les dénoncer sans l’appui des Forces de l’ordre. A charge pour le Général Ismaël Mounibou et Alain Ramaroson, tous deux présidents de la Commission Défense nationale et Sécurité respectivement au Congrès de la Transition et au Conseil supérieur de la Transition, de prêter main forte aux Forces de l’ordre. Au secours !
Sunday, October 24, 2010
Ipod ? Iphone? Ipad ? Android?
L'iPod est un baladeur numérique conçu et commercialisé depuis 2001 par Apple Computer. Au départ, simple lecteur audio, puis photos, le nouvel iPod de cinquième génération ajoute maintenant la vidéo, avec des modèles 30 Go et 60 Go plus fins et plus légers disponibles à partir de 349 €.
Le père de l'iPod est Tony Fadel, qui avait proposé auparavant son idée à Philips et Real Networks.
Fonctionnalités iPod
* Contient jusqu'à 15 000 chansons avec jaquettes d'album en couleur
* Le modèle 30 Go mesure 103,5 mm x 61,8 mm x 11 mm ; le modèle 60 Go mesure 103,5 mm x 61,8 mm x 14 mm
* Ecran TFT ultra-brillant 320 x 240 pixels de 6,35 cm
* Jusqu'à 20 heures d'autonomie
* Contient jusqu'à 25 000 photos
* Contient jusqu'à 150 heures de vidéo
* Lit les vidéos ou les diaporamas sur écran de télévision grâce au Dock en option
L'iPad est la tablette tactile d'Apple présentée le 27 janvier 2010 et commercialisée en mars 2010.
Appareil ultraplat, sans clavier, connectable à Internet, avec écran tactile multitouche, permettant de faire tourner les applications prévues pour l'iPhone et d'afficher des livres ou des journaux électroniques.
Caractéristiques techniques de l'iPad
* Dimensions : 24 x 19 x 1,3 cm
* Poids : 680 grammes en version Wi-Fi, 730 grammes avec la connexion 3G
* Ecran : LED à dalle IPS, 9,7 pouces de diagonale (24,6 cm), angle de vision 178°
* Processeur : SoC Apple à 1 GHz
* Mémoire vive : 16, 32 ou 64 Go
* Mémoire de masse : aucune
* Système d'exploitation : iPhone OS
* Connecteur externe : dock (clavier ou sortie vidéo)
* Autonomie annoncée : 10 heures
Un smartphone ou téléphone intelligent (au Québec), est un téléphone mobile disposant aussi des fonctions d'un assistant numérique personnel. Il peut aussi fournir les fonctionnalités d'agenda, de calendrier, de navigation Web, de consultation de courrier électronique, de messagerie instantanée, de GPS, etc.
Un ordiphone peut permettre d'installer des applications additionnelles sur l'appareil. Les applications peuvent être développées par le fabricant, par l'opérateur ou par n'importe quel autre éditeur de logiciel. La forte valeur ajoutée d'un ordiphone est donc sa logithèque car un logiciel créé, par exemple, pour un ordiphone Windows Mobile ne sera compatible qu'avec les appareils fonctionnant sous ce système d'exploitation.
L'iPhone est un smartphone (téléphone intelligent) conçu par Apple. Il intègre donc dans un même terminal de petite taille la téléphonie mobile et les fonctionnalités de base d'un ordinateur, comme l'accès à Internet, la bureautique, le multimédia et les jeux.
Android est un système d’exploitation Open Source pour smartphones, PDA et terminaux mobiles conçu par Android, une startup rachetée par Google, et annoncé officiellement le 15 novembre 2007. Afin de promouvoir ce système d’exploitation ouvert, Google a su fédérer autour de lui une trentaine de partenaires réunis au sein de l’Open Handset Alliance. Ils ont comme principaux concurrents Apple avec iPhone OS qui équipe l’iPhone, Research In Motion avec BlackBerry OS, Palm avec Nova ou webOS, Microsoft et son Windows Mobile, Nokia avec Symbian OS, libéré en 2008, et bien sûr OpenMoko, le projet dont les spécifications logicielles et matérielles sont ouvertes.
Android doit son nom à la startup éponyme spécialisée dans le développement d’applications mobiles que Google a rachetée en août 2005. Le logiciel, qui avait été surnommé gPhone par les rumeurs de marchés, sera proposé gratuitement aux fabricants de téléphones mobiles, ce qui devrait faciliter son adoption.
L’opportunité d’intégrer un système d’exploitation puissant, gratuit et pouvant s’enrichir d’applications tierces à son matériel électronique a ouvert la route à plusieurs projets.Vous avez peut être constaté un changement dans l’interface de votre Android Market. Si ce n’est pas le cas, ne vous inquiétez-pas, ça va venir. Pour ceux qui ont constaté des changements, c’est normal ! Google est en train de faire une mise à jour « hot update » sur Android Market. Hot Update signifie que vous n’avez pas besoin de faire quoi que ce soit, la MAJ se fait toute seule.
Dans cette mise à jour, vous trouverez des fonctionnalités du Market qui n’étaient réservées que pour les appareils sous Froyo, comme l’option qui permet de mettre à jour automatiquement les applications téléchargées ou l’affichage des fiches d’applications par onglets.
Android équipe maintenant des cadres photos, des tablettes tactiles, des netbooks, des voitures, des smartbooks et prochainement des Walkman Sony.
Le père de l'iPod est Tony Fadel, qui avait proposé auparavant son idée à Philips et Real Networks.
Fonctionnalités iPod
* Contient jusqu'à 15 000 chansons avec jaquettes d'album en couleur
* Le modèle 30 Go mesure 103,5 mm x 61,8 mm x 11 mm ; le modèle 60 Go mesure 103,5 mm x 61,8 mm x 14 mm
* Ecran TFT ultra-brillant 320 x 240 pixels de 6,35 cm
* Jusqu'à 20 heures d'autonomie
* Contient jusqu'à 25 000 photos
* Contient jusqu'à 150 heures de vidéo
* Lit les vidéos ou les diaporamas sur écran de télévision grâce au Dock en option
L'iPad est la tablette tactile d'Apple présentée le 27 janvier 2010 et commercialisée en mars 2010.
Appareil ultraplat, sans clavier, connectable à Internet, avec écran tactile multitouche, permettant de faire tourner les applications prévues pour l'iPhone et d'afficher des livres ou des journaux électroniques.
Caractéristiques techniques de l'iPad
* Dimensions : 24 x 19 x 1,3 cm
* Poids : 680 grammes en version Wi-Fi, 730 grammes avec la connexion 3G
* Ecran : LED à dalle IPS, 9,7 pouces de diagonale (24,6 cm), angle de vision 178°
* Processeur : SoC Apple à 1 GHz
* Mémoire vive : 16, 32 ou 64 Go
* Mémoire de masse : aucune
* Système d'exploitation : iPhone OS
* Connecteur externe : dock (clavier ou sortie vidéo)
* Autonomie annoncée : 10 heures
Un smartphone ou téléphone intelligent (au Québec), est un téléphone mobile disposant aussi des fonctions d'un assistant numérique personnel. Il peut aussi fournir les fonctionnalités d'agenda, de calendrier, de navigation Web, de consultation de courrier électronique, de messagerie instantanée, de GPS, etc.
Un ordiphone peut permettre d'installer des applications additionnelles sur l'appareil. Les applications peuvent être développées par le fabricant, par l'opérateur ou par n'importe quel autre éditeur de logiciel. La forte valeur ajoutée d'un ordiphone est donc sa logithèque car un logiciel créé, par exemple, pour un ordiphone Windows Mobile ne sera compatible qu'avec les appareils fonctionnant sous ce système d'exploitation.
L'iPhone est un smartphone (téléphone intelligent) conçu par Apple. Il intègre donc dans un même terminal de petite taille la téléphonie mobile et les fonctionnalités de base d'un ordinateur, comme l'accès à Internet, la bureautique, le multimédia et les jeux.
Android est un système d’exploitation Open Source pour smartphones, PDA et terminaux mobiles conçu par Android, une startup rachetée par Google, et annoncé officiellement le 15 novembre 2007. Afin de promouvoir ce système d’exploitation ouvert, Google a su fédérer autour de lui une trentaine de partenaires réunis au sein de l’Open Handset Alliance. Ils ont comme principaux concurrents Apple avec iPhone OS qui équipe l’iPhone, Research In Motion avec BlackBerry OS, Palm avec Nova ou webOS, Microsoft et son Windows Mobile, Nokia avec Symbian OS, libéré en 2008, et bien sûr OpenMoko, le projet dont les spécifications logicielles et matérielles sont ouvertes.
Android doit son nom à la startup éponyme spécialisée dans le développement d’applications mobiles que Google a rachetée en août 2005. Le logiciel, qui avait été surnommé gPhone par les rumeurs de marchés, sera proposé gratuitement aux fabricants de téléphones mobiles, ce qui devrait faciliter son adoption.
L’opportunité d’intégrer un système d’exploitation puissant, gratuit et pouvant s’enrichir d’applications tierces à son matériel électronique a ouvert la route à plusieurs projets.Vous avez peut être constaté un changement dans l’interface de votre Android Market. Si ce n’est pas le cas, ne vous inquiétez-pas, ça va venir. Pour ceux qui ont constaté des changements, c’est normal ! Google est en train de faire une mise à jour « hot update » sur Android Market. Hot Update signifie que vous n’avez pas besoin de faire quoi que ce soit, la MAJ se fait toute seule.
Dans cette mise à jour, vous trouverez des fonctionnalités du Market qui n’étaient réservées que pour les appareils sous Froyo, comme l’option qui permet de mettre à jour automatiquement les applications téléchargées ou l’affichage des fiches d’applications par onglets.
Android équipe maintenant des cadres photos, des tablettes tactiles, des netbooks, des voitures, des smartbooks et prochainement des Walkman Sony.
Saturday, October 23, 2010
Un accueil grandiose se prépare pour le retour de Ratsiraka
D'une manière particulière, voire solennelle, l'amiral Didier Ratsiraka sera accueilli dans la capitale après huit ans d'exil en terre française. Un événement, rappelant son arrivée au pays en 1996 suite à la chute du régime des Forces vives, se prépare en attendant la fixation de la date de son retour.
