Tuesday, January 30, 2007

Malagasy - Vorona ô


Malagasy - Vorona ô
Vidéo envoyée par razfin
Vorona o! mba mivilia hitondra bitsika any
Vorona o! harivariva an-tanin'olona aho
Ampitandrano(x2) re! no misy anay
Jereo fa vitsika momba kitay
K'ity manafatra anao

Vorona o! mba hivilio ilay akaniko any
Vorona o! hatopatopan-dranomasina izy izay
Jereo fa nosy misaritsarin-tongotra hankavia
Tsy takatr'antso ka e! mba vimbino
Ity teny fohy hoe tsy adino

Tsy ditrany hono hoe no nandaozany ny akany maminy iny
Tsy antery anefa fa nafaitra loatra ilay fitenin'ny havany iny
Tsy tantiny tokoa ka notinafiny famoizana ny ela
Tsy vato anie ny fo f'injao mitepo ihany vonona hifamela

Luc & Mahery ( BARIJAONA )

loko iray


loko iray
Vidéo envoyée par lili_diego

Iza no tia - MDJ


Iza no tia - MDJ
Vidéo envoyée par yokih
no comment

Ilazao tzy fa LÔLA


Ilazao tzy fa LÔLA
Vidéo envoyée par claudiorandri

Irrésistible comme le temps



Avant et après quelques années seulement

Pazzapa 4 - Samy Mafoaka


Pazzapa 4 - Samy Mafoaka
Vidéo envoyée par jao_piera
ambiansy mafana!

Bismak Ex (Dillie)


Bismak Ex (Dillie)
Vidéo envoyée par cocallica
Hey Boy !! Hey Girls !! Hey Yannick !! Trop Cool Kia. Continue...

Sic 'S e!!!

Ny Eja, la poétesse qui veut faire connaître son nom et son pays jusqu’au bout du monde


Des yeux à la fois lointains et scrutateurs, une bouche rouge sombre charnue, un visage sans tache encadré de cheveux obscurs. C’est l’image les admirateurs retiennent de Ny Eja. Cette image, ils l’ont perçue dans les expositions de l’Union des poètes et des écrivains malgaches (Upem).

D’autres ignorent de qui elle a l’air, peut-être même son nom. Mais la plupart d’entre nous avons eu le coup de foudre pour la chanson de Tovo J’hay, «Teny mamy», qui est devenue rapidement un grand tube d’amour. Il en est de même pour «Nofy lalina», «Aza avela», «Fihin-tananao», «Fenonao» de Bodo...

Ses œuvres où l’amour apparaît sous tous ses visages et dans toute sa splendeur et sa force conquièrent vite les esprits. Si bien que ses lecteurs et ses camarades littéraires l’ont surnommée «poétesse de l’amour». Et que son premier recueil de poème, «Ilay fitia», édité en 2005, disparaît du marché au bout d’une année.

Pourtant, Monique Eugénie Solonomenjanahary Ranivoarisoa n’a point songé du tout à devenir poète, encore moins à chanter l’amour. «Je veux surtout mettre en valeur la beauté de la langue malgache, de notre pays, de notre culture. C’est pourquoi j’ai choisi le pseudonyme Ny Eja qui signifie la plus belle rime».

Née le 15 septembre, elle a rêvé dans son enfance de pratiquer le métier d’hôtesse de l’air quand elle serait grande. «Adolescente, j’ai compris que ma taille ne réponds pas aux critères exigés», confie-t-elle dans un rire timide.



Autobiographie poétique

Ny Eja commence à écrire en 1987 quand elle entre à l’université où elle étudie le droit pour se consoler de ses désenchantements et mieux vivre ses rêves juvéniles. Mais les études l’accaparent et elle arrête.

Elle ne connaît sa vocation littéraire que dix ans plus tard quand elle publie un poème en hommage à son père dans un quotidien. En effet, ses connaissances l’encouragent à écrire. Le poète Rado l’invite à intégrer l’Upem.

Jusqu’à ce jour, Ny Eja a écrit près de 600 poèmes. Elle y chante beaucoup Dieu, la nature, la liberté, la beauté, la poésie… mais parle surtout de sa patrie, de ses enfants, des hommes qu’elle a aimés, de ses amis, bref de sa vie et de ce qu’elle ressent.

«Je n’ai jamais écrit personnellement à mes lecteurs. Je partage simplement ce que je ressens, ce que je vis, ce dont je rêve. Je publie mes poèmes parce que je sais que d’autres personnes vivent ce que je vis et j’éprouve en espérant que mes œuvres vont les consoler, les encourager ou décupler leur joie».

