Thursday, December 24, 2009
Volvo racheté par les chinois....d'après le journal Le Monde
Depuis plusieurs années, Geely, le repreneur chinois de Volvo – l'opération a été officialisée mercredi 23 décembre –, tente de percer à l'extérieur de ses frontières. Au point de projeter de réaliser, d'ici à 2015, les deux tiers de son chiffre d'affaires hors de Chine, contre un peu plus de 10 % actuellement. Cette ambition est contrecarrée par des problèmes de qualité: aux Etats-Unis, ses voitures ne parviennent pas à satisfaire aux normes de sécurité. En Russie, son Freedom Cruiser a, en 2008, été baptisé la "voiture de la mort" en raison de ses performances désastreuses lors d'un crash test.
Avec 245 000 immatriculations en Chine sur les onze premiers mois de 2009, Geely est non seulement plus petit que sa proie, mais ne se place qu'au 11e rang des constructeurs chinois, loin derrière le numéro un, SAIC (Shanghai Automotive Industry Corporation), qui vend dix fois plus de véhicules.
"Geely cède du terrain sur le marché chinois, estime un spécialiste du secteur. C'est la voiture des campagnes, elle ne bénéficie pas de la même image de marque que les constructeurs chinois BYD – un champion de la technologie – et Chery. Pour l'image de Volvo en Chine, ce n'est pas idéal. Cette reprise suscite beaucoup de scepticisme dans les milieux de l'automobile en Chine. On a l'impression que LiShufu réalise un rêve." Le patron de Geely, 46 ans, a pour lui sa ténacité : dans le Zhejiang, province au sud de Shanghaï et berceau de l'entreprise privée en Chine, Li Shufu crée, à 21 ans, sans avoir fait d'études, un atelier de fabrication de composants pour frigidaires. Il monte une usine, mais les autorités la ferment pour privilégier les groupes publics. En 1994, il se lance dans les motocyclettes et reprend un fabricant en faillite. L'entrepreneur se met alors en tête de fabriquer des voitures. Après plusieurs ratages, il s'allie avec un petit constructeur du Sichuan qui dispose d'une licence.
PRÉSENCE DE GOLDMAN SACHS
En 2001, juste avant l'entrée de la Chine à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), les voitures Geely sont homologuées par Pékin. M.Li et sa marque se sont taillé une place dans une industrie dominée par les groupes d'Etat associés aux grandes marques étrangères. Or le boom du marché chinois en 2009 et la concurrence à laquelle se livrent les indépendants ont suscité une mini-bulle à Hongkong, où Geely et BYD sont cotées: leur titre a été multiplié par cinq depuis début 2009.
"Le gouvernement chinois a prévenu, fin 2008, qu'il fallait consolider l'industrie automobile et ne garder que dix constructeurs majeurs. Aucun des trois premiers indépendants ne veut rester sur le carreau, analyse André Loesekrug-Pietri, associé-gérant de CEL, fonds d'investissement européen consacré à la Chine. [L'homme d'affaires américain] Warren Buffett a investi en 2008 dans BYD, et a fait des émules. Les fonds chinois CDH et Bohai sont entrés au capital de Chery. Et Goldman Sachs a investi pour 250 millions de dollars en obligations convertibles dans Geely. La présence d'un tel investisseur international est un atout pour leur stratégie d'expansion, ça crée un lien culturel, qui a beaucoup compté dans le mariage Lenovo-IBM par exemple. Geely semble avoir une approche graduelle, et on peut espérer qu'il préserve les équipes. Mais ce sont deux sociétés avec des cultures très différentes." Avant d'acquérir la marque suédoise, M.Li s'est fait la main en prenant, en 2007, 23 % du britannique Manganese Bronze, avec qui il fabrique, en coentreprise, des taxis londoniens. Mille exemplaires sont sortis des chaînes de montage de Shanghaï cette année. Avec Volvo, il change d'échelle…
Brice Pedroletti
Le nouveau bureau du Teraka Rasoanantoandro Jeanne D'Arc 2009-2010
Sunday, December 20, 2009
Wednesday, December 09, 2009
Un petit tour à Tsimbazaza
L'hôtesse surveille si tout va bien...
Ah qu'il est bon ce café !!!
Rajeunissement spéctaculaire de Tatie Yo
Tonton Ga raconte à Jhons: " C'est un chef d'état malgache qui fait un petit séjour sur la côte d'azur pour rendre visite à quelques amis responsables politiques. Il est ainsi reçu dans la somptueuse villa d'un député-maire et remarque d'entrée toutes les toiles de maîtres qui ornent les murs.
Pendant le repas il n'hésite pas à demander à son ami: "Il faut quand même que tu m'expliques comment tu as pu amasser une fortune pareille en faisant de la politique..."
L'élu français répond en désignant la fenêtre: "C'est très simple, tu vois l'autoroute là-bas ? Cela a coûté 10 millions d'€uros à la collectivité dont 10% directement dans ma poche..."
Le chef d'état n'en revient pas et commente: "Joli coup !"
Quelques années s'écoulent et notre député-maire rend la politesse à son ami malgache. Il découvre avec stupéfaction que son hôte habite un château en marbre, décoré d'oeuvres de maîtres et de sculptures de grande valeur. Pendant le repas, il demande: "C'est à ton tour de m'expliquer.
Comment as tu amassé cette fortune colossale ?" Le Président malgache répond en désignant la fenêtre: "C'est très simple, tu vois l'autoroute la-bas
?" L'autre: "Non...où ça ..où ça ?"
Le président: "Ben voila !"
La ravissante Noémie avec Jhons en pleine méditation dans son café
Thursday, December 03, 2009
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