Des indiscrétions ont avancé que l'amiral sera attendu à l'aéroport international d'Ivato à la fin de ce mois. Il compterait fêter son 74e anniversaire à Madagascar, le 4 novembre. « Ses partisans en province rejoindront la capitale pour l'accueillir et lui manifester leur attachement. Cela impose une sérieuse coordination logistique », a confié une source proche de l'organisation.
Cinq jours avant
Jointe au téléphone, Ramisandrazana Rakotosoa a avancé que l'accueil de l'ancien président sera cette fois plus chaleureux qu'en 1996. Elle a confirmé la venue des partisans issus des quatre coins de l'Île à Tana, pour les retrouvailles. Cependant, elle n'a pas voulu faire de commentaires quant au jour de l'arrivée de l'amiral. « Même lui n'a pas pu en parler. Mais j'ai dit que tout le monde sera mis au courant cinq jours avant son retour », a-t-elle déclaré. Le programme de Didier Ratsiraka dépend essentiellement de l'amélioration de l'état de santé de son fils Xavier.
De son côté, le chef de délégation de la mouvance Ratsiraka, Ange Andrianarisoa, a affirmé que personne ne connaît le moment où l'ancien chef d'État va rentrer au pays.
En ce qui concerne la mobilisation des partisans en vue de l'accueil de Didier Ratsiraka à Ivato, Ange Andrianarisoa a affirmé que ceux qui veulent se rendre à Ivato s'organisent comme ils veulent.
En fait, le déplacement de l'ancien Premier ministre Tantely Andrianarivo dans les régions peut s'analyser comme une préparation de l'opinion sur le retour des exilés, dont Didier Ratsiraka.
Contrairement à l'année 1996, le chanteur Rossy ne ferait pas partie des artistes qui pourraient assurer l'animation de l'événement. Il est déjà parti à l'étranger pour reprendre ses activités dans le monde musical international.
Fano Rakotondrazaka
Des indiscrétions ont avancé que l'amiral sera attendu à l'aéroport international d'Ivato à la fin de ce mois. Il compterait fêter son 74e anniversaire à Madagascar, le 4 novembre. « Ses partisans en province rejoindront la capitale pour l'accueillir et lui manifester leur attachement. Cela impose une sérieuse coordination logistique », a confié une source proche de l'organisation.
Cinq jours avant
Jointe au téléphone, Ramisandrazana Rakotosoa a avancé que l'accueil de l'ancien président sera cette fois plus chaleureux qu'en 1996. Elle a confirmé la venue des partisans issus des quatre coins de l'Île à Tana, pour les retrouvailles. Cependant, elle n'a pas voulu faire de commentaires quant au jour de l'arrivée de l'amiral. « Même lui n'a pas pu en parler. Mais j'ai dit que tout le monde sera mis au courant cinq jours avant son retour », a-t-elle déclaré. Le programme de Didier Ratsiraka dépend essentiellement de l'amélioration de l'état de santé de son fils Xavier.
De son côté, le chef de délégation de la mouvance Ratsiraka, Ange Andrianarisoa, a affirmé que personne ne connaît le moment où l'ancien chef d'État va rentrer au pays.
En ce qui concerne la mobilisation des partisans en vue de l'accueil de Didier Ratsiraka à Ivato, Ange Andrianarisoa a affirmé que ceux qui veulent se rendre à Ivato s'organisent comme ils veulent.
En fait, le déplacement de l'ancien Premier ministre Tantely Andrianarivo dans les régions peut s'analyser comme une préparation de l'opinion sur le retour des exilés, dont Didier Ratsiraka.
Contrairement à l'année 1996, le chanteur Rossy ne ferait pas partie des artistes qui pourraient assurer l'animation de l'événement. Il est déjà parti à l'étranger pour reprendre ses activités dans le monde musical international.
Fano Rakotondrazaka
Pour résoudre la crise , l'état ne devrait plus reculer
Il semblerait que cette fois ci, le régime transitoire tient le bon filon pour sortir le Pays de la crise. Abandonnant les discussions et négociations infructueuses, il a décidé de poursuivre son chemin sans se laisser distraire par les manœuvres de déstabilisations et les pressions de toute part.
Les différentes élections prévues vont se tenir prochainement avec le référendum constitutionnel qui va ouvrir le bal. Face à cette évolution de la situation, les détracteurs du régime semblent plus bruyants que d’habitude et cherchent les moyens de tout faire échouer.
Clément Ravalisaona, parlementaire et président du parti Ame (Antoko miombon’ezaka) estime pour sa part que malgré la nécessité d’un éventuel rapprochement et un dialogue entre le régime et les autres parties, l’Etat ne devrait plus reculer. Selon ses explications : « nous prônons toujours qu’il est nécessaire de dialoguer pour trouver une solution à cette impasse, toutefois, le dialogue et les éventuelles négociations que le régime transitoire pourrait faire avec les membres de l’opposition ne devraient pas le conduire à reculer dans le processus déjà engagé. Tout en reconnaissant l’utilité de la discussion et le fait de trouver un terrain d’entente, nous estimons que l’Etat doit maintenir les dates des élections et organiser ces dernières comme prévu ». Relativement à la question de l’amnistie, le président du parti Ame semble abonder dans le sens de ceux qui estiment que la question y afférente ne devrait pas être discutée par les actuels membres du Parlement. Il avance : « je ne peux m’empêcher de poser la question si les parlementaires actuels sont les mieux placés pour décider de cette amnistie ou s’il ne vaut pas mieux laisser cela aux parlementaires élus. C’est un sujet délicat et puis une amnistie sélective nécessite que l’on revoie le cas des concernés un à un. De plus, ce sont ces derniers, dont certains ont peut être été accusés à tort, qui doivent demander explicitement à ce que leur jugement soit révisé après un réexamen de leurs cas. Pour ce faire, il faut du temps et une mûre réflexion afin de ne pas cultiver l’impunité ni de rendre des décisions injustes pour certains ».
Il est vrai que l’amnistie traite de sujet délicat et il y a beaucoup en jeu. Il faut ainsi faire preuve de vigilance en le traitant et surtout ne pas prendre des décisions précipitées.
Recueillis par Efra Zanatsoa
Les différentes élections prévues vont se tenir prochainement avec le référendum constitutionnel qui va ouvrir le bal. Face à cette évolution de la situation, les détracteurs du régime semblent plus bruyants que d’habitude et cherchent les moyens de tout faire échouer.
Clément Ravalisaona, parlementaire et président du parti Ame (Antoko miombon’ezaka) estime pour sa part que malgré la nécessité d’un éventuel rapprochement et un dialogue entre le régime et les autres parties, l’Etat ne devrait plus reculer. Selon ses explications : « nous prônons toujours qu’il est nécessaire de dialoguer pour trouver une solution à cette impasse, toutefois, le dialogue et les éventuelles négociations que le régime transitoire pourrait faire avec les membres de l’opposition ne devraient pas le conduire à reculer dans le processus déjà engagé. Tout en reconnaissant l’utilité de la discussion et le fait de trouver un terrain d’entente, nous estimons que l’Etat doit maintenir les dates des élections et organiser ces dernières comme prévu ». Relativement à la question de l’amnistie, le président du parti Ame semble abonder dans le sens de ceux qui estiment que la question y afférente ne devrait pas être discutée par les actuels membres du Parlement. Il avance : « je ne peux m’empêcher de poser la question si les parlementaires actuels sont les mieux placés pour décider de cette amnistie ou s’il ne vaut pas mieux laisser cela aux parlementaires élus. C’est un sujet délicat et puis une amnistie sélective nécessite que l’on revoie le cas des concernés un à un. De plus, ce sont ces derniers, dont certains ont peut être été accusés à tort, qui doivent demander explicitement à ce que leur jugement soit révisé après un réexamen de leurs cas. Pour ce faire, il faut du temps et une mûre réflexion afin de ne pas cultiver l’impunité ni de rendre des décisions injustes pour certains ».
Il est vrai que l’amnistie traite de sujet délicat et il y a beaucoup en jeu. Il faut ainsi faire preuve de vigilance en le traitant et surtout ne pas prendre des décisions précipitées.
Recueillis par Efra Zanatsoa
De plus en plus fort
Les bandits ont de nouveau frappé dans le Sud de l’Ile. Un ressortissant Karana vient, en effet, d’être abattu, jeudi dernier, dans la Commune d’Ebelo, District d’Amboasary -Sud et deux autres personnes sont gravement blessées. Les passagers ont été également dépouillés de leurs biens.
Scène horrible, jeudi après - midi dernier, dans la Commune rurale d’Ebelo. Quatre bandits, armés de deux kalachnikov et de deux pistolets automatiques, ont attaqué une voiture transportant des commerçants et de simples passagers en provenance d’Ebelo et qui allaient rejoindre Tsivory. A mi - chemin, vers 15h, le véhicule a été stoppé par des hommes en uniforme. Au moment où le chauffeur s’est arrêté, les bandits ont tiré sur les passagers. Le bilan est très lourd : un ressortissant Karana, et non moins propriétaire de la voiture, a été tué sur le coup tandis que son fils et une autre personne sont grièvement blessés. Mais, selon les témoins, leurs vies ne sont pas en danger.
Terrorisés, les autres passagers n’ont rien pu faire. Les assaillants ont dérobé l’argent et les objets de valeur, dont des bijoux en or et en argent sans compter des marchandises. Selon les estimations, les pertes s’élèvent à plusieurs centaines de millions de nos francs. Un fusil de chasse, de marque Baïkal, a été également emporté par les bandits. En dehors de ces ressortissants Karana et des commerçants, le Délégué d’Arrondissement de la Commune rurale d’Ebelo, ainsi que le vétérinaire opérant dans cette zone, figurent parmi les victimes.
Sept étuis de Kalachnikov…récupérés
Après le départ des assaillants, les victimes ont donné l’alerte aux éléments de la Brigade de la Gendarmerie d’Ebelo se trouvant à une dizaine de kilomètres du lieu du drame. Quelques heures après, les Gendarmes sont arrivés sur les lieux, mais les agresseurs avaient déjà pris la poudre d’escampette. Ils n’ont pu ainsi que constater les dégâts. Toutefois, ils ont récupéré des indices sérieux et utiles pour la suite des enquêtes. Les bérets noirs ont trouvé sur le lieu 7 étuis de kalachnikov dont le lotissement est de 61 - 98. Ces indices pourraient aider les enquêteurs afin d’appréhender les brigands.