Son premier recueil a été une autobiographie poétique. Son second recueil, «Rêve inédit», renfermant la traduction de ses œuvres en français, qui sortira en février, le sera aussi. Idem pour le troisième recueil, en malgache cette fois-ci, qui est en cours d’élaboration.

Monday, January 29, 2007

Des 4x4 à un milliard l’unité sur le marché malgache




Les grosses fortunes malgaches ne se privent pas de luxe en matière de voiture. Au sein de la classe très aisée, les 4x4 de prestige sont de plus en plus demandés. Et l’offre existe car dès que des commandes sont passées, les fournisseurs aussi bien formels qu’informels sont capables de livrer des 4x4 de luxe comme les Mercedes ML, BMW X5 et X3, Toyota Station Wagon, Porsche Cayenne, Volkswagen Touareg ou encore Range Rover. Mais la prudence doit être de mise car la filière est aussi sujette à un réseau de trafiquants.

4x4 de prestige

BMW X5, caractéristique : ABS - direction assistée - régulateur de vitesse - boîte de vitesse séquentielle - climatisation automatique - radio K7 - sellerie cuir - sièges électriques - barres de toit - airbag - peinture métallisée - pack électrique - jantes Alu. Porsche Cayenne, caractéristiques : ABS - direction assistée - boîte de vitesse séquentielle - GPS - climatisation automatique - radio CD - sellerie cuir - sièges électriques - sièges chauffants - airbag - peinture métallisée - pack électrique - jantes alu - siège à mémoire - préparation téléphone - pack Hifi Bose - vitres teintées - rétro chauffant - radar de recul. Ce n’est plus uniquement dans les annonces de ventes de voitures sur internet que l’on peut trouver ce genre de voiture. « Le marché des 4X4 de prestige existe à Madagascar », déclare un concessionnaire qui affirme que même si c’est encore dans une proportion relativement minime, la demande a maintenant une certaine tendance à augmenter. Concernant, par exemple, la Porche Cayenne, il en existe une quinzaine à Madagascar, affirme un connaisseur.

Fortune

En somme, Il y a de plus en plus de milliardaires qui n’hésitent pas à s’offrir ce genre de luxe à coup de milliards de Fmg. En effet, sur le marché européen qui constitue pour le moment la principale source des 4X4 de luxe, une Porche Cayenne d’occasion, année de première sortie en 2003 coûte facilement 50.000 euros, soit environ 132 millions ariary (soit un peu moins de 700 millions de Fmg). Avec les frais de transport et les droits et taxes douaniers qui se situent actuellement aux environs de 40% de sa valeur CAF, une telle voiture revient à un peu plus d’un milliard de Fmg. Une fortune en somme. Mais qui n’est malheureusement pas épargnée par les trafiquants de tous genres.

Concessionnaires

En effet, le trafic existe. Et il peut aller au détriment des clients fortunés qui s’approvisionnent chez les vendeurs qui ne sont pas dans le circuit officiel. Bref, s’approvisionner auprès du circuit parallèle peut exposer à de grosses difficultés. C’est le cas, par exemple, de cet importateur qui a, en fait, introduit à Madagascar une VW Touareg volée . Et pour éviter justement ce genre de mauvaise surprise, il est vivement conseillé dans le milieu de passer par les concessionnaires professionnels. L’on soutient d’ailleurs auprès de ces derniers que non seulement le circuit de distribution parallèle les pénalise, mais il constitue également un danger pour le client qui peut être enquêté suite à l’achat d’une voiture ayant fait l’objet de fraudes durant son importation.

Les femmes et le SHOWBIZ

Ces derniers temps, on a eu vraiment l’embarras du choix en matière de relève. Les jeunes montants ne cessent d’investir pour avoir de la place au sein du showbiz local. On a même tendance à confondre les titres, tellement il y en a.

« Peux-tu faire passer mes œuvres, chers techniciens ? »
Pour ne pas faire de la polémique au fameux procédé « matraquage » qui fait qu’on entend et on voit presque tous les jours à la télé et à la radio les œuvres de ces artistes en herbe, on préfère apporter quelques commentaires concernant les valeurs sûres de la musique malgache.


Si les « jeux de hanches » étaient en vogue et ont été mis en évidence dans presque tous les clips qui passent à la télé, il y a quand même ceux qui se sont souciés de la qualité musicale. On peut citer quelques noms qui se sont démarqués vu la recherche qu’ils ont effectués pour donner de la valeur à leurs œuvres. Entre autres, Dah’mama qui a beaucoup fait pour valoriser la culture Tsimihety. Avec sa voix envoutante et unique en son genre, Dah’mama a pu se démarquer des autres dès ses premiers pas à l’Aft. En plus, elle sait bien gérer son image par rapport aux actions qu’elle entreprend.


Dans la même foulée, on a pu également faire la découverte de Lianah, celle qui prône pour le rythme Antôsy. Découverte sitôt sur les chaînes de la capitale, elle a su imposer son style. Avec son enthousiasme, Lianah veut à tout prix faire partie du monde des « pros ». Mais très sceptique, à elle de réitérer, « je sais que ce n’est pas facile d’atteindre le bout, mais j’y crois fortement et je ne cesse de rechercher pour donner de la valeur à la musique que je joue ». Une initiative qui mérite d’être félicitée et d’être encouragée, vu les difficultés auxquelles doivent faire face les artistes de nos jours, vu l’affluence des « arrivistes » et osent payer cher. On a tendance à dire, il n’y a pas de place pour les pauvres. Mais tout vient à point, courage les jeunes !

Ils nous envahissent....

Les rats envahissent Ambalak'indresy


Ce n'est pas une catastrophe naturelle ni un aléa, mais l'invasion des rats fait des ravages la commune rurale d'Ambalak'indresy, dans le district d'Ambohimahasoa. Depuis, nombreuses parcelles de culture sont détruites.
Les villages de Sahanimaintso, Andrainafototra et Antsiho sont les plus durement touchés, selon les chiffres communiqués par la Direction régionale pour le développement rural (DRDR) de la région Haute Matsiatra.
Les habitants d'Ambalak'indresy craint que le fléau ne se propage dans les communes rurales environnantes. Aussi, les autorités ont-elles réuni d'urgence le comité régional de gestion des risques et catastrophes.
Une descente sur terrain sera organisée dans les prochains jours. Les entités, tels que le DRDR, l'Office national de la nutrition, le Fonds d'intervention pour le développement, se sont déjà mobilisées. Les démarches à suivre seront définies.
Jusqu'à présent, aucun cas de peste n'est signalé, à cause de cet envahissement de rongeurs. Toutefois, les cultures en pâtissent. Le tableau suivant constitue un constat concret des dégâts.

Les pickpockets envahissent le Sud


Les pickpockets infestent les marchés hebdomadaires des communes du Sud. Le lundi, ils sont à Ambovombe, le jeudi à Ankaramena, le samedi à Amboasary-Sud et ainsi de suite. Ils vont jusque dans la région d'Ihorombe.
Au marché, ils attaquent les marchands et les paysans qui viennent s'y ravitailler. En ville, ils visent les retraités qui touchent leur pension à la banque ou à la poste. Dans la plupart des cas, ces voyous ne se contentent pas de dérober de l'argent, ils volent également des marchandises.
Rapportant ce fait, le commissaire de police d'Amboasary-sud souligne que “la plupart de ces voleurs sont des adolescents de 13 à 16 ans”. Plusieurs d'entre eux ont déjà été arrêtés, mais une dizaine de suspects circulent encore.
Les forces de l'ordre se heurtent au problème du silence des victimes. Selon le commissaire, celles-ci ne sont pas disposées à se manifester, par crainte des représailles.
L'ignorance de la procédure administrative et de la législation serait également la cause de ce silence.

Raha_tia_mozika


Raha_tia_mozika
Vidéo envoyée par manitry
misy izay rehetra ilaina ato

Sunday, January 28, 2007

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

Kabary du vodiakoho par Tonton Jhons

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

Fangatahina tsodrano par Tonton Juvence

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

L'apothéose

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

Le teraka jubile

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

Remise du gros lot Entreprise Randria par Claude Raobentsoa à la cadette de Henrianne et Haja

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

La troisième génération dirigée par Jean Yves

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

Tonton Juvence et les relèves allumant des cierges

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

famille Randria en plein repas

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007

Famille Teraka Rasoanatoandro (plus de 70 personnes)

Tantine Line, Tonton Juvence et sa femme Baby

Dejeuner Teraka Rasoanatoandro du samedi 27 Janvier 2007







Banderole confectionné par Papa Yves

Dejeuner annuel aux Ulis
















Merci à toutes et à tous et à l'année prochaine!!!

Saturday, January 27, 2007

1.000.000.000 fmg ou 75.000 € lancé sur une foule en « liasse »



KAISERSLAUTERN (Allemagne) (Reuters) - Un chauffeur de camion allemand, grand vainqueur d'un concours intitulé "Que feriez-vous avec 100.000 euros ?", a lancé du haut d'une grue 75.000 euros en billets de cinq, a déclaré le porte-parole de la station de radio RPR1, Thomas Reiche.

Marco Hilgert, 49 ans, avait prévu de jeter les 25.000 euros restants par les fenêtres d'une mairie, mais, l'édile de Mayence ayant refusé, la pluie de billets est tombée sur Kaiserslautern.