Une course - poursuite a été engagée par les Gendarmes, appuyés par plus de deux cents personnes. Mais, à cause d’une forte pluie, les traces des assaillants ont été effacées à une vingtaine de kilomètres du lieu du sinistre. Hier, les autres éléments des Brigades de la Gendarmerie aux alentours ont prêté main forte, après avoir reçu l’alerte. Une chasse à l’homme est actuellement engagée pour trouver les bandits. Les victimes ont vivement souhaité l’utilisation des hélicoptères de l’Armée pour faciliter la traque. La question est de savoir si les assaillants sont de vrais ou de faux militaires. La population de la partie Nord du District d’Amboasary vit désormais dans une peur bleue. Une opération musclée s’impose ! Ainsi, elle lance un appel de détresse face à la recrudescence des actes de banditisme. Lors de son passage dans cette ville, le Premier ministre Camille Vital a déjà promis à la population locale de rétablir l’ordre. La balle est désormais dans son camp.
T. Maharavo
Scène horrible, jeudi après - midi dernier, dans la Commune rurale d’Ebelo. Quatre bandits, armés de deux kalachnikov et de deux pistolets automatiques, ont attaqué une voiture transportant des commerçants et de simples passagers en provenance d’Ebelo et qui allaient rejoindre Tsivory. A mi - chemin, vers 15h, le véhicule a été stoppé par des hommes en uniforme. Au moment où le chauffeur s’est arrêté, les bandits ont tiré sur les passagers. Le bilan est très lourd : un ressortissant Karana, et non moins propriétaire de la voiture, a été tué sur le coup tandis que son fils et une autre personne sont grièvement blessés. Mais, selon les témoins, leurs vies ne sont pas en danger.
Terrorisés, les autres passagers n’ont rien pu faire. Les assaillants ont dérobé l’argent et les objets de valeur, dont des bijoux en or et en argent sans compter des marchandises. Selon les estimations, les pertes s’élèvent à plusieurs centaines de millions de nos francs. Un fusil de chasse, de marque Baïkal, a été également emporté par les bandits. En dehors de ces ressortissants Karana et des commerçants, le Délégué d’Arrondissement de la Commune rurale d’Ebelo, ainsi que le vétérinaire opérant dans cette zone, figurent parmi les victimes.
Sept étuis de Kalachnikov…récupérés
Après le départ des assaillants, les victimes ont donné l’alerte aux éléments de la Brigade de la Gendarmerie d’Ebelo se trouvant à une dizaine de kilomètres du lieu du drame. Quelques heures après, les Gendarmes sont arrivés sur les lieux, mais les agresseurs avaient déjà pris la poudre d’escampette. Ils n’ont pu ainsi que constater les dégâts. Toutefois, ils ont récupéré des indices sérieux et utiles pour la suite des enquêtes. Les bérets noirs ont trouvé sur le lieu 7 étuis de kalachnikov dont le lotissement est de 61 - 98. Ces indices pourraient aider les enquêteurs afin d’appréhender les brigands.
Une course - poursuite a été engagée par les Gendarmes, appuyés par plus de deux cents personnes. Mais, à cause d’une forte pluie, les traces des assaillants ont été effacées à une vingtaine de kilomètres du lieu du sinistre. Hier, les autres éléments des Brigades de la Gendarmerie aux alentours ont prêté main forte, après avoir reçu l’alerte. Une chasse à l’homme est actuellement engagée pour trouver les bandits. Les victimes ont vivement souhaité l’utilisation des hélicoptères de l’Armée pour faciliter la traque. La question est de savoir si les assaillants sont de vrais ou de faux militaires. La population de la partie Nord du District d’Amboasary vit désormais dans une peur bleue. Une opération musclée s’impose ! Ainsi, elle lance un appel de détresse face à la recrudescence des actes de banditisme. Lors de son passage dans cette ville, le Premier ministre Camille Vital a déjà promis à la population locale de rétablir l’ordre. La balle est désormais dans son camp.
T. Maharavo
A l’issue du lancement officiel du projet « Tsena mora mitsinjo ny Malagasy » au Gymnase couvert Mahamasina, le Président Andry Rajoelina a accordé une brève interview à la presse présente, durant laquelle il a fait un grand tour d’horizon sur le contexte politique actuel et dont la principale déclaration a trait à son refus de se rendre à Nosy Be pour une éventuelle rencontre entre les 4 Chefs de file des mouvances en vue de faire sortir le pays de l’impasse.Il a avancé qu’« outre le projet Tsena mora , le projet de construction de logements à plus bas prix sera également lancé d'iciquelques semaines. Entre autres, un autre projet qui fera d’Antananarivo, une Capitale moderne, se réalisera dans les prochains jours ».
Questionné sur la mise en place d’un Gouvernement de transition, le Président Rajoelina a souligné que « le référendum constitutionnel devrait se tenir dans l’apaisement et l’équipe gouvernementale devrait également travailler dans le calme pour que les résultats du scrutin sortent en temps voulu. A cet effet, le Gouvernement dit d’union nationale ne pourrait voir le jour qu’après le 17 novembre ».
Si l’opposition fait tout pour que le référendum du 17 novembre prochain ne se tienne pas, l’équipe du pouvoir actuel pourtant ne semble pas fléchir et travaille d’arrache - pied dans le principal objectif que non seulement le référendum ait bel et bien lieu mais également, que le « Oui » gagne, avec une large participation de l’électorat.
Amnistie, affaire du législatif
Sur la question d’amnistie, le Président Andry Rajoelina a donné sa version tout en soulignant que « les deux Chambres de l’Institution législative se chargent de cette question ». Et d’indiquer en passant que « le Cst ainsi que le Ct illustrent dans leur composition l’inclusivité de l’actuel pouvoir de Transition et que demande le Peuple, et ceci a permis aux bénéficiaires de cette question d’amnistie de défendre leur cause ». Alors que la Cnosc voit d’un autre œil cette nouvelle forme d’inclusivité et projette de rappeler les 4 Chefs de file de mouvances, à savoir Marc Ravalomanana, Didier Ratsiraka, Albert Zafy et Andry Rajoelina à regagner la table ronde, à la différence des précédentes rencontres qui ont eu lieu sous d’autres cieux et sous l’égide de la Sadc ainsi que ses émissaires taxés de partialité en faveur de l’ancien Président Marc Ravalomanana, celle - ci se tiendra à Nosy Be selon les explications des membres de la Cnosc et Serge Zafimahova dit avoir l’aval des entités religieuses et des membres du « Raiamandreny mijoro ».
Mais ferme et déterminé, le Président Rajoelina a fait savoir son refus de se rendre à Nosy Be et a indiqué que « libres à ceux qui envisagent de faire du tourisme de se déplacer pour Nosy Be, mais je ne serai pas de la partie ». A cet effet, sa conviction rappelle sa déclaration avant de se rendre à Pretoria dans le principal objectif de rencontrer les chefs de files des trois autres mouvances, « ce déplacement sera la dernière tentative de recherche de sortie de crise entre les 4 chefs de file et en cas d’échec, Pretoria II n’aura pas lieu ».
Par ailleurs, il a avancé que « la Communauté internationale exige pour accorder sa reconnaissance, l’inclusivité, et je ne vois pas d’autre schéma d’inclusivité que celui appliqué actuellement, alors pourquoi se rendre à Nosy Be ».
Si la Cnosc se croit pourvue de tout le pouvoir de persuasion pour que les 4 Chefs de file se rendent à Nosy Be, le niet du Président Rajoelina est désormais garanti mais rien n’indique jusqu’ici que Marc Ravalomanana viendra également.
Recueillis par Corinne R.
Deux survivants après le crash de la compagnie aerienne Filair du Congo
C'est juste avant l'atterrissage, c'est à dire à 500m de la piste, que le vol let-410 de la compagnie aérienne Filair du Congo s'est écrasé près de la ville de Bandundu, causant la mort de 20 passagers dont les membres de l'équipage, le pilote et le co-pilote de nationalité Belge.
L'enquête penche rapidement pour la thèse de la panne sèche.
Cependant, la cause serait en fait tout autre. Sur la foi du témoignage de l'unique survivant du drame, il apparait que l'un des passagers aurait introduit illégalement un reptile dans l'appareil. L'animal, un crocodile qui devait être vendu au marché comme viande de brousse, se serait évadé du sac dans lequel il était enfermé.
Pris de panique à la vue du saurien, qui se promenait dans les travées, les hôtesses se seraient précipitées vers le poste de pilotage pour y trouver refuge.Très mauvaise idée, car l'ensemble des passagers suivirent le mouvement causant le déséquilibre de l'appareil et le crash mortel qui s'ensuivit.
Dans les décombres de l'avion les secours n'ont retrouvé vivant qu'un seul des passagers et... le crocodile qui fût abattu sur place.
Tim Atkinson, du département des transports anglais, a déclaré qu'il serait "vraiment improbable" que cette explication soit la bonne, mais qu'il ne "pouvait pas l'exclure complètement". "Si c'était la cause de l'accident, ce serait vraiment extraordinaire", a-t-il ajouté, rapporte l'agence belge Belga.
Presque toutes les grandes compagnies aériennes transportent des animaux vivants. Cela se passe dans les soutes pressurisées et les animaux sont emballés suivant la réglementation IATA qui est particulèrement stricte sur le sujet.