La police locale avait imposé des restrictions, comme la limitation du nombre de personnes autorisées à attraper les billets au vol. Au total, 14 groupes de dix personnes - sur les 2.500 volontaires - ont bravé une température polaire de -12°C, pour glaner autant d'euros que possible.

"Il n'y a eu ni bagarres, ni coups de poing ou de couteau", a déclaré Reiche. "Tout le monde était frigorifié. Nous voulions que n'importe qui puisse attraper des billets mais les autorités locales ont mis des restrictions. La sécurité d'abord. Cela n'a pas d'importance parce que tout le monde s'est amusé."

CLIP Francis Turbo - Miliaridera (gasy)


CLIP Francis Turbo - Miliaridera (gasy)
Vidéo envoyée par mahery92

Bodo - battre à pied


Bodo - battre à pied
Vidéo envoyée par ratoza

Bodo - Ampamoizo


Bodo - Ampamoizo
Vidéo envoyée par ratoza

Bodo Mety ve


Bodo Mety ve
Vidéo envoyée par ratoza

Ratary-nataoko-ihany


Ratary-nataoko-ihany
Vidéo envoyée par radiovazogasy

Friday, January 26, 2007

Elle peut maintenant se faire un bébé toute seule !!!


Sperme en vente sur internet

http://www.spermdirect.co.uk/

ou http://www.fertility4life.com/hi/infopacks.asp?ctry=fra

Moyennant finance, il est possible de passer une commande de sperme sur Internet. “Fertility 4 life”, une banque de sperme basée en Angleterre, en fait le commerce dans le monde entier et même à La Réunion. En moins de trois jours, le colis arrive au domicile des femmes en mal de maternité, qui s’injectent elles-mêmes la semence à l’aide d’une seringue. La pratique peut choquer, d’autant qu’elle va à l’encontre des lois françaises, mais elle n’en demeure pas moins une alternative à une grossesse sans père.

SpermDirect propose l'achat de sperme en ligne, 2 formules disponibles :

  1. 1 récipient contenant 1 donation
  2. 1 récipient contenant 2 donations

Vous pourrez vous offrir la première pour la somme de £450 (670 €) et la deuxième pour £695 (1.034 €).

Il s'agit d'un service proposé par un site Britannique et je ne suis pas certain que ça soit légal en Belgique (ou en France). Pour ma part je trouve ce service relativement peut éthique et extrêmement sujet à controverse, ce genre de chose devrait normalement se faire dans un milieu relativement contrôlé non ?

Edit : Après avoir vu le reportage sur la RTBF il semble que le sperme soit envoyé dans les 3 heures qui suivent sa production, les tests (HIV, Hépatite, ...) sont réalisés sur le donneur à une date très proche du don. Cette technique semble dangereuse, dans le cas d'un don sous contrôle médical on conserve le don congelé pendant 6 mois pour analyse.

Thursday, January 25, 2007

Le nouveau gouvernement




22 membres
Min. auprès Présidence : 1
Ministres : 18
Vice Ministres : 2
Secrétaires d’Etat : 2

Premier Ministre, Chef de gouvernement et Ministre de l’Intérieur : Charles Rabemananjara.

Ministre auprès dela présidence chargé de la décentralisation et de l’aménagement du territoire : Yvan Randriasandratriniony

Ministre de la défense nationale : Behajaina Petera

Ministre de la Justice : Lala Henriette Ratsiharovala

Ministre de la fonction publique, du travail et des
lois sociales : Tsiandopy ( ancien PDS de Diégo )

Ministre des finances et du budget : Andriamparany Benjamin Radavidson

Ministre de l’environnement, des eaux et forets : KOTO Bernard ( chef de région de Vatovavy Fitovinany )

Ministre des affaires étrangères : Marcel Ranjeva

Ministre de la santé et du planing familial : Jean Louis Robinson

Ministre de l’éducation et des recherches scientifiques : Haja Nirina Razafinjatovo

Ministre de l’agriculture, de l’élevage et de pêche : Marius Ratolojanahary (SG du ministère )

Ministre des sports : Philémon Michel Rabarison

Ministre des télécommunications, des Postes et de la communication : Bruno Ramaroson Andriatavison

Ministre de l’économie, du plan, du secteur privé et du commerce : Harisson Edmon d Randriarimanana

Ministre des Travaux publics et de la météo : Roland Randriamampionona.

Ministre des transports et du tourisme : Julien Ravelonarivo LAPORTE

Ministre de l’énergie : Patrick Ramiaramanana ( Maire de la Ville d’Antananarivo )

Ministre des mines : Olivier Donat Andriamahefaparany

Vice ministre chargé de l’éducation et des recherches scientifiques : Cécile Manorohanta

Vice ministre chargé de l’agriculture, de l’élevage et de pêche : Harifidy Jean Seth Alin Ramison.

Secrétaire d’Etat auprès du ministère de l’Intérieur chargé de la sécurité publique : Désiré Rasolofomanana

Secrétaire d’Etat auprès du Ministère des télécommunications, des Postes et de la communication chargé de la Culture et des Loisirs : Hermann Razafindravelo ( Chef de région d’Analanjirofo).

D’un seul coup d’œil, le président Ravalomanana compte beaucoup sur cette équipe plutôt technique pour réaliser le plan d’action Madagascar ( MAP ). Apparemment, la politique politicienne se retrouve au second plan à la grande surprise des politiciens purs et durs. "L'heure est au développement" réitère le président Ravalomanana.


Saturday, January 20, 2007

Qui est le général Charles Rabemananjara ?




Né le 9 juin 1947 à Antananarivo, marié et père de quatre enfants, le Premier ministre Charles Rabemananjara a entamé sa carrière militaire en 1967 à l’Académie d’Antsirabe d’où il est sorti en 1970 avec le grade de sous-lieutenant.


Après avoir gravi tous les échelons des grades de l’Armée, il a été promu général de Corps d’armée le 1er juillet 2005.

Mais, outre sa formation et ses études militaires qui l’ont amené à fréquenter plusieurs écoles ou établissements militaires internationaux, il a également suivi des études dans des écoles supérieures et universités étrangères dans les domaines de l’administration, de la gestion de crise majeure (négociations et médiations), et du management en système d’information (MSI).



Ses affectations successives

Peu après sa sortie de l’Académie militaire d’Antsirabe, Charles Rabemananjara a eu sa première affectation au sein de l’état-major de la gendarmerie nationale en août 1970. Il a été ensuite, respectivement : - commandant de la compagnie de la gendarmerie d’Antsirabe (01/12/ 75) ; - chef de bureau technique à l’état-major de la gendarmerie nationale avant d’en être le chef d’état-major (01/10/87) ; - secrétaire général de la défense nationale auprès de la Primature (03/08/96) ; - directeur général des Douanes (01/10/98) ; - expert militaire auprès de l’OUA (01/01/00) ; - représentant de l’océan indien francophone auprès du gouvernement comorien (expert militaire, 01/03/01) ; - inspecteur général de la gendarmerie nationale (01/04/04) ; - directeur du cabinet militaire de la présidence de la République (24/11/04) ; -ministre de l’Intérieur et de la réforme administrative depuis le 28/11/05 jusqu’à cette nouvelle nomination à la tête du premier gouvernement de Marc Ravalomanana pour son deuxième mandat.

Saturday, January 13, 2007

OSTIE Andoharanofotsy, on se croirait en France !!!

A partir de cette année, l’Organisation sanitaire tananarivienne inter-entreprises (Ostie) axe ses activités sur trois priorités : l’ouverture du dispensaire de Mahalavolona, les innovations dans le cadre de l’amélioration de la qualité de service dans tous les centres de l’Ostie, l’organisation du concours intitulé «Ostie Mahafinaritra». C’est ce qu’a déclaré le chef de service de qualité-communication, le Dr Barbara Rakotoniaina Rakotonarivo, interrogée sur les perspectives de l’Ostie pour cette nouvelle année.


En ce qui concerne le dispensaire de l’Ostie à Mahalavolona, il est opérationnel depuis le 8 janvier. Son ouverture a été marquée par l’informatisation de tous les services médicaux disponibles pour les patients usant d’une carte à piste. Plus précisément, le patient n’utilise plus la fiche médicale mais une carte dès l’accueil et l’enregistrement en passant par la consultation médicale et les soins jusqu’à la distribution des médicaments à la pharmacie. En fait, tous les responsables concernés à savoir le réceptionniste, les médecins et les pharmaciens ont été dotés d’un matériel informatique et le passage de chaque patient est enregistré au dispensaire. Notons que l’informatisation du circuit du patient sera effective dans les huit dispensaires d’Antananarivo.

Quant à la deuxième priorité, il s’agit de l’amélioration de la qualité de service en général. Des postes téléviseurs ont été installés dans les salles d’attente des dispensaires pour que les patients puissent se détendre un peu en attendant les consultations médicales. Un espace enfants a également été mis en place pour leur servir d’endroit de divertissement. En outre, l’Ostie déploie de tous ses efforts pour faire bénéficier aux patients des médicaments de spécialité et génériques de marque.

Et enfin, quant au concours «Ostie Mahafinaritra» qui s’étale sur toute l’année, «il est lancé afin de mesurer la performance de chaque dispensaire et antenne dans le but d’augmenter le taux de satisfaction des affiliés et adhérents», a expliqué le Dr Barbara Rakotoniaina Rakotonarivo. Une évaluation sera effectuée par les membres du Cercle qualité de l’Ostie et à travers des enquêtes auprès des patients tous les mois touchant l’accueil, les prestations médicales et soins, la distribution des médicaments, l’hygiène et la propreté. Les méritants seront par la suite récompensés par une attestation.