Friday, October 22, 2010
Puisqu'il faut dire, puisqu'il faut parler de soi
Puisque ton cur ne brûle plus comme autrefois
Même si l'amour, je crois, ne se dit pas
Mais puisqu'il faut parler alors écoute-moi
Mais je n'ai que mon âme
Pour te parler de moi
Oh juste mon âme
Mon âme et ma voix
Si fragiles flammes
Au bout de mes doigts
Dérisoires armes
Pour parler de moi
Même si tu dis que je fais partie de toi
Que notre histoire nous suivra pas à pas
Je sais tellement que l'amour a ses lois
S'il faut le sauver alors écoute-moi
Mais je n'ai que mon âme
Pour te parler de moi
Oh juste mon âme
Mon âme et ma voix
Et mon corps qui s'enflamme
Au son de ta voix
Je ne suis qu'une femme
Qui t'aime tout bas
Mais que Dieu me damne
Si j'oublie ma voie
Que la vie me condamne
Si tu n'es plus ma loi
Et s'éteint cette flamme
Qui brûle pour toi
Je n'ai que mon âme
Pour parler de moi
Je n'ai que mon âme
Pour parler de moi
Puisque ton cur ne brûle plus comme autrefois
Même si l'amour, je crois, ne se dit pas
Mais puisqu'il faut parler alors écoute-moi
Mais je n'ai que mon âme
Pour te parler de moi
Oh juste mon âme
Mon âme et ma voix
Si fragiles flammes
Au bout de mes doigts
Dérisoires armes
Pour parler de moi
Même si tu dis que je fais partie de toi
Que notre histoire nous suivra pas à pas
Je sais tellement que l'amour a ses lois
S'il faut le sauver alors écoute-moi
Mais je n'ai que mon âme
Pour te parler de moi
Oh juste mon âme
Mon âme et ma voix
Et mon corps qui s'enflamme
Au son de ta voix
Je ne suis qu'une femme
Qui t'aime tout bas
Mais que Dieu me damne
Si j'oublie ma voie
Que la vie me condamne
Si tu n'es plus ma loi
Et s'éteint cette flamme
Qui brûle pour toi
Je n'ai que mon âme
Pour parler de moi
Je n'ai que mon âme
Pour parler de moi
L'argent n'a pas d'odeur....
Après la Lybie, la Turquie, Madagascar s'ouvre encore un peu plus à l'Orient avec la remise sur les rails des relations avec la République Islamique d'Iran. Alors que les nations occidentales traditionnelles gèlent leur relation diplomatique faute de reconnaissance internationale officielle, certains pays sont moins regardants. Mais après tout, rien n'empêche les relations bilatérales entre Madagascar et n'importe quelle nation. Même l'Iran ? Quand on sait que les intentions de l'Iran sont de se doter de l'arme nucléaire, quand on sait que son leader Mahmoud Ahmadinejad veut la disparition d'Israel, des Etats Unis et en fin de compte de tous pays "infidèles" , il faut se poser des questions sur les motivations de la République Islamique d'Iran à travailler avec Madagascar ? Deux hypothèses possibles : la première est de se fournir en uranium dans le cadre de ses projets nucléaires. L'Iran est très surveillé dans son approvisionnement et passer par Madagascar pourrait être autrement plus discret d'autant que Madagascar a un besoin en financement important. La seconde hypothèse est plus dans l'idéologie religieuse. Le principe de l'islamisation des nations n'est pas une théorie pour un leader musulman comme Mahmoud Ahmadinejad. C'est un vrai projet "politique" réel à concrétiser. Faire de Madagascar une nouvelle base d'expansion islamique dans la région de l'océan indien, est tout à fait plausible. Nouer des relations économiques et politiques est un premier pas facile à faire . Mais après les erreurs sous Ratsiraka à fricoter avec des gens peu recommandables ( Kim Il Sung, Kadhaffi, Brejnev...) , il serait dommage que l'on retombe dans des travers qui apporteront peut être espèces sonnantes et trébuchantes pour quelques uns mais à quel prix pour le pays ? Celui d'être fiancé à l'Iran comme nous l'étions à la Corée du Nord ? En tous les cas, nous, on refuserait de se rendre complice d'un régime qui prone l'élimination physique de plusieurs nations et dont le secret espoir est de balancer une bombe nucléaire quelque part...grace à notre uranium !
Sobika
Sobika
Pas de carburant ? Une seule solution le SYSTEME D
Votre carburant habituel n'est plus disponible. Que faire ? Si votre voiture roule à l'essence, il est possible d'opter indifféremment pour le Sans Plomb 95 ou le Sans Plomb 98. S'il reste du carburant SP95-E10 (comprenant 10 % d'éthanol), on peut se servir sans problème à condition que le véhicule soit âgé de moins de dix ans. S'il a été immatriculé avant 2000, il faudra se renseigner, notamment sur ce site du ministère de l'écologie, et, dans le doute, s'abstenir. En principe, 60 % des moteurs essence sont compatibles avec du SP95-E10.
Si vous avez une voiture diesel, il n'y a pas d'autre solution que la pompe. En revanche, quelques échappatoires existent mais il faudra enfreindre la loi. Le fuel domestique fonctionne parfaitement à la place du gazole des stations-service, si ce n'est qu'il est parfaitement illégal d'en mettre dans son moteur (c'est la raison pour laquelle il n'a pas la même couleur que le gazole). Autre possibilité, tout aussi illicite puisqu'elle ignore la Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) : recourir à de l'huile alimentaire.
Au début du XXe siècle, Rudolph Diesel mit au point son fameux moteur sans bougies en le faisant fonctionner avec de l'huile de lin. De la même manière, les moteurs diesel peuvent accepter de l'huile de colza ou de tournesol. Depuis plusieurs années, des groupes de pression, dont le bien nommé collectif Roule ma frite, militent pour le recours à l'huile de friture qui, au fond, n'est autre qu'un biocarburant.
Après avoir fait la tournée des restaurants, il faut bien filtrer l'huile avant de la verser dans son réservoir. Il est, en principe, possible de rouler en mélangeant jusqu'à plus de 30 % de produits oléagineux avec le gazole sans réaliser de modifications techniques au niveau du moteur. Attention ! Il est plus que recommandé d'éviter ce genre d'expérience avec un moteur diesel récent à injection directe haute-pression (type Hdi, Dti, TDI) car les injecteurs tolèreront très, très mal la viscosité élevée du carburant.
Dernière précision : une voiture alimentée avec ce genre de combustible se repère facilement. Elle peut dégager une fumée noire caractéristique et, surtout, laisse flotter dans son sillage une forte odeur de friture...
Si vous avez une voiture diesel, il n'y a pas d'autre solution que la pompe. En revanche, quelques échappatoires existent mais il faudra enfreindre la loi. Le fuel domestique fonctionne parfaitement à la place du gazole des stations-service, si ce n'est qu'il est parfaitement illégal d'en mettre dans son moteur (c'est la raison pour laquelle il n'a pas la même couleur que le gazole). Autre possibilité, tout aussi illicite puisqu'elle ignore la Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) : recourir à de l'huile alimentaire.
Au début du XXe siècle, Rudolph Diesel mit au point son fameux moteur sans bougies en le faisant fonctionner avec de l'huile de lin. De la même manière, les moteurs diesel peuvent accepter de l'huile de colza ou de tournesol. Depuis plusieurs années, des groupes de pression, dont le bien nommé collectif Roule ma frite, militent pour le recours à l'huile de friture qui, au fond, n'est autre qu'un biocarburant.
Après avoir fait la tournée des restaurants, il faut bien filtrer l'huile avant de la verser dans son réservoir. Il est, en principe, possible de rouler en mélangeant jusqu'à plus de 30 % de produits oléagineux avec le gazole sans réaliser de modifications techniques au niveau du moteur. Attention ! Il est plus que recommandé d'éviter ce genre d'expérience avec un moteur diesel récent à injection directe haute-pression (type Hdi, Dti, TDI) car les injecteurs tolèreront très, très mal la viscosité élevée du carburant.
Dernière précision : une voiture alimentée avec ce genre de combustible se repère facilement. Elle peut dégager une fumée noire caractéristique et, surtout, laisse flotter dans son sillage une forte odeur de friture...
Mila fitandremana be ao Tomasina
Vola tokony haloha ao amin'ny « douane » Toamasina mba hamoahana entana no napoakan'ny dimy lahy mitam-basy, omaly tolakandro tokony ho tamin'ny roa ora. Nandeha fiara ireo jiolahy ary efa niandriandry ny fahatongavan'ilay olona handoa vola izy tao anaty fiara ihany koa. Mbola niandriandry teo ivelan'ny « douane » io olona io no nitsofohan-dry zalahy tao anatin'ny fiarany miaraka amin'ny fanambanana basy. Tsy nisy resaka fa dia lasa ny volabe. Nandeha scooter tampoka indray ireo jiolahy rehefa nitsoaka
JC Steve
JC Steve
Thursday, October 21, 2010
Tintin au Congo... devant la justice Belge
Jeannette Kavira Mapera, ministre congolaise de la Culture a défendu "Tintin au Congo" qu'elle qualifie de chef d'oeuvre, lors de l'inauguration du premier festival de la bande dessinée qui se tient à Kinshasa. "Tintin au Congo" est au coeur d'un procès en cours à Bruxelles.
Bienvenu Mbutu Mondondo, un Congolais, estime cette BD raciste et en demande l'interdiction depuis plusieurs années.
Interrogée par la radio Rfi (Radio France International), la ministre a pris ardemment la défense de cette BD la qualifiant de "chef d'oeuvre" et que "rien de tout cela n'est justifié".
"Pour le gouvernement congolais, Tintin au Congo est un chef d'oeuvre. Cet album ne blesse en rien la culture congolaise. Aux temps anciens, lorsque ce livre a été écrit et que son créateur a été inspiré, effectivement, les Congolais ne savaient pas parler français. Jusqu'aujourd'hui, le Congolais n'est pas celui qui parle le mieux français. A cette époque là, décrite dans l'ouvrage, effectivement, pour remettre le Congolais au travail ou l'inciter à travailler, il fallait utiliser le bâton. Aujourd'hui, dans certains milieux, pour envoyer les enfants ou les adultes au champ, il faut y aller par des méthodes fortes. Nous avons estimé que c'était un procès intéressé qui n'engage pas le gouvernement congolais", a précisé la ministre congolaise de la Culture et des arts, citée par Rfi.
L'affaire "Tintin au Congo" sera de nouveau examinée par le justice bruxelloise le 22 novembre prochain.
Belga
Bienvenu Mbutu Mondondo, un Congolais, estime cette BD raciste et en demande l'interdiction depuis plusieurs années.
Interrogée par la radio Rfi (Radio France International), la ministre a pris ardemment la défense de cette BD la qualifiant de "chef d'oeuvre" et que "rien de tout cela n'est justifié".
"Pour le gouvernement congolais, Tintin au Congo est un chef d'oeuvre. Cet album ne blesse en rien la culture congolaise. Aux temps anciens, lorsque ce livre a été écrit et que son créateur a été inspiré, effectivement, les Congolais ne savaient pas parler français. Jusqu'aujourd'hui, le Congolais n'est pas celui qui parle le mieux français. A cette époque là, décrite dans l'ouvrage, effectivement, pour remettre le Congolais au travail ou l'inciter à travailler, il fallait utiliser le bâton. Aujourd'hui, dans certains milieux, pour envoyer les enfants ou les adultes au champ, il faut y aller par des méthodes fortes. Nous avons estimé que c'était un procès intéressé qui n'engage pas le gouvernement congolais", a précisé la ministre congolaise de la Culture et des arts, citée par Rfi.
L'affaire "Tintin au Congo" sera de nouveau examinée par le justice bruxelloise le 22 novembre prochain.
Belga
Wednesday, October 20, 2010
L'or rose en péril
Un million trois cent cinquante mille Euros, soit près de 19 milliards Fmg, sont en jeu aujourd’hui même. C’est l’évaluation de la valeur des quelque 270 tonnes de crevettes en attente de certification, pour la seule ville de Mahajanga, à ce jour. 1 350 000 Euros et 270 tonnes de crevettes, prêtes à l’exportation, que les autorités vétérinaires halieutiques de Mahajanga sont en train de mettre en péril avec leur grève.
Les autorités vétérinaires halieutiques de Mahajanga sont actuellement en grève. Pour appuyer leurs revendications d’ordre purement salarial, elles n’ont pas hésité à mettre en péril, d’une part, les pêcheries, pourtant en pleine crise économique, et, d’autre part, l’équilibre financier national pour qui la manne de l’or rose représente 7% du Produit intérieur brut, ou Pib.
« La manne rose qui, en outre, est l’une des principales ressources en devises du pays », selon les propres déclarations du ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, dernièrement de passage à Mahajanga.
Agrément européen en péril
Plus grave, en impliquant les services vétérinaires européens dans leurs conflits internes - par un courrier signé de leur main - et sans respecter les procédures de communication officielles, ces techniciens de l’Ash (Autorité sanitaire halieutique) mettent en péril l’agrément sanitaire général attribué par l’Union européenne (Ue), laquelle s’inquiète désormais du bon suivi des procédures de certification dans le pays et pourrait imposer un embargo. Des techniciens vétérinaires qui ont ainsi adopté un comportement jugé irresponsable, frisant même la déstabilisation, par toute une profession véritablement « prise en otage ». Cette dernière ne s’étant jamais impliquée dans le fonctionnement de cette Administration d’Etat, respectant l’intégrité requise par les normes de certification européennes. Et, jusqu’à ce jour, respectant toutes les procédures agréées. Quoi qu’il en soit, ce refus de travailler, adopté par ces inspecteurs vétérinaires, représente, aux yeux de ces opérateurs crevettiers, un déni de Droit et une violation de leurs devoirs, tant face à l’Administration générale, envers qui ils ont une responsabilité contractuelle - étant des fonctionnaires et dont l’emploi est garanti -, qu’envers la profession qui occupe la totalité de ses activités au sein de la production spécifiquement halieutique.
Une voie sans issue
Des opérateurs que nous avons contactés - qui souhaitent conserver l’anonymat par crainte de représailles, il faut bien le dire pour dénoncer le climat de chantage qui règne actuellement dans ce secteur - sont scandalisés par un tel comportement. D’une source officieuse, dans le cadre de cet événement, l’actuelle Directrice de l’Ash, officiellement mise en place après un concours organisé par L’Ue, aurait été démise verbalement de ses fonctions et remplacée par le responsable même des services techniques, lequel ne dispose pourtant pas de l’agrément requis par l’administration vétérinaire de l’Ue. Ce qui entraînerait le pays de facto dans une voie sans issue. Par ailleurs, nos investigations, auprès du ministère des Finances, nous ont permis d’apprendre que les revendications salariales des grévistes, d’où semble provenir cette crise, ne sont absolument pas recevables, tant elles échappent au cadre général des rémunérations des fonctionnaires. Cette crise ne semble donc pas être engagée sur la voie d’une résolution alors que déjà les navires se présentent au port de Mahajanga pour embarquer les conteneurs frigorifiques déjà remplis de crevettes.
De surcroît, il est déjà acquis que, en raison de l’alerte transmise à l’Ue par ces techniciens vétérinaires eux - mêmes, la totalité de ces produits sera, pour le moins, passée en contrôle renforcé à l’arrivée.
Sabordage national…
En tout cas, en cette situation de crise générale, il était attendu des services publics de soutenir les quelques segments économiques encore en activité. Mais il apparaît donc pour cette « Autorité sanitaire halieutique », pas trop loin de la profession de… marins, que, au bout du compte, le sabordage national soit plutôt de rigueur. Un service minimum a été mis en place par la structure toujours officielle et reconnue par l’Ue. Service minimum pourtant contesté par le noyau dur des grévistes. Ce comportement porte un nom : déstabilisation nationale ! Quoi qu’il en soit, les opérateurs crevettiers attendent, dès ce jour, du Gouvernement Vital de respecter ses propres devoirs et de rouvrir de suite, par quelques moyens que ce soit, y compris la réquisition, ce circuit commercial majeur pour notre économie nationale. Le Gouvernement qui, en outre, doit absolument veiller à ce que, quels que soient les problèmes intrinsèques à ses services, aucun handicap ne vienne obstruer les activités de ces opérateurs crevettiers, lesquels ont pour pratique traditionnelle de toujours respecter leurs devoirs, tant en matière fiscale qu’en respect des normes européennes auxquels ils sont affiliés. En tout cas, le marché de fin d’année représente l’enjeu immédiat de ces exportations de crevettes. Et, dans les jours à venir, les navires crevettiers, de retour chez eux avec les cales pleines, vont progressivement être désarmés. L’urgence est donc de rigueur. Que représente ainsi cette subite cessation de travail, décidée en pleine campagne d’exportations de crevettes ? Réponse : une réelle menace de fermeture des frontières de l’Union européenne pour nos produits halieutiques ! Ceci, à cause d’une simple revendication salariale que ses auteurs auraient pourtant pu présenter d’une autre manière que la grève. Quoi qu’il en soit, cette grève comporte une spécificité : trahison contre la Nation !
Recueillis par Rolly Mercia
Les autorités vétérinaires halieutiques de Mahajanga sont actuellement en grève. Pour appuyer leurs revendications d’ordre purement salarial, elles n’ont pas hésité à mettre en péril, d’une part, les pêcheries, pourtant en pleine crise économique, et, d’autre part, l’équilibre financier national pour qui la manne de l’or rose représente 7% du Produit intérieur brut, ou Pib.
« La manne rose qui, en outre, est l’une des principales ressources en devises du pays », selon les propres déclarations du ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, dernièrement de passage à Mahajanga.
Agrément européen en péril
Plus grave, en impliquant les services vétérinaires européens dans leurs conflits internes - par un courrier signé de leur main - et sans respecter les procédures de communication officielles, ces techniciens de l’Ash (Autorité sanitaire halieutique) mettent en péril l’agrément sanitaire général attribué par l’Union européenne (Ue), laquelle s’inquiète désormais du bon suivi des procédures de certification dans le pays et pourrait imposer un embargo. Des techniciens vétérinaires qui ont ainsi adopté un comportement jugé irresponsable, frisant même la déstabilisation, par toute une profession véritablement « prise en otage ». Cette dernière ne s’étant jamais impliquée dans le fonctionnement de cette Administration d’Etat, respectant l’intégrité requise par les normes de certification européennes. Et, jusqu’à ce jour, respectant toutes les procédures agréées. Quoi qu’il en soit, ce refus de travailler, adopté par ces inspecteurs vétérinaires, représente, aux yeux de ces opérateurs crevettiers, un déni de Droit et une violation de leurs devoirs, tant face à l’Administration générale, envers qui ils ont une responsabilité contractuelle - étant des fonctionnaires et dont l’emploi est garanti -, qu’envers la profession qui occupe la totalité de ses activités au sein de la production spécifiquement halieutique.
Une voie sans issue
Des opérateurs que nous avons contactés - qui souhaitent conserver l’anonymat par crainte de représailles, il faut bien le dire pour dénoncer le climat de chantage qui règne actuellement dans ce secteur - sont scandalisés par un tel comportement. D’une source officieuse, dans le cadre de cet événement, l’actuelle Directrice de l’Ash, officiellement mise en place après un concours organisé par L’Ue, aurait été démise verbalement de ses fonctions et remplacée par le responsable même des services techniques, lequel ne dispose pourtant pas de l’agrément requis par l’administration vétérinaire de l’Ue. Ce qui entraînerait le pays de facto dans une voie sans issue. Par ailleurs, nos investigations, auprès du ministère des Finances, nous ont permis d’apprendre que les revendications salariales des grévistes, d’où semble provenir cette crise, ne sont absolument pas recevables, tant elles échappent au cadre général des rémunérations des fonctionnaires. Cette crise ne semble donc pas être engagée sur la voie d’une résolution alors que déjà les navires se présentent au port de Mahajanga pour embarquer les conteneurs frigorifiques déjà remplis de crevettes.
De surcroît, il est déjà acquis que, en raison de l’alerte transmise à l’Ue par ces techniciens vétérinaires eux - mêmes, la totalité de ces produits sera, pour le moins, passée en contrôle renforcé à l’arrivée.