La villa Tafondro ( maison de Tonton Richard ) reste inoccupée

La plupart des habitants du quartier d’Andohalo se demandent pourquoi la villa Tafondro sise à Imarivolanitra, résidence de fonction du Président de l’Assemblée Nationale malgache, reste inoccupée depuis le départ de Jean Lahiniriko, qui a été, rappelons-le, destitué par ses pairs au mois de mai 2006.

En très mauvais état et sans... meubles
Son successeur, Mahafaritsy Samuel Razakanirina, refuse d’y habiter car “la résidence est en très mauvais état dû à son ancienneté. Mais surtout, précise-t-il, “tous les meubles ont été emportés par mon prédécesseur”.
Notons que, normalement, les résidences de fonction des hauts responsables de l’Etat sont meublées grâce à l’argent des contribuables.
En ce qui concerne le bâtiment inachevé devant l’hémicycle de Tsimbazaza, le Président en exercice de l’Assemblée d’expliquer que cette construction date de la législature de l’époque de l’Amiral, avec, comme président, le professeur Ange Andri-anarisoa. Les travaux ont continué sous le règne d’Auguste Paraina avant de s’arrêter sous la présidence de Jean Lahini-riko. Selon les explications du président Mahafaritsy, l’absence de financement explique cette interruption, d’autant plus que les bailleurs étrangers demandent des éclaircissements sur l’utilisation des fonds avant d’apporter leur support.
“L’affaire est actuellement au niveau de l’Inspection Générale de l’Etat” a poursuivi le président de l’assemblée nationale.
Devant ces états de choses il est de plus en plus confirmé qu’un changement de comportement est urgent et important à Madagascar.

TERAK’I RASOANATOANDRO

TATITRA

Nivory ny solontenan’ny Trk’i Rasoanatoandro ny Zoma 12 Janoary 2007 tao @ Jean Bonnet momban’ny Fifampiarahaban’ny Teraka.( Nisolo tena an’i Randriantsoa : Tonki – Jean-Yves ). Marihina fa ny Terak’i RAOBENTSOA Edmond no manasa @ io andro io.

Koa izao no tapaka tamin’izany :

- Ny daty dia ny Asabotsy 27 Janoary 2007

- Ny toerana dia any Itaosy ao amin’ny Le Restaurant “GUEST HOUSE” ( eo ampitan’ny POSTE no mivily dia misy indications maromaro hatrany)

- Hisy Enveloppes surprises hamidy ka entanina ny isan-tokantrano mba hanolotra “Cadeau” ka halefantsika any amin’i Jean Bonnet alohan’ny Alakamisy 25 Janoary 2007.

- Toy izao ny fandaharam-potoana :

- 10 h : fahatongavan’ny fianakaviana

- 11 h : Fisokafan’ny Lanonana @ Fivavahana , Afindrafindrao sy animations isan-karazany

- 12 h 30 : Fanombohan’ny Sakafo ( misy sakafo manokana efa voahoman’ny mpampiantrano ho an’ny Ray aman-dreny amin’izany) , miaraka @ présentations ( izay olom-baovao ihany no atolotra ) sy ny Fitatazan-drakitra toy ny mahazatra.

- 14 h 30 : Animations isan-karazany ( karaoke , hirahira ) misy bonbons ho zaraina amin’izay mandray anjara – séance photo

- 16 h : Vente Enveloppes surprises – Signature des cartes de Vœux ho an’ireo any am-pita.

- 16 h 30 : Cierge – Remise de Flambeau – Gateau

- 17 h : mitohy ny lanonana.

Koa manentana antsika Terak’i RANDRIANTSOA Augustin mba ho tonga maro amin’io andro io mba ho voninahitr’i DADA AUG.

Ny Mpitatitra :

Tonki

Thursday, January 11, 2007

Les prix des terrains s’envolent




S’acheter un lopin de terre à Antananarivo relève du domaine du rêve pour les moins nantis. Le prix du terrain varie d’un quartier à un autre et aussi selon les possibilités d’utilisation de celui-ci. L’on apprend alors d’un professionnel de l’immobilier de la Capitale que le m² peut se négocier jusqu’à 500 000 Ariary ou 2,5 millions d’anciens francs.