Sabordage national…
En tout cas, en cette situation de crise générale, il était attendu des services publics de soutenir les quelques segments économiques encore en activité. Mais il apparaît donc pour cette « Autorité sanitaire halieutique », pas trop loin de la profession de… marins, que, au bout du compte, le sabordage national soit plutôt de rigueur. Un service minimum a été mis en place par la structure toujours officielle et reconnue par l’Ue. Service minimum pourtant contesté par le noyau dur des grévistes. Ce comportement porte un nom : déstabilisation nationale ! Quoi qu’il en soit, les opérateurs crevettiers attendent, dès ce jour, du Gouvernement Vital de respecter ses propres devoirs et de rouvrir de suite, par quelques moyens que ce soit, y compris la réquisition, ce circuit commercial majeur pour notre économie nationale. Le Gouvernement qui, en outre, doit absolument veiller à ce que, quels que soient les problèmes intrinsèques à ses services, aucun handicap ne vienne obstruer les activités de ces opérateurs crevettiers, lesquels ont pour pratique traditionnelle de toujours respecter leurs devoirs, tant en matière fiscale qu’en respect des normes européennes auxquels ils sont affiliés. En tout cas, le marché de fin d’année représente l’enjeu immédiat de ces exportations de crevettes. Et, dans les jours à venir, les navires crevettiers, de retour chez eux avec les cales pleines, vont progressivement être désarmés. L’urgence est donc de rigueur. Que représente ainsi cette subite cessation de travail, décidée en pleine campagne d’exportations de crevettes ? Réponse : une réelle menace de fermeture des frontières de l’Union européenne pour nos produits halieutiques ! Ceci, à cause d’une simple revendication salariale que ses auteurs auraient pourtant pu présenter d’une autre manière que la grève. Quoi qu’il en soit, cette grève comporte une spécificité : trahison contre la Nation !
Recueillis par Rolly Mercia
Tuesday, October 19, 2010
Monday, October 18, 2010
Nirefotra indray ny baomba
Nisy ny sakana nataon'ireo mpanao fihetsiketsehana ka voatery nampiasa hery ny mpitandro filaminana.
Nisahotaka indray ny rehetra omaly teo an-drenivohitra. Raikitra mantsy ny sakoroka teo amin'ny mpitandro filaminana sy ireo mpanao fihetsiketsehana avy ao amin'ny Ankolafy Telo. Tokony ho tamin'ny sivy ora maraina dia efa tomefy olona ny arabe manolona ny lapan'ny fitsarana Anosy. Tazana nihatrana teny koa ireo mpitandro filaminana marobe. Araka ny fantatra dia ny andron'ny omaly no fotoana hanatanterahana ny fotoam-pitsarana ireo olona voarohirohy tamin'ny raharaha baomba. Tamin'ny 10 ora maraina no nigadona teny an-toerana Atoa Yves Aimé Rakotoarison saika hiatrika ny fitsarana azy. Nosakanan'ireo mpanao fihetsiketsehana marobe tsy hiditra ny efitrano fitsarana anefa izy. Fotoana fohy taorian'izay, tonga teny an-toerana ihany koa Atoa Fetison Rakoto Andrianirina ka mbola voasakan'ireo vahoaka ihany koa. Tapaka avy eo fa hanao dia-be ho eny Ambohijatovo ny rehetra.
Sakoroka
Tazana teny an-toerana ny kôlônely Ravalomanana Richard nitarika ny Emmo-Reg. Matetika no nifamaly tamin'ireo mpanao fihetsiketsehana izy tamin'izany. Nisy mihitsy aza no niteny fa voafelaky ny tehamaina izy. Ny hafa nilaza fa nianjera izy ka naratra. Rehefa nanotaniana ny mikasika izany anefa ny tenany dia nanambara fa « Tsy misy maninona ny tenany ary izy mihitsy no nanenjika ireo olona saika hisotasota sy nahery fihetsika tamin'izany ».Roso ny dia avy eo ho eny Ambohijatovo. Tazana teny an-toerana ihany koa ny Pr Zafy Albert nanotrona azy ireo. Rehefa tonga teny Ambohijatovo ireo mpanao fihetsiketsehana dia nisy ny fifampiraharahana teo amin'ny mpitandro filamianana. Nekena fa afaka miditra ao amin'ny kianja ny rehetra saingy tsy haharitra ela izany. Nisy ny fanambarana fohy, nandritra ny folo minitra teo. Nihazo ny kianjan'ny Magro Behoririka indray ny rehetra avy eo. Nony tonga teny dia tapaka fa hitohy hatrany amin'ny 67 ha ny dia. Niditra an-tsehatra anefa ny Emmo-Reg nanakana ny lalan'izy ireo. Velona ny sakoroka, tsy nitsahatra nirefotra ny baomba mandatsa-dranomaso satria nisy sakana nataon'ireo mpanao fihetsiketsehana. Tonga hatrany Ankadifotsy ny fifanenjahana. Tany amin'ny efatra ora hariva vao nilamina ny rehetra.
JUDD
En plein procès des présumés poseurs de "bombes", Didier Ratsiraka arrive au Pays demain avec probablement Ravalomanana
Bien qu'il figure dans la liste des 45 personnes qui devaient comparaître hier devant la Cour Criminelle Ordinaire (CCO), Raharinaivo Andrianantoandro, fraîchement élu président du Congrès de la transition, n'a pas fait le déplacement à Anosy. Peut-être qu'il a eu peur d'être hué par ses anciens compagnons de lutte qui étaient venus nombreux hier au tribunal. Par contre, Fetison Rakoto Andrianirina et Yves Aimé Rakotoarison ont fait le déplacement hier à Anosy, mais les partisans des trois mouvances ne leur ont pas permis de comparaître. Empêchés, ces deux leaders de la mouvance Ravalomanana ont rejoint les Zafy Albert, Lalatiana Ravololomanana, Tabera Randriamanantsoa, Satrobory et le pasteur Edouard Tsarahame, actuellement recherché, qui organisaient un meeting devant le Palais de Justice.
Renvoi. Malgré tout, la présidente de la CCO a ouvert l'audience. Parmi les 48 personnes appelées à répondre aux chefs d'inculpation liés à l'affaire « bombes artisanales » et à l'attaque contre la radio Viva, on a signalé la présence de Mejamirado Razafimihary et de Razakariasa Bernard. Sans attendre, les avocats des inculpés ont demandé le renvoi du procès pour deux raisons : leurs clients n'ont été entendus ni par les juges d'instruction, ni par la Chambre d'accusation et ils n'ont pas été préalablement notifiés des chefs d'inculpations retenus contre eux pour qu'ils puissent se défendre. « On a bafoué le droit de la défense. Nous n'avons pas pu formuler notre opposition dans le délai imparti», a fulminé hier Me Hanitra Razafimanantsoa. Devant ces vices de procédure, la CCO a prononcé le renvoi du procès « à la prochaine session ». Par ailleurs, la Cour criminelle ordinaire a également donné un avis favorable aux 13 sur les 17 demandes de LP formulées à l'audience. Me Noro Rabemananjara figure parmi ceux qui ont obtenu cette liberté provisoire.
Retour devant le Doyen des juges ? Chose curieuse, les 13 détenus qui ont obtenu la LP n'auraient pas pu recouvrer la liberté hier. Jointe au téléphone vers 18h30, Me Hanitra Razafimanantsoa a affirmé que de nouveaux chefs d'inculpation venaient d'être prononcés contre eux. « Au moment où je parle, ces 13 personnes comparaissent devant le Doyen des juges à Anosy », a fait savoir l'avocate des éléments des trois mouvances. En tout cas, force est de constater que le procès d'hier a permis aux trois mouvances de renforcer et d'intensifier leur mouvement contre le régime de Rajoelina. L'imminent retour de l'amiral Didier Ratsiraka serait-il la goutte d'eau qui va faire déborder le vase ?
D’après les informations qui nous sont parvenues, l’Amiral Didier Ratsiraka sera de retour au pays demain mercredi 20 octobre . Tout de suite après son arrivée, l’ancien président se rendra dans sa terre natale à Toamasina. Tout comme l’ancien Premier ministre, Tantely Andrianarivo qui a fait le déplacement à Ambositra le week-end dernier. En tout cas, les partisans de l’Arema préparent un accueil chaleureux pour « Deba ». Une forte mobilisation est remarquée dans plusieurs Régions de la Grande Ile. Selon certains journaux, « l’ancien président Ravalomanana rentrera dans le même avion que Didier Ratsiraka ». Et ce, bien que le Premier ministre, le Général Camille Albert Vital ait déjà annoncé qu’ « il vaut mieux que Ravalomanana reste à l’étranger durant les sept prochaines années ».
Affaire à suivre de près....
Renvoi. Malgré tout, la présidente de la CCO a ouvert l'audience. Parmi les 48 personnes appelées à répondre aux chefs d'inculpation liés à l'affaire « bombes artisanales » et à l'attaque contre la radio Viva, on a signalé la présence de Mejamirado Razafimihary et de Razakariasa Bernard. Sans attendre, les avocats des inculpés ont demandé le renvoi du procès pour deux raisons : leurs clients n'ont été entendus ni par les juges d'instruction, ni par la Chambre d'accusation et ils n'ont pas été préalablement notifiés des chefs d'inculpations retenus contre eux pour qu'ils puissent se défendre. « On a bafoué le droit de la défense. Nous n'avons pas pu formuler notre opposition dans le délai imparti», a fulminé hier Me Hanitra Razafimanantsoa. Devant ces vices de procédure, la CCO a prononcé le renvoi du procès « à la prochaine session ». Par ailleurs, la Cour criminelle ordinaire a également donné un avis favorable aux 13 sur les 17 demandes de LP formulées à l'audience. Me Noro Rabemananjara figure parmi ceux qui ont obtenu cette liberté provisoire.
Retour devant le Doyen des juges ? Chose curieuse, les 13 détenus qui ont obtenu la LP n'auraient pas pu recouvrer la liberté hier. Jointe au téléphone vers 18h30, Me Hanitra Razafimanantsoa a affirmé que de nouveaux chefs d'inculpation venaient d'être prononcés contre eux. « Au moment où je parle, ces 13 personnes comparaissent devant le Doyen des juges à Anosy », a fait savoir l'avocate des éléments des trois mouvances. En tout cas, force est de constater que le procès d'hier a permis aux trois mouvances de renforcer et d'intensifier leur mouvement contre le régime de Rajoelina. L'imminent retour de l'amiral Didier Ratsiraka serait-il la goutte d'eau qui va faire déborder le vase ?
D’après les informations qui nous sont parvenues, l’Amiral Didier Ratsiraka sera de retour au pays demain mercredi 20 octobre . Tout de suite après son arrivée, l’ancien président se rendra dans sa terre natale à Toamasina. Tout comme l’ancien Premier ministre, Tantely Andrianarivo qui a fait le déplacement à Ambositra le week-end dernier. En tout cas, les partisans de l’Arema préparent un accueil chaleureux pour « Deba ». Une forte mobilisation est remarquée dans plusieurs Régions de la Grande Ile. Selon certains journaux, « l’ancien président Ravalomanana rentrera dans le même avion que Didier Ratsiraka ». Et ce, bien que le Premier ministre, le Général Camille Albert Vital ait déjà annoncé qu’ « il vaut mieux que Ravalomanana reste à l’étranger durant les sept prochaines années ».
Affaire à suivre de près....
Sunday, October 17, 2010
Mpangalatra nodoran'ny mpianatra tamin'ny asidra teny Ankatso
Lehilahy iray manodidina ny 30 taona no voasambotry ny mpianatra teny amin'ny Cité Ankatso I omaly maraina. Voalaza fa avy nangalatra fahitalavitra tao amina trano iray teny izy no io tratra io, ka avy hatrany dia raikitra ny fifanenjehana sy ny fisamborana. Tratra ilay tovolahy ary nentin'ny mpianatra teo amin'ny tany malalaka eo amin'ny parking. Samy nilaza izay heviny momba ny hanaovana ity mpangalatra ity teo amin'izay ny rehetra, ka tao no niteny fa tokony hatolotra ny mpitandro filaminana izy. Tao kosa ny nanamafy fa tokony hofaizina avy hatrany. Nandritra izany fotoana izany dia efa nandeha ny daroka isan-karazany ary teo dia nitsiry ny hevitra fa hodorana velona ilay mpangalatra. Nisy ary ny nitondra asidra ka nandraraka izany tamin’ny vatan'ilay tovolahy iray manontolo. May avokoa ny vatany, indrindra ny kibony sy ny lamosiny ary ny hatony. Raha mbola niharitra izay nanaovan'ny mpianatra azy teo ilay mpangalatra no tonga ny avy ao amin'ny BMH naka ilay tovolahy. Tsaboina eny amin'ny HJRA izy amin'izao fotoana izao ary mbola miady amin'ny fahafatesana.
Tsara ho fantatra fa tsy vao sambany no nisy mpangalatra ka nodoran'ny mpianatra velona teny Ankatso teny. Izany araka ny voalazan'izy ireo dia hoentina hanafaizana ireo mpanao ratsy izay mirongatra tokoa tato ho ato.
Aina R.
Tsara ho fantatra fa tsy vao sambany no nisy mpangalatra ka nodoran'ny mpianatra velona teny Ankatso teny. Izany araka ny voalazan'izy ireo dia hoentina hanafaizana ireo mpanao ratsy izay mirongatra tokoa tato ho ato.
Aina R.
La canicule s'installe à Tana
Le mercure a franchi le cap des 30°C depuis près d'une semaine à Antananarivo. Il en sera encore ainsi durant les prochains jours puisque les 31°C d'hier seront encore valables aujourd'hui. Des températures caniculaires pour une population habituée à des vents frais et surtout, des températures plutôt basses par rapport aux régions côtières, en fonction des saisons. La forte chaleur n'est, cependant, enregistrée que durant la journée, puisqu'à la tombée de la nuit et au petit matin, le mercure affiche un écart de 16°C à 18°C par rapport à la température de la journée. La nuit, en effet, celle-ci chute à 13°C. Des températures auxquelles les Tananariviens sont plus habitués, notamment en période d'hiver austral.
A cette forte chaleur durant la journée et à la fraîcheur de la nuit auxquelles l'organisme doit s'habituer, s'ajoute la pollution atmosphérique. Visible dès les premières heures de la journée sous une forme de fumée sèche, elle fait suffoquer les Tananariviens et indispose sérieusement les personnes à la santé fragile ainsi que les enfants et les personnes âgées. Les irritations des voies respiratoires et les maux de tête sont les plus courants.
Ce week-end, le cap des 30°C sera toujours atteint. Au moins jusqu'à mardi, il faut ainsi s'attendre à des journées de forte chaleur, ce qui ravit les lavandières. Et prendre les dispositions qui s'imposent : vêtements légers et de couleur claire, chapeaux ou casquettes en cas d'exposition prolongée au soleil, notamment pour les enfants, sans oublier de s'hydrater souvent et ne pas attendre d'avoir soif pour boire de l'eau.
Hanitra R.
Elite GSM lance le model Techno à Madagascar
Depuis 2000, Hong - Kong produit les téléphones de marque Tecno dont l’usine se trouve en Chine. Après une décennie d’études et de production, 6 millions de téléphone Tecno par an sont vendus. Il est présent dans huit pays en Afrique, quatre pays en Asie, quatre pays en Amérique Latine. Ayant obtenu l’autorisation de l’Omert, Tecno a eu le rapport de test de téléphones portables respectant les normes internationales requises. Il est commercialisé entre 53 000 Ar et 198 000 Ar. Tous les produits Tecno sont garantis 13 mois. L’objectif est de vulgariser le téléphone portable Tecno dans toute l’Ile. Les revendeurs ont le choix entre la vente - dépôt et le paiement cash. Tecno ambitionne de gravir l’échelle internationale et de distribuer le plus grand nombre de téléphones portables en Afrique dans les cinq prochaines années. Les accessoires, la qualité de l’image, les options double sim caractérisent les téléphones mobiles Tecno. Lancé dans le pays il y a deux semaines, Elite Gsm a eu la certification de vente de Tecno venant de la Chine. Le téléphone peut fonctionner avec les puces des trois opérateurs dans la Grande Ile. Elite Gsm ne commercialisera plus de téléphones portables de marque chinoise autres que Tecno.
Design très attirant, double SIM, nombreuses options, batterie à longue durée de vie et bien d'autres avantages. Tecno, la nouvelle marque de téléphone portable que Elite GSM lance actuellement sur le marché, n'a rien à envier aux autres grandes marques présentes actuellement sur le marché. Mieux, cette marque qui fait partie du haut de gamme chinois, a le mérite de ne pas souffrir des méfaits des copies.
Fiabilité
« Il est très difficile de copier la marque Tecno, la seule qui accorde une garantie de 13 mois », devait déclarer d'ailleurs, Randriarimalala Harijaona, le jeune PDG d'Elite GSM. Une manière de rassurer les consommateurs sur la fiabilité de cette marque qui fait déjà le bonheur des accros de téléphone portable. « En deux semaines de présence sur le marché, Tecno séduit déjà le public puisque nous avons réalisé un record de vente », annonce le PDG d'Elite GSM en précisant que cette marque est aussi spécialement conçue pour les consommateurs des pays africains. « Tecno Telecom Limited avait spécialement envoyé des techniciens en Afrique et en Amérique Latine pour étudier les besoins spécifiques des utilisateurs de portables dans ces pays »
13 mois de garantie
En tout cas, Tecno, se démarque des autres marques sur plusieurs points. Tout d'abord, l'appareil qui dispose d'une batterie à longue durée de vie est livré avec les accessoires comme la housse et même la carte mémoire. Ensuite, le pixel indiqué sur le portable, s'il s'agit d'une gamme munie d'un appareil-photo est réel et vérifiable. Enfin, et non des moindres, c'est, jusqu'à preuve du contraire, le seul téléphone portable livré avec 13 mois de garantie. « On n'a jamais fait cela sur les autres marques », précise le premier responsable d'Elite GSM. Mais le plus, pour la marque Tecno, c'est sans conteste son prix, tout simplement imbattable. Le petit prix, c'est le T-220, un portable à double SIM avec MP3, MP4, torche, radio FM, e-book et micro SD vendu au public à seulement 53.000 ariary. Le plus cher, c'est le T9 à seulement 198.000 ariary pour un double SIM, 3 mégapixels, vidéo recorder, MP3, MP4, bluetooth, radio FM, e-book, Internet, écran tactile, dictatophone et micro SD de 2 Gb. Une valeur sûre à moindre prix, en somme. Entre ces deux, il y a d'autres modèles, avec lesquels le public n'aura que l'embarras du choix, aussi bien en termes de prix que de fonctionnalités.
Tecno est disponible dans les boutiques Elite GSM qui en est le représentant exclusif à Madagascar, mais également chez d'autres revendeurs aussi bien dans la Capitale qu'en province. Assurémment, Tecno est appelé à devenir le numéro Un des portables à Madagascar.
Design très attirant, double SIM, nombreuses options, batterie à longue durée de vie et bien d'autres avantages. Tecno, la nouvelle marque de téléphone portable que Elite GSM lance actuellement sur le marché, n'a rien à envier aux autres grandes marques présentes actuellement sur le marché. Mieux, cette marque qui fait partie du haut de gamme chinois, a le mérite de ne pas souffrir des méfaits des copies.
Fiabilité
« Il est très difficile de copier la marque Tecno, la seule qui accorde une garantie de 13 mois », devait déclarer d'ailleurs, Randriarimalala Harijaona, le jeune PDG d'Elite GSM. Une manière de rassurer les consommateurs sur la fiabilité de cette marque qui fait déjà le bonheur des accros de téléphone portable. « En deux semaines de présence sur le marché, Tecno séduit déjà le public puisque nous avons réalisé un record de vente », annonce le PDG d'Elite GSM en précisant que cette marque est aussi spécialement conçue pour les consommateurs des pays africains. « Tecno Telecom Limited avait spécialement envoyé des techniciens en Afrique et en Amérique Latine pour étudier les besoins spécifiques des utilisateurs de portables dans ces pays »
13 mois de garantie
En tout cas, Tecno, se démarque des autres marques sur plusieurs points. Tout d'abord, l'appareil qui dispose d'une batterie à longue durée de vie est livré avec les accessoires comme la housse et même la carte mémoire. Ensuite, le pixel indiqué sur le portable, s'il s'agit d'une gamme munie d'un appareil-photo est réel et vérifiable. Enfin, et non des moindres, c'est, jusqu'à preuve du contraire, le seul téléphone portable livré avec 13 mois de garantie. « On n'a jamais fait cela sur les autres marques », précise le premier responsable d'Elite GSM. Mais le plus, pour la marque Tecno, c'est sans conteste son prix, tout simplement imbattable. Le petit prix, c'est le T-220, un portable à double SIM avec MP3, MP4, torche, radio FM, e-book et micro SD vendu au public à seulement 53.000 ariary. Le plus cher, c'est le T9 à seulement 198.000 ariary pour un double SIM, 3 mégapixels, vidéo recorder, MP3, MP4, bluetooth, radio FM, e-book, Internet, écran tactile, dictatophone et micro SD de 2 Gb. Une valeur sûre à moindre prix, en somme. Entre ces deux, il y a d'autres modèles, avec lesquels le public n'aura que l'embarras du choix, aussi bien en termes de prix que de fonctionnalités.