Les quartiers à vocation industrielle et commerciale détiennent le record des prix sur le marché du foncier à Antananarivo. Un professionnel du secteur de faire savoir que les terrains se trouvant au premier plan le long de la Route des Hydrocarbures sont les plus chers. «Le prix d’annonce peut s’élever jusqu’à 500 000 Ariary le m² dans ce quartier ; pour Antaninarenina, un autre site commercial, le coût peut monter jusqu’à 300 000 Ariary», devait indiquer la même source. Concernant tout particulièrement les terrains aux abords de la Route des Hydrocarbures, celui-ci de préciser que les offres commencent à se faire rares sur cet axe.

Mais il n’y a pas que les terrains à usage commercial et industriel. Les terrains destinés à l’habitation s’acquièrent également à prix d’or. Parmi les quartiers où les propriétaires ont dû payer cher pour avoir leur passerelle, l’on peut citer des quartiers résidentiels comme Ivandry, Androhibe, Ambatobe, Ambolonkandrina où les enchères peuvent aller facilement jusqu’à

60 000 Ariary ou 300 000 Fmg.

Le prix du terrain varie également en fonction de sa situation par rapport au centre ville, l’accessibilité. Ainsi, à Itaosy, par exemple, certains propriétaires seraient prêts à céder leur terrain au prix de 20 000 Ariary, si la propriété est difficile d’accès, la transaction peut baisser davantage. Si l’on va encore plus loin, le prix descend encore plus bas. C’est le cas, par exemple, d’Alakamisy Fenoarivo ou encore à Talatan’ny Volonondry.

A Talatamaty - Ambohibaho – Ivato, le prix du terrain se négocie entre 90.000 à 5000.000fmg/m² ( bord du lac).A Ampitatafika et Itaosy, le prix du terrain varie entre 50.000 à 100.000Fmg/m² . Du côté d’Andoharanofotsy il se négocie entre 80.000 à 150.000/m².

Pour "punir" sa femme, il lui faisait l'amour deux fois par jour...pour la combler d'amour.

Quelque part à Antananarivo, un ménage comme tant d'autres où il y a le mari, la femme et leurs quatre enfants. Jusqu'à une date récente, la vie en famille se déroulait normalement. Après une petite aventure que la dame a eue, tout a basculé.

C'était dans le courant de l'année dernière que la petite aventure a eu lieu. Comble de malheur pour cette mère de famille qui a été prise en flagrant délit d'adultère par son mari et ce, dans une chambre d'hôtel. Pour l'amour de sa femme, le mari a accepté un arrangement “à l'amiable”, à la condition qu'il n'y ait pas une seconde fois.

Tout était donc rentré dans l'ordre, la femme a cessé de revoir son amant. Mais c'était sans compter sur l'emballement de l'amant qui ne voulait pas arrêter. Il a réussi à amadouer la mère de famille afin de recommencer. Leur relation s'est déroulée en cachette, mais le mari s'est aperçu que sa femme n'a pas cessé de le tromper. Malgré sa souffrance, il n'a pas porté l'affaire devant la justice. En contrepartie, une idée originale lui est passée par la tête : celle de s'offrir une nouvelle virilité. On ignore exactement ce qu'il a fait, mais la suite de l'histoire révélera qu'il est devenu insupportable pour sa femme.

Insupportable, au propre comme au figuré. Chaque nuit, et ce sept jours sur sept pendant plusieurs mois, il sollicite sa femme par au moins cinq fois, à faire son devoir conjugal. Une ou deux fois chaque nuit, elle a bien été consentante mais au-delà, c'est une autre histoire pour cette coiffeuse qui, depuis ce harcèlement au quotidien, n'arrive plus à faire son travail comme il faut. Ses collègues de travail qui sont au fait de ce qu'elle vit, lui ont conseillé de quitter son mari. Ses enfants s'en sont également aperçus et l'ont sollicitée à faire la même chose.

Devant cet imbroglio familial, la femme était à court d'idée. Tout ce qu'elle a trouvé de mieux à faire, c'était de porter l'affaire devant la justice. Dans sa plainte, le principal chef d'inculpation accablant son mari est : viol au quotidien...!!!

Wednesday, January 10, 2007

Andry TGV passe à la vitesse supérieure


De jeune PDG d’une entreprise florissante d’impression, Andry Rajoelina deviendra dans les prochains jours actionnaire majoritaire d’une chaîne audiovisuelle. La nouvelle est tombée comme pour agrémenter l’année nouvelle s’annonçant prolifique en termes d’activités économiques et entrepreunariales.
Andry Rajoelina, alias TGV, du temps où il a été l’instigateur des événements musicaux “Live”, une activité qu’il a élargie avec succès par la programmation de la venue de plusieurs stars de renom international, Whigfield, Boney M ou encore Sun club entre autres, à Madagascar. Il vient donc d’atterrir dans un nouvel espace : l’audiovisuel
L’esprit TGV
Le meilleur jeune entrepreneur en 2003 du Trophée BNI sous les couleurs de son agence de publicité Injet va-t-il de nouveau bouleverser le petit monde de la presse à Madaga-scar ? À l’instar de ses actions dans le marché publicitaire grand format où il détient 98% du marché de la publicité visuelle locale.
Sa rencontre avec les 70 employés de la station nous donnera la réponse mais d’ores et déjà il annonce les couleurs en promettant le rebranding de la dénomination télévisuelle.