Tecno est disponible dans les boutiques Elite GSM qui en est le représentant exclusif à Madagascar, mais également chez d'autres revendeurs aussi bien dans la Capitale qu'en province. Assurémment, Tecno est appelé à devenir le numéro Un des portables à Madagascar.
Une histoire d'amour
by Mireille Mathieu
Ensemble nous survivrons
Une histoire d'amour
Où chaque jour devient pour nous le dernier jour
Où on peut dire "à demain" à son amour
Et qu'on est là tout près de lui à regarder
Mourir sa vie
Une histoire d'amour
Où pour nous deux le mot toujours semblait trop court
Tu vois pourtant nous n'avons plus beaucoup le temps
Non mon amour tu ne dois pas, il ne faut pas
Pleurer sur moi
Ne me dis pas adieu
Je vais fermer les yeux
Viens près de moi
Et prends-moi dans tes bras
Restons ensemble
Serre-moi fort
Tu vois il me semble que ma vie s'endort
Dis-moi "je t'aime"
Une histoire d'amour
C'est la chanson de l'océan les nuits d'été
Un souvenir qui va durer l'éternité
Pour moi ce soir ma vie s'en va mais notre amour
Ne finit pas
Une histoire d'amour
Ça ne peut pas vraiment mourir en un seul jour
Ne reste pas le cœur en deuil à vivre seul
Il te faudra voir d'autres ciels, d'autres soleils
Ne pleure pas
Parole de chanson Quand je t'aime
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être un roi
Un chevalier d'autrefois
Le seul homme sur la terre
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être à toi
Comme la rivière au Delta
Prisonnier volontaire
{Refrain:}
Quand je t'aime
Tous mes gestes me ramènent
A tes lèvres ou à tes bras
A l'amour avec toi
Quand je t'aime
Il est minuit ou midi
En enfer au paradis
N'importe où mais ensemble
Quand je t'aime
Je ne sais plus si je suis
Un mendiant ou un messie
Mais nos rêves se ressemblent
{au Refrain}
Quand je t'aime
J'ai des fleurs au bout des doigts
Et le ciel que je te dois
Est un ciel sans étoiles
Quand je t'aime
J'ai la fièvre dans le sang
Et ce plaisir innocent
Me fait peur, me fait mal
{au Refrain}
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être un roi
Un chevalier d'autrefois
Le seul homme sur la terre
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être à toi
Comme la rivière au Delta
Prisonnier volontaire
Quand je t'aime
Il est minuit ou midi
En enfer au paradis
N'importe où mais ensemble
Quand je t'aime
Je ne sais plus si je suis
Un mendiant ou un messie
Mais nos rêves se ressemblent
Quand je t'aime
Saturday, October 16, 2010
Sans blague
Ravalomanana tombe dans un puits.
Andry Rajoelina arrive et lui lance une bouteille de whisky en ricanant :
- Tenez buvez ça, ça vous remontera
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Un petit garçon arrive en courant et il dit à sa mère :
- "Maman, j'ai vu le coq s'accoupler 10 fois ce matin !"
Sa mère lui répond :
- "Va donc dire ça à ton père, il va comprendre ..."
Le jeune va voir son père et lui dit :
- "Papa, maman m'a dit de te dire que j'ai vu le coq s'accoupler 10 fois ce matin !"
Son père lui demande :
- "Est-ce que les 10 fois c'était avec la même poule ?"
- "Non !"
- "Alors va le dire à ta mère, elle va comprendre ..."
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Un père dit à son fils :
- Finalement, ta mère et moi on a été heureux pendant 25 ans.
- Et après ?
- Après, on s'est rencontré...
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Zafy, Ratsiraka et Ravalomanana survolent Madagascar dans un jet privé piloté par Andry Rajoelina...
Zafy se tourne vers Didier et dit en faisant de l'esbroufe :
'Tu sais, je pourrais jeter ce sac contenant 1.000.000 ar par la fenêtre et rendre quelqu'un très heureux'.
Didier lui réplique :
'Eh bien, je pourrais jeter 10 sacs de1.000.000ar par la fenêtre et rendre 10 personnes heureuses'.
Pour ne pas être en reste, Ravalomanana dit :
'Je pourrais jeter 100 sacs de1.000.000ar par la fenêtre et faire 100 heureux'.
Andry Rajoelina soupire et dit à son copilote :
'Non mais t'entends cette bande d'arrogants à l'arrière. Ils ne se rendent pas compte que je pourrais jeter trois connards par la fenêtre et rendre des millions de malgaches heureux!
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Quelle différence a-t-il entre un morpion et un politicien?
- Il n'y en a pas, car tous les deux adhérent aux "parties"!
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Le gouvernement a décidé d'adopter un principe japonais, soit l'exercice physique pendant les heures de boulot afin de garder les fonctionnaires en bonne forme. Premier essai : une cassette vidéo distribuée à tous les fonctionnaires. En voici un extrait :
- Et un, en haut… Et deux, en bas… Et trois, en haut… Et quatre, en bas… Parfait ! Maintenant on change de paupière…
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Quelle est la différence entre un fonctionnaire et un chômeur ?
- Le chômeur a déjà travaillé.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Un président malgache vient en voyage officiel en France, et se fait inviter a diner chez son homologue français. En voyant la somptueuse villa de ce dernier, et toutes les toiles de maitre aux murs, il lui demande comment il peut bien s'assurer un tel train de vie avec sa paye somme toute modeste de serveur de la République.
Le français l'entraine près de la fenêtre :
Vous voyez l'autoroute la-bas ?
-oui
- Elle a couté vingt milliards, l'entreprise l'a facture 25 et m'a verse la différence.
Deux ans plus tard, le président français est en voyage officiel à Madagascar et rend visite a son homologue. Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n'en avait encore jamais vu. Stupéfait, il demande :
- Mais je ne comprend pas, il y a 2 ans vous trouviez que j'avais un train de vie princier, mais par rapport a vous...
Le président malgache l'entraine près de la fenêtre :
- Vous voyez l'autoroute la-bas ?
- non
- Ben voila.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Pourquoi les hommes ont étaient créés avant les femmes ?
Car il y a bien fallu un brouillon avant le chef d'oeuvre.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Pourquoi les fonctionnaires lisent-ils le journal avant de rentrer chez eux ?
Pour n'avoir plus rien a faire le soir en rentrant chez eux.
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Andry Rajoelina arrive et lui lance une bouteille de whisky en ricanant :
- Tenez buvez ça, ça vous remontera
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Un petit garçon arrive en courant et il dit à sa mère :
- "Maman, j'ai vu le coq s'accoupler 10 fois ce matin !"
Sa mère lui répond :
- "Va donc dire ça à ton père, il va comprendre ..."
Le jeune va voir son père et lui dit :
- "Papa, maman m'a dit de te dire que j'ai vu le coq s'accoupler 10 fois ce matin !"
Son père lui demande :
- "Est-ce que les 10 fois c'était avec la même poule ?"
- "Non !"
- "Alors va le dire à ta mère, elle va comprendre ..."
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Un père dit à son fils :
- Finalement, ta mère et moi on a été heureux pendant 25 ans.
- Et après ?
- Après, on s'est rencontré...
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Zafy, Ratsiraka et Ravalomanana survolent Madagascar dans un jet privé piloté par Andry Rajoelina...
Zafy se tourne vers Didier et dit en faisant de l'esbroufe :
'Tu sais, je pourrais jeter ce sac contenant 1.000.000 ar par la fenêtre et rendre quelqu'un très heureux'.
Didier lui réplique :
'Eh bien, je pourrais jeter 10 sacs de1.000.000ar par la fenêtre et rendre 10 personnes heureuses'.
Pour ne pas être en reste, Ravalomanana dit :
'Je pourrais jeter 100 sacs de1.000.000ar par la fenêtre et faire 100 heureux'.
Andry Rajoelina soupire et dit à son copilote :
'Non mais t'entends cette bande d'arrogants à l'arrière. Ils ne se rendent pas compte que je pourrais jeter trois connards par la fenêtre et rendre des millions de malgaches heureux!
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Quelle différence a-t-il entre un morpion et un politicien?
- Il n'y en a pas, car tous les deux adhérent aux "parties"!
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Le gouvernement a décidé d'adopter un principe japonais, soit l'exercice physique pendant les heures de boulot afin de garder les fonctionnaires en bonne forme. Premier essai : une cassette vidéo distribuée à tous les fonctionnaires. En voici un extrait :
- Et un, en haut… Et deux, en bas… Et trois, en haut… Et quatre, en bas… Parfait ! Maintenant on change de paupière…
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Quelle est la différence entre un fonctionnaire et un chômeur ?
- Le chômeur a déjà travaillé.
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Un président malgache vient en voyage officiel en France, et se fait inviter a diner chez son homologue français. En voyant la somptueuse villa de ce dernier, et toutes les toiles de maitre aux murs, il lui demande comment il peut bien s'assurer un tel train de vie avec sa paye somme toute modeste de serveur de la République.
Le français l'entraine près de la fenêtre :
Vous voyez l'autoroute la-bas ?
-oui
- Elle a couté vingt milliards, l'entreprise l'a facture 25 et m'a verse la différence.
Deux ans plus tard, le président français est en voyage officiel à Madagascar et rend visite a son homologue. Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n'en avait encore jamais vu. Stupéfait, il demande :
- Mais je ne comprend pas, il y a 2 ans vous trouviez que j'avais un train de vie princier, mais par rapport a vous...
Le président malgache l'entraine près de la fenêtre :
- Vous voyez l'autoroute la-bas ?
- non
- Ben voila.
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Pourquoi les hommes ont étaient créés avant les femmes ?
Car il y a bien fallu un brouillon avant le chef d'oeuvre.
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Pourquoi les fonctionnaires lisent-ils le journal avant de rentrer chez eux ?
Pour n'avoir plus rien a faire le soir en rentrant chez eux.
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