Les Malgaches expulsés de France arrivent au pays

Si la plupart laissent derrière eux un souvenir douloureux de leur séjour dans ce pays, Lantosoa affirme avoir été bien traité.
Lantosoa veut encore garder l'anonymat, même dans son pays natal. Débarqué à Madagascar le 6 novembre, son retour a été singulier, car il a eu droit à une escorte de la police française jusqu'à l'aéroport de Roissy.
A 37 ans, ce jeune homme célibataire est un Malgache expulsé de France. Il a été victime de la loi Sarkozy, votée en 2006, qui poursuit les étrangers sans papiers résidant en France.
“Mon séjour en terre française a débuté en 1991, quand j'y étais parti avec un visa étudiant. Mais la mort de mon père en 1995 m'a obligé à revenir au pays. En 2002, suite aux évènements que Madagascar a vécu, j'y étais reparti avec un visa touriste suite à des problèmes que j'avais eu durant cette crise”, raconte Lantosoa.
Suite au conseil qu'il a reçu auprès d'amis Malgaches, il a fait une demande d'asile politique auprès d'une préfecture française. “C'était le recours le plus sûr pour obtenir une prolongation de séjour pour nous, sans papiers. Mais encore, je n'avais que trois mois de prolongation, ce qui m'a obligé à me débrouiller”, se souvient-il.
Même si Lantosoa a des proches en France, il est resté un sans domicile fixe durant son deuxième séjour là-bas. “J'étais basé sur Paris et la Haute Seine. J'ai pu y trouver un emploi assez bien rémunéré, celui de distributeur de journaux à domicile”, continue notre homme, loin d'oublier les galères qu'il a eues pour échapper aux contrôles policiers.
Arrestation et détention
Toutefois, les demandeurs d'asile politique bénéficient d'une aide d'une valeur de 400 euros pour payer leur loyer, la nourriture et reçoivent aussi les conseils d'un assistant social.
“En gros, je n'ai pas trop souffert de mon statut. Mais chaque Malgache a son cas, tous ne se ressemblent pas”, ajoute Lantosoa.
Notre homme a subi une enquête auprès d'un tribunal français sur son cas. Après que sa demande ait été rejetée en avril 2005, il a laissé tomber la démarche nécessaire au tribunal de recours. “Même si les procédures administratives sont gratuites en France, je n'ai pas voulu poursuivre, faute de temps. Trop de documents ont été exigés des sans-papiers. Ainsi, je suis resté sans papiers jusqu'en octobre 2006, date de mon arrestation”, révèle ce ressortissant malgache.
Comme tout étranger sans papiers, il a été détenu pendant une semaine dans un centre où il affirme avoir été bien traité avant de recevoir le billet pour revenir à Madagascar. “Je me souviens bien que j'étais le seul Malgache là-bas, les Soudanais y étaient nombreux”, note-t-il.
Lantosoa va encore tenter de revenir en France. “J'espère pouvoir y arriver par l'intermédiaire de mon patron s'il veut bien m'aider avec le visa. D'ici là, je vis normalement à Madagascar”, conclut notre homme.

64 explusés depuis 2006
La loi Sarkozy frappe les Malgaches. Mais peu de sans-papiers ont été arrêtés par la police française car bon nombre vivent clandestinement. L'année dernière, la Direction des renseignements et du contrôle de l'immigration et de l'émigration a recensé 64 Malgaches refoulés de France en 2006. 49 d'entre eux étaient en séjour irrégulier tandis que 15 non admis d'entrée.
“Ce chiffre de reconduction à la frontière est peu nombreux pour Madagascar par rapport aux autres pays africains”, souligne Rolland Andréas, premier responsable de ce département au sein du ministère de l'Intérieur et de la réforme administrative.
“Bon nombre de Malgaches résidant en France sont en situation irrégulière. Nombreux, notamment des jeunes, partent d'ici avec un visa touriste, ce qui leur pose problème une fois le visa expiré”, rajoute-t-il.
Selon les informations émanant du service de l'immigration, de nombreux Malgaches veulent rester en France par tous les moyens dont la falsification de visas. “Cinq ont été arrêtés en 2006 suite à un contrôle”, souligne Andréas Rolland qui explique que l'envoi de passeport pour renouvellement devient une tendance chez les Malgaches résidant en France.

Monday, January 08, 2007